« Pour ou contre le déremboursement des médicaments contre Alzheimer ? »
Je suis sidéré de voir que des médias « officiels » osent encore poser la question.
Car cela fait au moins 10 ans que tous les gens sérieux l’ont démontré :
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- Non seulement les 4 médicaments officiels anti-Alzheimer ne marchent pas : dans le meilleur des cas, leurs effets sont minimes et « cliniquement discutables », selon la Haute Autorité de Santé[1] ;
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- Mais en plus ils sont dangereux pour les patients : ils peuvent causer des fractures, des morts subites, des crises cardiaques, et des réactions allergiques mortelles[2].
Et pourtant, cela fait 10 ans :
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- Que la Sécurité Sociale continue de les rembourser, comme si de rien n’était ;
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- Que la plupart des médecins continuent de les prescrire aux malades d’Alzheimer ;
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- Et tout cela, avec la bénédiction des gouvernements successifs !
Tout récemment, la Ministre Agnès Buzyn a enfin pris la décision attendue depuis 10 ans.
Elle a décidé le déremboursement de ces médicaments inutiles et dangereux.
Avant, ils étaient remboursés à 100 % si vous aviez Alzheimer.
Au 1er août 2018, ils seront donc remboursés à 0 %.
C’est une excellente chose, même si Madame Buzyn aurait mieux fait de les retirer du marché, purement et simplement.
Mais ce qui m’a vraiment bouleversé, dans cette affaire…
…c’est la réaction des médecins et associations de patients.
Veulent-ils du mal aux malades d’Alzheimer ?
Tout récemment, près de 200 médecins (neurologues, gériatres et psychiatres) ont publié une tribune solennelle en UNE du journal Le Figaro.
Sans la moindre honte, ils demandent à la Ministre de renoncer à dérembourser les médicaments contre Alzheimer.
Je cite leur « lettre ouverte », adressée à la Ministre :
« Nous vous demandons de revenir sur cette décision qui dessert la prise en soins actuelle et future des malades en étant susceptible d’altérer la confiance que portent les patients, leurs familles et les professionnels dans les processus de décision en matière de santé. »
Pour tout vous dire, j’ai cru au départ à un « coup » monté par Big Pharma.
Mais j’ai vérifié : les médicaments contre Alzheimer sont tous « génériqués ».
Ils ne rapportent donc pas énormément à Big Pharma : seulement 100 et 150 millions d’euros par an… ce qui est une « paille » pour ces multinationales qui brassent des milliards de profits.
Alors d’où vient le problème ?
Probablement de l’ignorance scientifique de tous ces « grands pontes » de la médecine.
Je dis « ignorance », car je ne veux pas croire qu’ils savent que ces médicaments sont dangereux et qu’ils veulent quand même les donner à leurs patients.
Mais comment une telle ignorance est-elle possible, sur un sujet qu’ils sont censés maîtriser sur le bout des doigts ?
La seule explication, c’est cette citation lumineuse :
« Il est difficile pour un homme de comprendre une chose, si son salaire dépend de ce qu’il ne la comprenne pas »[3].
Et en effet, il y a un enjeu d’argent.
Si ces « spécialistes du cerveau » arrêtent de prescrire des médicaments, les patients victimes d’Alzheimer n’ont plus aucune raison d’aller les voir régulièrement !
Ce sont donc des centaines de milliers de consultations qui vont s’évaporer, du jour au lendemain… et autant de revenus en moins pour les spécialistes !
Mais à mon avis, c’est aussi et surtout une question d’honneur.
Comment admettre qu’ils ont « mal traité » leurs patients ?
Comment voulez-vous qu’ils reconnaissent publiquement qu’ils ont prescrit pendant des années des médicaments inutiles et dangereux ?
Aucun médecin n’a envie de penser qu’il a fait du mal à ses patients… c’est humain !
Et c’est la même chose pour les associations de patients !
Car figurez-vous qu’elles se mobilisent aussi contre le déremboursement !
La grande association « France Alzheimer » a même lancé une pétition contre la décision de la Ministre…
…alors que ces médicaments fragilisent les malades au lieu de les aider !!
C’est le monde à l’envers.
Mais là encore, l’explication est simple.
Les associations de patient sont financées en grande partie par les firmes pharmaceutiques.
Elles pensent bien faire, mais en réalité elles sont de simples marionnettes dans la main des « pontes » et « leaders d’opinion » liés à Big Pharma.
Il n’est donc pas étonnant que ces associations réagissent exactement comme les « spécialistes » !
Mais ce que je trouve encore plus malheureux, dans cette affaire de déremboursement…
…c’est que la Ministre a raté une occasion unique !
C’était de profiter de ce déremboursement pour proposer des alternatives efficaces !
Pourquoi ne vous parle-t-on pas des remèdes naturels qui marchent ?
Certes, les alternatives naturelles classiques ne font pas de miracles.
Mais elles sont mille fois préférables aux médicaments bientôt déremboursés !
Prenez le cas de cette plante chinoise, l’huperzine A (Huperzia serrata), qui fait l’objet depuis quelques années de recherches scientifiques intensives en Chine.
Aujourd’hui, la conclusion des scientifiques chinois est formelle : l’Huperzine A permet une meilleure autonomie des malades d’Alzheimer et améliore leur mémoire [4], avec moins d’effets secondaires que les médicaments actuels.
Une autre alternative intéressante est le ginkgo biloba. On sait depuis des années que cet arbre extraordinaire a la capacité de booster la mémoire (c’est d’ailleurs l’un des remèdes naturels le plus utilisés en Allemagne).
Aujourd’hui, il est prouvé scientifiquement que le ginkgo a des effets positifs contre Alzheimer [5], sans le moindre effet toxique connu (il faut simplement faire attention en cas de problème de coagulation, car le ginkgo a pour effet de fluidifier le sang).
Ne serait-il donc pas préférable de prescrire cette plante inoffensive plutôt que le médicament dangereux ?
Et que dire de la vitamine E ?
La vitamine qui ralentit (un peu) la maladie
Dans une étude portant sur 561 patients atteints d’une forme modérée d’Alzheimer [6], le groupe qui a reçu le médicament Mémantine n’a connu aucune amélioration.
Mais le groupe qui a reçu chaque jour 2 000 unités de vitamine E (alpha-tocopherol), lui, a bénéficié d’un ralentissement de la maladie de 20 %.
C’est un gain modeste mais pas négligeable pour les malades : cela représente environ 6 mois supplémentaire d’autonomie, sur une période de deux ans et demi.
La vitamine E est d’autant plus recommandable que ses (légers) bienfaits contre Alzheimer ont été prouvés par de nombreuses études. [7]
Et il n’y a pas que les plantes et les vitamines : certaines épices aussi sont hyper prometteuses !
L’épice multi-usage pour les malades d’Alzheimer
Dès 2010, un essai clinique a prouvé que le safran améliorait les capacités cognitives et l’autonomie de malades touchés par Alzheimer, avec très peu d’effets secondaires. [8] [9]
Le safran est d’autant plus intéressant qu’il a un autre bénéfice inattendu : il vous redonne le moral !
Dans des essais cliniques contrôlés, le safran a fait mieux que l’Imipramine [10] et le Prozac [11], deux anti-dépresseurs « de référence ».
Or il n’est pas rare que les malades d’Alzheimer souffrent également de dépression.
Dans ce cas, on leur prescrit généralement des anti-dépresseurs, des médicaments qui viennent s’ajouter aux autres, avec tous les risques d’interactions dangereuses que vous pouvez imaginer…
Le safran paraît donc être un remède de premier choix : naturel, légèrement efficace contre Alzheimer ET les dépressions associées !
Et il existe encore beaucoup d’autres méthodes naturelles porteuses d’espoir pour les malades d’Alzheimer.
Et tant de remèdes naturels à explorer !
Dans cette lettre, je n’ai parlé que des remèdes dont l’efficacité a été testée scientifiquement, contre les médicaments existants, pour vous montrer à quel point il est scandaleux de continuer à autoriser la prescription de ces médicaments dangereux.
Mais si vous avez Alzheimer, il y a des stratégies encore plus intéressantes à essayer.
Je ne peux pas entrer ici dans le détail (j’y reviendrai), mais voici déjà quelques conseils de base qui ont fait leurs preuves [12] :
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- Pour ralentir la progression de la maladie, soignez votre alimentation : réduisez les sucres au maximum, évitez totalement les produits industriels, privilégiez l’huile d’olive et les aliments riches en omégas-3 ;
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- Essayez de supprimer le gluten et la caséine, ce sont des aliments pro-inflammatoires qui peuvent accélérer la maladie ;
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- Si vous aimez le café ou le thé vert, ne vous en privez surtout pas ; même chose pour le vin rouge, riche en resvératrol (un verre à chaque repas) ;
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- Gorgez-vous de myrtilles (bio), ces puissants antioxydants dont les effets positifs sur les démences séniles viennent d’être prouvés scientifiquement ;
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- Essayez deux épices, une anti-inflammatoire (curcumine) et l’autre anti-diabète (cannelle de Ceylan) dont les effets sur Alzheimer sont plus que prometteurs ;
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- Assurez-vous que vous n’avez pas la moindre carence en vitamines B, D, E, en zinc et en magnésium ;
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- Faites au moins 30 minutes d’activité physique par jour ;
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- Évitez à tout prix ces médicaments qui causent Alzheimer : la famille des anti-acides, anticholinergiques, statines et benzodiazépines ; [13]
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- Soignez votre stress et votre sommeil (c’est le moment ou jamais de vous mettre au yoga !).
Au total, retenez bien :
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- Que vous ne devez JAMAIS prendre de médicaments chimiques contre Alzheimer..
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- Et qu’il vaut bien mieux faire appel à des alternatives naturelles, plus efficaces et sans effet secondaire.
Et surtout, sachez qu’il existe aujourd’hui des protocoles naturels complets, un peu plus contraignants mais capables d’inverser le cours de la maladie !
Je suis en train d’examiner minutieusement tout cela, je vous en reparlerai très bientôt.
Je pense que les médicaments ont pour seul but de détruire la vie des malades qui ne rapportent rien !
Mais qui encombrent les hôpitaux et coûtent trop cher à la société !!!
Votre article m intéresse car je suis presque sûre d avoir cette maladie. D’ailleurs qui me conseilleriez vous d aller voir comme médecin dans le sud, afin de faire des tests et un traitement naturel.
Je suis pour les médecines douces et je préfère éviter les traitements traditionnels. Merci pour votre article.
Trés intéressée par des alternatives naturelles à la chimie pour traiter le “soupçon” d’Alzheimer qui affecte mon époux. Traité par patch de Rivastigmine Exelon ! Merci d’avance.
Mon époux, psychiatre, a participé il y a quelques années et pendant plusieurs mois, à une étude européenne sur l’efficacité réelle ou supposée des médicaments supposés lutter contre la maladie d’Alzheimer.
Conclusion? Aucune efficacité, AUCUNE.