En 1993, au cours d’une banale consultation, le Dr Jean-Jacques Melet manque de tomber de sa chaise.
Une patiente lui raconte qu’un dentiste lui a retiré un amalgame dentaire (« plombage ») … et depuis, c’est comme si un voile s’était levé dans sa tête !
Elle avait dû mal à comprendre, à mémoriser, à trouver ses mots. Elle se sentait toujours nerveuse et fatiguée. Désormais, tout lui paraît plus simple. Et elle est absolument certaine que c’est directement lié au retrait de son amalgame.
Le Dr Melet aurait pu se contenter d’un sourire en coin… ou de l’envoyer voir un « psy ». Mais c’est un médecin curieux, courageux et d’une intelligence singulière.
Il sait que ces amalgames sont composés à 50 % de mercure… un des poisons les plus toxiques au monde. Mais comme tout le monde, à son époque, il n’imagine pas que ce mercure emprisonné dans la dent puisse provoquer le moindre problème de santé.
Pour en avoir le cœur net, il se précipite à la bibliothèque de médecine… et fait une découverte stupéfiante : les amalgames dentaires dégagent des vapeurs de mercure en permanence, 24h sur 24.
Et lors des repas, ou en cas de mastication d’un chewing-gum, la dose de ces vapeurs peut être multipliée par 10 ! [1]
Voilà une piste intéressante, se dit notre médecin.
Peut-être y a-t-il là un espoir pour toutes ces maladies que la médecine ne parvient pas à expliquer… et encore moins à guérir ? Comme le syndrome de fatigue chronique, la fibromyalgie, la sclérose en plaques, voire même Alzheimer ou Parkinson.
Et c’est ainsi que le Dr Melet met au point un protocole original pour tous ses patients qui souffrent de symptômes inexpliqués (fatigue, douleurs, vertiges, etc.).
Il les invite à faire retirer leurs amalgames et à se « détoxifier » des métaux lourds contenus dans leur organisme.
Ce protocole est sans danger lorsqu’il est encadré médicalement. Ses patients qui souffrent n’ont donc rien à perdre à l’essayer, sachant qu’aucun autre médecin n’avait pu les aider.
Cela paraît de bon sens… sauf pour les autorités, qui n’apprécient guère ce type d’initiative, hors des sentiers battus.
Le Dr Melet le sait, mais il s’en moque. Comme un autre médecin visionnaire de sa région montpelliéraine, le Dr Seignalet, il est plus attaché à la vérité et au bien-être de ses patients qu’à sa carrière ou à sa réputation.
Incroyables témoignages de guérison
C’est alors que l’extraordinaire se produit : de très nombreux patients voient leur état s’améliorer après avoir suivi son protocole.
Très vite, des malades viennent de toute la France pour bénéficier de son traitement.
Beaucoup lui voueront une reconnaissance éternelle, comme Marie-Thérèse :
« J’ai souffert durant presque vingt ans : fatigue chronique intense que rien ne justifiait, dépression, angoisses, malaise indéfinissable et continuel, très invalidant.
Tous les examens médicaux possibles et imaginables entrepris ne révélaient aucune anomalie. Les recherches effectuées personnellement, les essais de thérapie psychique ou les traitements de médecine parallèle ne m’apportaient aucune amélioration ! Un calvaire qui durera 17 ans …
Mais en 2003, par l’intermédiaire d’un journal de santé naturelle, j’ai réussi à entrer en contact avec le docteur Melet qui aussitôt m’a prise en charge. Il était temps ! J’ai effectué les tests nécessaires, lesquels ont effectivement révélé une intoxication importante au mercure due à la présence de 6 amalgames dentaires dans ma bouche. Le Dr Melet avait raison. J’ai donc entrepris le traitement sous son contrôle.
Mon taux de mercure diminue, mon état s’améliore progressivement, je fais alors assainir ma bouche en ôtant les plombages et retrouve une forme excellente. A bientôt 77 ans, je puis dire que je me sens rajeunie et ne me suis pas aussi bien portée depuis plusieurs décennies. » [2]
Si ce « prodige » vous laisse un peu sceptique, c’est tout à fait normal… mais vous devez savoir que ce type de témoignage est loin d’être isolé.
Lorsque le Sénat publie un grand rapport sur les métaux lourds en 2001, son auteur déclare : « il n’y a guère eu de semaines où je n’ai été alerté par des personnes décrivant les dommages causés par les amalgames et l’amélioration constatée après la dépose. » [3]
Un lanceur d’alerte harcelé, humilié, poussé au suicide
Mais ses bons résultats ne suffisent pas au Dr Melet. Il veut aussi agir pour que les nouvelles générations ne se fassent plus poser le moindre plombage dans la bouche.
Dès 1996, il prend publiquement position contre les amalgames dentaires dans Sciences et Avenir. Puis il fonde l’association « Non au mercure dentaire » (NAMD) pour essayer de les faire interdire définitivement.
Évidemment, son action dérange… et la riposte ne tarde pas à se faire attendre.
En 1997, le Dr Melet est convoqué par l’Ordre des Médecins pour « charlatanisme, médecine foraine, ordonnances non conformes et méthodes dangereuses non éprouvées ».
Dans la foulée, le Conseil régional de l’Ordre des Médecins le condamne lourdement à un an de radiation.
Lors de son « procès » en appel, à Paris, le Dr Melet n’a aucun mal à démontrer l’absurdité des reproches qui lui sont faits… et obtient l’annulation de tous ces chefs d’accusations infamants.
Mais le harcèlement ne cesse pas.
En 2003, suite à l’étrange plainte d’un patient (qui exigeait d’être remboursé parce que son état ne s’est pas amélioré), il est brutalement placé en garde à vue. Les gendarmes lui font subir un interrogatoire serré, comme s’ils avaient affaire au pire des escrocs !
Calomnié, harcelé, vivant en permanence dans la crainte d’une interdiction d’exercer son métier, il tombe dans le désespoir.
En août 2005, il met fin à ses jours, dans un bois. Peu avant sa mort, il dira « L’ordre des médecins est une machine à broyer les hommes ».
Une hallucination collective ?
Le traitement qu’a subi ce bon médecin est indigne, inexcusable.
Mais la question médicale et scientifique demeure : le Dr Melet avait-il vu juste… ou s’est-il égaré sur une fausse piste ?
Les patients qu’il a « guéri » l’ont-ils vraiment été grâce à son protocole… ou bien simplement grâce à un puissant effet placebo ?
Et vous, mes fidèles lecteurs, devez-vous vous inquiétez d’une bombe à retardement dans votre bouche si, comme 95 % des Français, votre dentiste vous y a placé des amalgames au mercure ?
J’ai mené l’enquête sans le moindre a priori… et je suis allé de surprises en surprises.
Car si vous regardez bien, vous verrez que, malgré les discours officiels qui se veulent rassurants, beaucoup d’Etats ont veillé à limiter drastiquement l’utilisation des amalgames.
Dès la fin des années 1990, la Norvège et la Suède les ont progressivement retirés de la circulation, avant de les interdire définitivement il y a près de 10 ans.
En Allemagne et au Canada, les autorités recommandent aux dentistes d’éviter à tout prix d’en poser sur les enfants et les femmes enceintes. En Italie, on ne trouve presque plus de dentistes qui posent encore des amalgames.
La France isolée dans son maintien des amalgames
La France, elle, est à la traîne. Comme ailleurs, le nombre d’amalgames déposés diminue – d’après l’Agence nationale du médicament, 25 % des caries sont encore traitées par amalgame, contre 50 % en 2003.
Mais la France continue de détenir le record d’utilisation du mercure dentaire, avec environ 17 tonnes de mercure placées dans la bouche des Français chaque année, presque un tiers du volume total européen ! [4]
Peut-être que, comme pour le nuage de Tchernobyl, la France s’imagine-t-elle que les vapeurs du mercure ne parviennent pas jusqu’au cerveau des Français ?
C’est d’autant plus étonnant que les autorités françaises déconseillent désormais aux femmes enceintes de manger les poissons les plus contaminés par le mercure. Elles reconnaissent donc les effets désastreux que ce métal produit sur le développement du fœtus.
Ne serait-il pas logique de se préoccuper aussi du mercure dégagé par les amalgames ?
Car plus personne ne conteste aujourd’hui que les amalgames dégagent des vapeurs de mercure élémentaire… qui sont inhalées par les poumons, passent dans le sang et se déposent dans tous les organes, à commencer par le cerveau.
En outre, avec le temps, et sous l’effet de la salive et de la mastication, les amalgames finissent aussi par s’éroder… et libérer des ions mercuriques, qui peuvent traverser la paroi de l’intestin et s’accumuler dans des organes sensibles comme les reins.
Toute la question, bien sûr, est de savoir si ces doses sont suffisantes pour créer des problèmes de santé. A ce jour, aucun consensus scientifique ne se dégage sur cette question sensible.
Des positions officielles en nette évolution
Mais pour certains (dont je fais partie !), on en sait largement assez pour agir.
C’est ainsi qu’en 2011, l’Assemblée du Conseil de l’Europe a « instamment appelé les États membres » à :
« Interdire ou restreindre, lorsque cela est possible et approprié, l’utilisation des métaux lourds par l’industrie, l’agriculture et le secteur médical, et, en ce qui concerne ce dernier notamment, par la restriction, voire l’interdiction, des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire. »
En 2014, un comité scientifique européen lié à la Commission européenne (le SCENIHR) a réalisé un rapport complet sur les amalgames dentaires. [5]
Soucieux de se montrer rassurants, les auteurs concluent que les amalgames ne posent pas de « dangerosité systémique ».
Mais ils reconnaissent toutefois plusieurs points cruciaux :
- Que les amalgames dentaires sont bien la première source d’exposition au mercure des Européens, loin devant leur consommation de poissons ;
- Que les femmes enceintes porteuses d’amalgames transmettent bien le mercure qu’ils contiennent à leur bébé à naître – plusieurs études prouvent que le taux de mercure dans le cordon ombilical est directement lié au nombre d’amalgames de la mère ; [6]
- Que l’état de certains patients s’améliore nettement après le retrait de leurs amalgames – de nombreuses études en témoignent, dont une étude norvégienne contrôlée publiée en 2011, qui observe que l’amélioration se maintient 3 ans après la dépose, ce qui semble exclure l’effet placebo ; [7]
- Que, si la science n’a pas encore tranché, la question reste posée de l’impact des amalgames sur l’autisme, Alzheimer, Parkinson ou la sclérose en plaques ;
- Et que les amalgames devraient être contre-indiqués pour les enfants, les femmes enceintes, les patients allergiques au mercure ainsi que ceux souffrant d’une maladie rénale – l’impact délétère des amalgames sur les reins étant bien documenté scientifiquement. [8, 9, 10]
Voilà un progrès non négligeable sur le chemin de la vérité.
Mais pour ma part, je suis convaincu que les experts du SCENIHR auraient dû aller au bout du raisonnement et recommander l’interdiction pure et simple des amalgames.
Car voici ce que vous devez absolument savoir :
Une alternative saine et sans risque
D’abord, les amalgames ne sont pas la « seule solution » contre les caries.
Il existe depuis des décennies une alternative beaucoup plus sûre, et que tout le monde connaît, les « composites », réalisés à base de résine.
Et contrairement à ce qu’on a longtemps pensé, les amalgames au mercure ne sont pas plus efficaces ou durables que les composites. [11]
Alors pourquoi tant de résistances, notamment en France ?
Le rapport du Sénat de 2001 nous met sur la piste. Il révèle que l’encyclopédie médico-chirurgicale de l’époque présente les amalgames comme « mieux indiqués pour le praticien pressé » (sic), contrairement aux composites qui exigent un « travail exigeant » et sont donc plus adaptés au « praticien motivé ».
Et le rapport conclut :
« Il n’est pas exclu que l’habitude, la recherche de la facilité et de l’avantage financier immédiat aient conduit à la pose d’amalgames et écarté certains praticiens du désir de proposer au patient le meilleur choix thérapeutique. »
Que de dégâts causés par la « recherche de la facilité » ! Voici ce qu’expliquait à l’époque le Pr Collomb :
« Il ne faut pas nier que plusieurs praticiens anciens n’ont guère été formés à la pose des composites ou manquent de pratique. Un éventuel basculement imposerait des actions de formation ou de (re)formation de grande envergure. »
Ce brave professeur en concluait qu’il ne fallait donc surtout pas « embêter » nos pauvres dentistes avec des formations complémentaires… Alors que les dentistes norvégiens, suédois ou danois l’ont fait sans problème en quelques années !
Et pourtant, l’ironie tragique de cette histoire est que ce sont les dentistes eux-mêmes qui en auraient été les premiers bénéficiaires !
Car la pose (et la dépose) des amalgames libère dans leur cabinet des vapeurs de mercure particulièrement fortes – et potentiellement dangereuses !
C’est probablement la raison pour laquelle les professions dentaires sont davantage touchées par des problèmes de santé ! Plusieurs études ont en effet montré que :
- Les dentistes ont plus de problèmes rénaux que des professionnels comparables ; [12]
- Les assistants dentaires, qui manipulent le mercure, ont des taux plus élevés de symptômes neurologiques, de problèmes de mémoire, concentration, fatigue et troubles du sommeil que des professionnels comparables. [13, 14]
Il n’en reste pas moins que la dangerosité des amalgames n’est pas encore admise par 100 % des scientifiques… et il est important de comprendre pourquoi :
Une intoxication difficile à détecter et à objectiver
Le problème est qu’il est très difficile de mesurer scientifiquement l’intoxication au mercure.
Bien sûr, plus vous avez d’amalgame, plus on trouvera du mercure dans votre urine et votre sang. [15] De même, le taux de mercure dans votre sang et vos urines diminue de façon significative lorsque vous retirez vos amalgames. [16]
Cela confirme que les amalgames rejettent bien du mercure dans votre organisme… mais cela ne prouve pas que vous soyez intoxiqué, fort heureusement. Tant que vous parvenez à l’expulser de votre corps par les voies naturelles, vous ne risquez pas grand-chose !
Les analyses de sang et d’urine ont un intérêt limité car elles ne vous disent pas si vous accumulez du mercure dans vos organes, et en particulier dans votre cerveau.
Pour cela, il n’y a qu’un seul test fiable à 100 %, c’est l’autopsie, réalisée après la mort du patient… ce qui complique sérieusement la tâche des chercheurs.
Notez toutefois qu’en 2006, des scientifiques ont montré que les niveaux de mercure dans le cerveau de 18 cadavres étaient dix fois plus élevés chez les sujets ayant plus de 12 amalgames par rapport à ceux qui en avaient moins de 3. [17]
Pour les patients encore vivants, le seul moyen convenable de mesurer leur intoxication au mercure est de leur faire faire une analyse d’urine après la prise d’un médicament qui déloge le mercure de leurs organes (comme le DMPS ou le DMSA). [18]
C’est d’ailleurs ce que faisait le visionnaire Dr Melet, bien avant que ce type de protocoles ne soient repris aux quatre coins du monde par les médecins les plus en pointe[19].
Mais ce sont des tests beaucoup plus lourds à réaliser que de simples prises de sang ou analyses d’urine. Et c’est une raison pour laquelle il est si difficile d’apporter la preuve absolue d’un lien entre amalgames et maladies chroniques.
La seconde raison, encore plus importante, est que les amalgames ne deviennent franchement toxiques que dans des situations bien particulières.
Nous ne sommes pas tous égaux face au mercure
D’abord, les dégâts du mercure dépendent beaucoup des autres poisons que vous ingérez par ailleurs.
Il y a quelques années, des scientifiques ont mesuré précisément quelle dose de mercure était nécessaire pour tuer 1 % des rats. Ils ont aussi calculé la dose nécessaire de plomb pour parvenir au même résultat, la mort d’1 % des rats.
Eh bien savez-vous combien de rats sont morts lorsqu’on leur a donné en même temps ces doses de mercure et de plomb ?
2 % ?
Non, 100 %. Tous les rats sont morts, simplement parce que le cumul de plusieurs poisons peut avoir des effets « synergiques » désastreux. [20]
Un patient très exposé au plomb a donc plus à risque d’une intoxication au mercure qu’un autre patient qui ne l’est pas. Et il est possible qu’il existe autour de nous d’autres substances toxiques qui décuplent les effets délétères du mercure, ce qui n’est pas rassurant !
Autre facteur problématique si vous avez des amalgames : le fait d’être hypersensible au mercure (allergie de type 4).
Des chercheurs ont étudié de nombreux patients allergiques au mercure (identifiés par le test MELISA) et ont observé que leur état s’améliorait nettement, après le retrait de leurs amalgames, dans des cas de syndrome de fatigue chronique [21], de fibromyalgie [22] et même de thyroïdite auto-immune. [23]
Enfin, la plus grande des inégalités face au mercure vient directement de nos gènes.
C’est une étude contrôlée en double aveugle qui a permis de l’observer : sur un groupe d’enfants exposés pendant 7 ans aux amalgames dentaires, seuls les garçons ayant de rares mutations génétiques ont subi des déficits neurologiques et comportementaux. [24]
Au total, le risque de voir sa santé sérieusement affectée par les amalgames est heureusement limité. C’est peut-être une chance sur 50, sur 500 ou sur 5 000, personne ne le sait.
Mais pourquoi jouerait-on à la loterie, quand il existe des alternatives saines et sans dangers ?
Et pour ceux qui souffrent, pourquoi n’essaieraient-ils pas d’essayer de retirer leurs amalgames, comme le recommandait le Dr Melet ?
Surtout, ne vous ruez pas chez votre dentiste !
De fait, si vous souffrez de fatigue chronique, de fibromyalgie ou de symptômes inexpliqués, la question du retrait des amalgames se pose légitimement.
Je souffre moi-même de ce type de symptômes depuis des années. Et mon enquête m’a convaincu de passer à l’acte et de retirer dès que possible les amalgames qui sont dans ma bouche.
En revanche, si vous êtes en pleine santé, je vous conseille vraiment de ne pas vous tracasser pour vos amalgames. Le jeu n’en vaut pas la chandelle, car il y a de très fortes probabilités qu’ils soient parfaitement inoffensifs pour vous, et que votre organisme les supporte bien.
En plus, vous devez savoir que la dépose des amalgames n’est pas sans risque. Au contraire : c’est au moment où l’on vous retire les amalgames de la bouche que la libération de mercure est la plus forte.
Il faut donc impérativement passer par des dentistes ayant la formation et l’équipement nécessaires pour vous protéger (et se protéger eux-mêmes) des vapeurs qui seront dégagées.
Or ces dentistes sont hélas rares et difficiles à trouver (n’hésitez pas à les signaler en commentaire si vous en connaissez) … d’autant qu’ils sont généralement mal vus des autorités.
Je vous invite donc à réfléchir à deux fois avant de vous lancer dans ce genre d’aventure médicale.
En revanche, un point ne fait aucun doute : pour l’avenir, évitez à tout prix de vous faire poser le moindre amalgame. Il n’y a vraiment aucune raison de prendre le moindre risque !
Faites bien circuler cette information à vos enfants et petits-enfants : cela ne leur coûtera pas un centime de plus de se faire poser un composite plutôt qu’un amalgame… et cela pourrait changer leur vie !
Bonjour,
Merci de cet article. Je connait très bien le problème : 12 amalgames depuis 30 ans, tous les problèmes que vous évoquez, très nettement pour l’esprit toujours embrumé, depuis 7 ans en plus un cancer lié à l’immunité : un myélome multiple. Je sais depuis 4 ans être intoxiquée au mercure. J’ai fait retirer la moitié de mes amalgames l’année dernière (acte non remboursé sauf qd ces obturations sont en fin de vie, ce qui était mon cas). Je ferai les autres en 2017 : Il faut aborder ce retrait dans un moment de bonne santé, sans grande fatigue car il y a effectivement une diffusion supplémentaire dans la bouche et partant, dans tout le corps. Mais il faut bien arrêter un jour de s’empoisonner tous les jours ! et il est mieux de le faire avant d’avoir de gros soucis de santé ! Je pense que vous pouvez trouver des dentistes ouverts au problème un peu partout : il y a des cabinets bien équipés et c’est l’intêret des praticiens de prendre le plus de précautions possible. le coût de la combinaison, masque et protections à usage unique est de 100 euros. il est souhaitable d’accompagner par du charbon actif (prise orale avant et après – attention ça peut constiper bcp- et surtout rinçage immédiat après la dépose et plusieurs fois dans les h qui suivent).
J’ai ressenti les effets décrits par la personne que vous citez dans votre article environ 3 mois plus tard. C’est comme si vous aviez toujours vécu avec un casque et qu’il s’allège : la vie s’en trouve transformée.
ATTENTION : DMPS et DMSA ne sont pas sans danger, loin de là. Une analyse de selles, cheveux, ongles faite par des labos à l’étranger (bien sûr), quoique approximative, permet d’affirmer la présence de mercure (càd s’il n’y en a pas, on ne conclut rien mais s’il y en a, l’intoxication -empoisonnement- est certaine !)
Pour finir, il faut que chacun soit l’acteur de sa santé, sachant que le zéro problème n’existe pas et que les autorités (et donc ceux qu’elles contrôlent) n’ont que le seul souci de la rentabilité immédiate…Donc quand on peut, on s’informe, on discute , on refuse ou demande un délai de réflexion..
Pouvoir profiter de sa vie, ça n’a pas de prix sauf celui de la volonté (et il en faut beaucoup car oui, nous sommes dans un système oppressif).
Bien cordialement à tous.
Bravo, excellent article sur un sujet qui a déjà fait couler beaucoup d’encre (riche en métaux lourds !) depuis plus de 120 ans, y compris dans les associations dentaires officielles. Je suis moi-même dentiste et naturopathe énergéticien et je travaille depuis 30 ans à diagnostiquer correctement et à éradiquer les métaux lourds dans la bouche de mes patients. La mise en évidence de surcharge en métaux lourds n’est OFFICIELLEMENT pas facile car elle ne s’appuie que sur des tests QUANTITATIFS et sur des dosages statistiques, avec des minima et des maxima très élastiques. Or, nous sommes tous différents, de sorte qu’un taux soit-disant acceptable peut s’avérer néfaste pour qqn, alors qu’un taux excessif peut être plus ou moins correctement géré par une autre personne. De plus, faut-il mesurer les métaux lourds dans les sang, dans l’urine, dans les fèces, dans la salive ? C’est seulement UN des compartiments du corps. C’est pourquoi, en pratique, pour évaluer le degré d’une intoxication, j’utilise les tests bon-marchés, pratiques, à réponses rapides et précises, de biorésonance : électro-acupuncture (Mora, Bicom), pulsologie de Nogier, ou kinésiologie appliquée, ou tests d’élongation des bras, qui me fournissent des réponses QUALITATIVES et PERSONNALISÉES. En France, l’association dentaire Odenth, regroupant des dentistes ouverts à l’énergétique dentaire, s’applique à faire connaître ces démarches aux praticiens motivés pour une dentisterie biocompatible. Par ailleurs, il faut également tester tous les produits de remplacement des amalgames AVANT de les poser en bouche, car certains produits – une majorité de composites résineux – contiennent du bisphénol-A, pas plus recommandable que le mercure ! En résumé, dans ce débat délicat, le seul qui détient la bonne réponse, c’est le corps du patient. Et sa réponse peut varier dans le temps, en fonction de son épigénétique : nutrition, stress, épuisement, surcharges métaboliques, inflammation à bas bruit, état de sa flore, etc… Ce qui est sûr, c’est que l »avenir de la dentisterie est SANS métaux lourds.
Merci pour le complement d’information a l’excellent article de Sante Corps Esprit. pourriez vous m’indiquer les coordonnes d’un dentiste qui pratique dans le meme esprit que vous ? Soit vous meme bien sur ,si vous etes sur la region parisienne , soit un autre sur Paris.
Merci d’avance!
HerveJean
hervejean3@gmail.com
Je vous remercie pour votre article sur les amalgames .
suite à des problèmes de maux de tete , j’ai cherché à trouver un dentiste qui ne propose que des composites sur l’ouest parisien !
voici une liste exhaustive trouvée après de nombreuses démarches :
Dr Villier Versailles
Dr Doubet St Germain en laye
DR Georges L’Etang la ville
Dr barbotin Issy les moulineaux
Dr Sepehr Antony
Dr Najman Neuilly
Dr Sonnet Rueil malmaison
Demandez un devis pour toute intervention
Bien à vous
bonjour
pourriez vous donner une liste des dentistes spécialises, si vous en connaissez en ariege, merci
Bonjour,
Le composite a base de resine est dangereux a éviter au maximum (Bisphenol A et Phtalate cancérigène ….
En fait on remplace le mercure par d autres produits aussi nocifs. ..
Y a t il une autre alternative?
bonjour
je me suis cassée une dent devitalisée, après recherche
on me propose une couronne en ceramique au lieu de
métallique, pour la partie (inlay core) en ceramique est ce
possible ?
j’ai beaucoup de métaux lourds qui génerent une fatigue
chronique
Mille MERCI pour cette lettre! je ne suis donc pas si folle que ça!
63ans, des amalgames dentaires posés sur presque toutes les molaires et prémolaires entre 8 et 14ans (mauvaise alimentation en pension..)Je me reconnais bien ds tous les symptômes décrits.
vers 35ans un médecin »bio » m’a rendu attentive à ce problème, je me suis fait « foutre à la porte » par le dentiste. heureusement les médecines douces et un jeune dentiste m’ont assaini la bouche. Je vais dix fois mieux mais que de handicaps pendant toutes ces années.Un dentiste s’est suicidé, l’autre est mort très tôt, un troisième était presque un peu fou sur la fin de son exercice.celui de ma maman est souvent malade. Les jeunes dentistes actuels ont un autre profil..
J’habite Thionville en Moselle, à dispo pour plus d’informations si vous le souhaitez.
Bonjour Madame,
Je viens de lire votre commentaire. J’habite à Hettange-Grande et je suis actuellement à la recherche d’un dentiste qui prend en compte tout ce qui est dit dans l’article.
Il n’y a pas de hasard et je suis très heureuse d’avoir eu connaissance de ces informations. Pouvez-vous me renseigner sil vous plaît?
Merci beaucoup d’avance.
Cordialement
Muriel PAULY
Attention à la publication de liste de dentistes … ce n’est pas permis par le code de la santé car assimilé à de la publicité. Vous risquez de mettre votre praticien dans l’embarras !!!
Bonjour,
avant tout, merci pour votre implication à nous transmettre des vérités qui peuvent sauvées.
votre sujet tombe à pic, puisque hier j’était chez un dentiste à Chalon Sur Saone pour ma plus jeune fille de 15 ans, qui avait des caries et donc des soins. Lorsqu’elle a été appelée par une des dentistes pour effectuer les soins, j’ai voulu l’accompagnée et cela m’a été refuser. J’ai insisté, mais NON, donc je me suis rassise en salle d’attente. Puis un moment de panique, j’avais précisé quelque temps auparavant que je ne voulais pas d’amalgame, elle avait 4 soins, donc je me précipite pour trouver la salle ou elle se trouvait et je rentre, interrompt les soins, qui n’avaient pas encore commencé et lorsque je demande si la dentiste avait l’intention de mettre des amalgames, elle me dit, OUI pas de danger et je réplique que je n’en veux pas, alors elle me rétorque que les composites était dangereux aussi puisqu’ils contenaient du bisphénol (je crois), et de ce fait, pour deux des caries, elle me propose de la porcelaine a un prix assez élevé.
je suis outrée et désolée pour tous, d’avoir entendu dire que c’était banale que de mettre de l’amalgame dans la bouche d’une enfant, dans ce cas.
je voulais aussi vous demander si vous aviez un dentiste pratiquant sans amalgame et retirant ceux déjà installés, dans ma région : Dijon ou Chalon Sur Saône.
merci encore et soyez assuré de ma gratitude pour votre combat de la vérité pour tous.
bonjour et merci de votre article!
j’ai souffert d’abominables migraines il y a une quinzaine d’années accompagnées d’une fatigue chronique. La dentiste qui me suivait avait elle-même souffert d’une intoxication au métaux lourds, son premier bébé était NE couvert d’eczéma!
Elle m’a recommandée à un confrère très compétent qui a déposé mes amalgames , et plus précisément le tenon métallique d’une couronne qui produisait des bactéries anaérobies…
DU JOUR AU LENDEMAIN les migraines ont disparu, la fatigue s’est estompée peu à peu!
Je tiens à préciser qu’à cette époque, j’ai également consulté un autre dentiste, (il était à ce moment le Recteur de la fac dentaire du lieu) . Je suis venue chez lui enceinte, avec un article sur la dangerosité des amalgames , il s’est mis en colère et l’a jeté à la poubelle devant mes yeux , en me disant que tout cela n’était que des balivernes!!!!! pourquoi?