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Saviez-vous que votre corps était composé à 99,1 % d’eau ?

Eh oui : 99,1% des molécules du corps humain sont des molécules d’eau.

Et le reste ? Ce sont des « ions », essentiellement.

Les ions sont les sels minéraux comme le potassium, le magnésium ou le sodium : ils représentent 0,5 % de nos molécules.

Ce qui conduit le chimiste Marc Henry à dire drôlement :

« Un être humain, c’est un tube traversé par de l’eau et des ions. Les organes, le reste, ce sont les ‘décorations de Noël’, mais le sapin, c’est l’eau et les ions ».

Si vous n’avez pas l’habitude d’entendre ceci, c’est normal.

Habituellement, on vous dit que l’eau représente 60 à 70 % du poids du corps.

C’est vrai, mais la proportion de molécules d’eau (99,1 %) est le chiffre le plus important pour votre santé.

De fait l’eau est partout :

  • Les deux tiers de notre eau sont logés à l’intérieur même de nos cellules (liquide intracellulaire) ;
  • Un peu moins d’un quart de notre eau entoure nos cellules (liquide interstitiel) ;
  • Et le reste est contenu dans le sang qui circule dans notre corps (5 litres d’eau pour un homme de 70kg)

Vous comprenez pourquoi 2 ou 3 jours sans boire suffisent à dépérir !

Une évidence : l’eau doit être votre boisson « reine »

Nous perdons « naturellement » entre 1,5 et 3 litres d’eau chaque jour.

Il est donc vital de compenser cette perte par des aliments et des liquides contenant de l’eau.

Je reviendrai à la fin de cette lettre sur les aliments à privilégier – et vous verrez qu’il est au moins aussi important de « manger » de l’eau que d’en boire.

Mais s’agissant des « liquides » à avaler, je tiens à rappeler cette évidence : l’eau doit être votre principale boisson quotidienne !

Vraiment, oubliez les boissons sucrées comme les jus de fruits et les sodas, sauf « jour de fête ».

Une étude toute récente publiée dans le journal Alzheimer & Dementia l’a encore confirmé : en plus de leurs dégâts sur votre poids ou sucre sanguin, les boissons sucrées sont associées à une perte de volume cérébral, une perte de mémoire et probablement Alzheimer au bout du chemin. [1]

Alors bien sûr, si vous adorez vous presser une orange le matin, ce n’est pas moi qui vais vous dire d’arrêter ce petit plaisir.

Une seule orange représente moins d’un demi-verre (environ 100 millilitres), donc cela ne risque pas de vous faire beaucoup de mal, à moins d’être diabétique.

Mais vous devez quand même savoir que ce demi-verre contient l’équivalent de 2 sucres… comme un coca-cola ! (mangez des fruits entiers plutôt que des jus, car les fibres du fruit permettent de ralentir le passage du sucre dans le sang).

Votre principal « liquide » doit donc être de l’eau, à température ambiante ou bien sous forme de tisane, infusion ou thé.

Là où cela se complique un peu, c’est lorsque vous devez choisir quelle eau boire.

Une certitude : l’eau du robinet, c’est NON

Certes, l’eau du robinet ne risque pas de vous « empoisonner », en tout cas pas à court terme.

Car dans les pays occidentaux, les stations d’épuration font un excellent travail pour éliminer toutes les bactéries dangereuses de l’eau courante.

Le seul problème, c’est que pour tuer les « mauvaises » bactéries, les stations d’épuration utilisent généralement du chlore.

Le chlore tue les bactéries dans les stations d’épuration… mais il tue aussi les bonnes bactéries de votre propre organisme !

Si vous en avalez, le chlore risque donc de perturber votre flore intestinale remplie de bactéries indispensables à la santé… avec des conséquences douloureuses à long terme (je vous renvoie à ma lettre sur l’intestin si vous n’en êtes pas convaincu).

Et puis le chlore est connu pour augmenter le « stress oxydatif » de vos cellules… ce qui augmente votre risque de cancer [2] – et de fait, les nageurs de piscines chlorées ont davantage de cancers de la vessie. [3]

Une autre petite « surprise » des stations d’épuration est qu’elles peuvent utiliser du sulfate d’alumine pour assainir l’eau… ce qui fait que de l’aluminium en petite quantité peut se retrouver dans votre eau du robinet.

Je rappelle que l’aluminium est un « neurotoxique », ce qui veut dire qu’il peut endommager votre cerveau.

Ce n’est pas un simple risque « théorique » : en 2000, l’étude PAQUID menée par l’INSERM en Gironde et Dordogne avait même révélé que des taux élevés d’aluminium dans l’eau du robinet pouvaient multiplier par deux le risque de développer la maladie d’Alzheimer.

Et ce n’est pas tout.

L’autre grand problème des stations d’épuration, c’est ce qu’elles ne font pas.

La plupart des stations ne filtrent pas les pesticides et résidus médicamenteux, que vous retrouvez donc dans votre eau du robinet.

Et c’est comme ça que vous vous retrouvez à avaler quotidiennement des doses infinitésimales de pilule contraceptive, de doliprane (paracétamol), d’anti-dépresseurs et d’antibiotiques.

Ce n’est pas moi qui le dis, mais un rapport officiel de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), datant de 2011. [4]

Dans certaines communes françaises, le niveau d’un herbicide très dangereux, l’atrazine, dépasse même les seuils autorisés (regardez plutôt ce reportage inquiétant).

Mais même lorsque les seuils officiels sont respectés, personne ne peut vous garantir qu’un tel « cocktail » de produits chimiques soit inoffensif.

Et quand on voit que certains poissons d’eau douce se « féminisent » sous l’effet de tous ces polluants, je me dis qu’il vaut mieux éviter de boire cette eau-là !

Dernière chose à savoir sur l’eau du robinet : les tuyaux peuvent contenir des « phtalates » (un perturbateur endocrinien) ou pire encore, du plomb (un dangereux neurotoxique) si votre système de canalisation est ancien – pour en avoir le cœur net, renseignez-vous auprès de votre mairie ou de votre syndic !

Alors faut-il vous précipiter sur l’eau en bouteille ?

Une conviction : l’eau en bouteille est clairement un « moindre mal »

Je sais bien que le plastique des bouteilles est mauvais notre planète, hélas. Et que boire de l’eau de source pèse lourd sur les petits budgets.

Je reconnais aussi que le plastique des bouteilles n’est pas 100 % idéal pour la santé.

Des substances comme l’antimoine, le formaldéhyde ou l’acétaldéhyde pourraient migrer dans l’eau lorsque la bouteille chauffe un peu – évitez donc de mettre vos bouteilles d’eau au soleil ou à côté d’un radiateur !

Mais soyons clairs : par rapport à de l’eau du robinet non filtrée, il n’y a pas photo.

Car depuis 1991, les bouteilles d’eau (en PET) ne contiennent plus les dangereux phtalates. Et à la différence des grosses bombonnes d’eau que vous trouvez dans certains bureaux (à éviter !), elles ne contiennent pas non plus de bisphénol A.

Surtout, les eaux de source et les eaux minérales ne contiennent pas (ou quasiment pas [5]) de toxiques dangereux comme les pesticides, les résidus de médicament ou des métaux dangereux comme le plomb ou l’aluminium !

Évitez simplement de boire tous les jours des eaux trop riches en fluor, comme Vichy St Yorre et Vichy Célestins.

En revanche, contrairement à une idée reçue, vous pouvez boire des eaux riches en bicarbonates de sodium, comme Badoit ou Quézac, sans risque pour votre cœur : elles ne risquent pas d’augmenter votre tension artérielle [6] (c’est le chlorure de sodium qui est mauvais, pas le bicarbonate).

Donc pour moi, pas de doute : l’eau minérale ou l’eau de source est à privilégier par rapport à l’eau du robinet.

Mais on peut faire encore mieux :

L’idéal ? Filtrer l’eau – mais pas n’importe comment !

Avoir chez soi un bon système de filtration de l’eau est idéal sur tous les plans : c’est économique, c’est bon pour l’environnement et c’est bon pour la santé.

Le seul problème, c’est qu’il est bien difficile de s’y retrouver dans tous les systèmes de filtration qui existent.

Le plus simple – mais le moins prudent – ce sont les carafes filtrantes, type Brita.

Elles ont le mérite d’enlever parfaitement le chlore de l’eau du robinet, ce qui est déjà une très bonne chose.

Mais pour les autres polluants toxiques, l’efficacité est loin d’être parfaite. [7]

En plus, ce type de filtre peut relâcher des substances douteuses au tout début (ne jamais boire les 2 premiers litres)… et en fin de vie : lorsqu’ils sont usés, les filtres peuvent relarguer les toxines filtrées dans votre eau (il faut donc bien les changer à temps !).

Si vous choisissez ce type de filtre, mieux vaut les installer directement sur votre robinet de cuisine, car les résultats de filtration semblent un peu meilleurs qu’en carafe.

Mais si vous le pouvez, l’idéal reste d’installer chez vous un filtre à « osmose inverse », qui assainit PARFAITEMENT votre eau.

Avec l’osmose inverse, vous êtes certain de n’avaler aucun résidu toxique dans votre eau !

Au départ, c’est vrai que cela représente un sérieux investissement financier. Mais au bout de quelques années, vous l’aurez largement rentabilisé par rapport à de l’eau en bouteille.

Et voilà, vous savez tout sur l’eau que vous devriez boire.

Tout ? En fait, non, pas tout à fait.

Je vous ai dit l’essentiel… mais pour vous, mes chers lecteurs passionnés de santé, j’aimerais aller encore plus loin sur la question de l’eau idéale.

Et je voudrais vous parler de deux sujets très délicats, qui ne font pas consensus scientifiquement.

Je vais vous les exposer sans parti pris, en espérant que les plus « sachants » d’entre vous apporteront leurs lumières en commentaire de cet article.

Commençons par la question des minéraux contenus dans l’eau, qui déchire les partisans des médecines naturelles.

Deux camps irréconciliables : eau minéralisée vs eau peu minéralisée

Certains naturopathes et scientifiques recommandent de boire uniquement de l’eau très faiblement minéralisée.

Ils ne prônent pas pour autant de l’eau totalement « pure » ou « distillée », mais ils déconseillent fortement des eaux contenant beaucoup de minéraux, comme Contrex par exemple.

Ils ne recommandent même pas l’eau d’Evian, pourtant peu minéralisée.

Seule l’eau du robinet filtrée ou des eaux comme Montcalm ou Mont Roucous trouvent grâce à leurs yeux.

L’eau, disent-ils, est faite pour « nettoyer », pas pour apporter des minéraux. Selon eux, les minéraux de l’eau seraient mal assimilés par l’organisme et finiraient par « l’encrasser » !

Là, il y a peut-être un élément de leur raisonnement qui m’échappe (dites-le moi en commentaire !), mais une chose est sûre : il n’est pas vrai scientifiquement que les minéraux de l’eau, comme le magnésium ou le calcium, soient particulièrement mal absorbés – de nombreuses études l’ont démontré. [8]

Dans l’autre camp, on recommande au contraire de boire des eaux riches en minéraux, pour combler des carences éventuelles.

Par exemple, si vous manquez de calcium, la Contrex peut vous en apporter une dose intéressante. Si vous aimez les eaux gazeuses, la Badoit est assez bien équilibrée en minéraux, tandis qu’une eau comme la Salvetat est intéressante pour sa richesse en silice.

Dans ce camp-là, on se méfie beaucoup des eaux trop faiblement minéralisées.

Mon ami le Dr Jean-Paul Curtay aime citer un cas extrême de leur danger : si vous courez un marathon, vous perdez énormément de sels minéraux via la transpiration… et si à ce moment-là vous buvez un litre d’eau pure (sans minéraux), vos cellules risquent de se gorger d’eau et vous allez vous mettre à gonfler… dans le cerveau, cela peut provoquer un œdème cérébral… qui peut vous tuer !

Voilà les deux camps qui s’affrontent… mais il n’est pas si difficile de les réconcilier.

Une chose est sûre : évitez l’eau pure après une activité physique intense, et privilégiez une eau minérale.

En dehors de ce cas particulier, mon avis est que vous pouvez parfaitement boire de l’eau très faiblement minéralisée au quotidien… du moment que vous faites le plein de vitamines et de minéraux par ailleurs !

J’en arrive au deuxième grand « dilemme » de l’eau idéale, encore plus sensible :

Le mystère de la vie : faut-il boire de l’eau « vivante » ?

Tout un courant de pensée défend l’idée que l’eau devrait idéalement être « redynamisée » pour exercer les meilleurs effets pour la santé.

L’eau en bouteille, de ce point de vue, serait de « l’eau morte », dépourvue d’énergie.

Ce serait même confirmé par certaines unités de mesure (comme le « Bovis ») qui permettraient d’évaluer l’énergie vibratoire des aliments et de l’eau… et qui confirmeraient l’intérêt de la « dynamisation » de l’eau.

Honnêtement, je m’avoue incompétent sur ce sujet.

Si j’avais l’esprit borné, je dirais que ce n’est pas sérieux car non reconnu par la communauté scientifique.

Mais voilà, je sais aussi que des tas de choses qui nous paraissaient mystérieuses et non scientifiques au départ ont fini par être démontrés de façon rigoureuse.

Les microbes, invisibles à l’œil nu, paraissaient invraisemblables aux médecins… jusqu’à la révolution pasteurienne. Même chose pour les ondes, les particules quantiques, et tant de découvertes qui ont révolutionné la science.

Du coup, je ne rejette absolument pas l’idée qu’il serait bon de « dynamiser » l’eau.

Pour tout vous dire, je suis même régulièrement tenté de me procurer une fontaine à eau filtrante et redynamisante – même si je ne peux pas être certain de ses bienfaits.

Une page Internet très bien faite recense les différents modèles existants sur le marché : http://www.lemieuxetre.ch/eau/eau_solutions_intro.htm#fontaines

Je vous invite à la lire tout en gardant votre esprit critique – l’auteur a peut-être raison mais il m’est impossible de vous le garantir !

Encore une fois, si vous-même avez des convictions (et des arguments) sur le sujet, n’hésitez pas à les partager avec tout le monde ici.

Une dernière conclusion : n’oubliez pas de manger l’eau !

Pour finir, je voudrais vous parler d’une eau qui met TOUT LE MONDE d’accord : c’est celle des fruits (entiers) et des légumes (entiers ou en jus) !

C’est une façon ultra-naturelle de s’hydrater et d’ingérer de l’eau « vivante », naturellement riche en vitamines et minéraux !

Des médecins de pointe comme le Dr Mercola estiment même que l’eau des fruits et légumes aurait des propriétés spécifiques (ce serait de « l’eau structurée »), bénéfiques pour la santé.

Voilà pourquoi vous devez tirer pleinement profit de cette forme d’eau plébiscitée par tous :

  • Toute l’année, mangez beaucoup de fruits et légumes – et surtout des légumes !
  • En hiver, buvez de la soupe très régulièrement ;
  • Et en été, n’hésitez pas à vous gorger de pastèque (peu sucrée) pour vous hydrater, ainsi que de salades de légumes remplis d’eau comme le concombre ;

…Et faites comme moi, préparez-vous un grand jus de légume bio le matin au réveil ! Un jus de concombre, fenouil, courgettes, carottes, betteraves, voilà de l’eau qui guérit !

284 commentaires

  • Marco dit :

    Un grand MERCI pour votre article sur l’eau !

    Cela reste encore passablement mystérieux pour savoir quelle est la meilleure eau à boire !

    Je partage votre conclusion, les jus de légumes et fruits sont certainement le meilleur apport! Avec la ANGEL, c’est juste un vrai bonheur !

    Néanmoins j’ai fais l’achat de la Leveluk 8 de Kangen, après avoir essayé la REDOX, trop chère pour le long terme sans en voir des résultats probants!

    A bientôt
    Amitiés, Marco

  • GERLINGER dit :

    On pourrait parler du charbon pour assainir l eau mais quel charbon ? Merci

  • André dit :

    Ce que vous dites sur l’eau du robinet n’et pas exact. Cette eau est soumises à des normes plus strictes que celles relatives aux eaux en bouteille.
    Vous méconnaissez le secteur : une station d’épuration ne nettoie pas l’eau pour la rendre potable. elle nettoie les eaux usées. C’est une station de traitement ou de potabilisation qui rend l’eau potable. Ce n’est pas la même chose car les processus ne sont pas les mêmes.
    Les normes sanitaires sont définies e.a. par l’OMS et évoluent en fonction de l’évolution des connaissances scientifiques. Les normes sanitaires tiennent compte d’un effet chronique (long terme) de la toxicité des paramètres chimiques qu’on peut trouver dans l’eau.
    Le sulfate d’alumine est utilisé pour éliminer l’aluminium dans l’eau! C’est la magie de la chimie…
    Plusieurs études montrent que le risque d’obtenir des résidus de médicaments dans l’eau est très très faible. On retrouve dans certaines rivières du paracétamol à des concentrations de l’ordre de 10 ng/L, alors qu’un comprimé de Dafalgan 1g représente 1.000.000.000 ng/L. Il faudrait boire 100.000.000 litres d’eau pour obtenir la même dose de paracétamol! Alors, restons calmes!

  • BOVIERLAPIERRE dit :

    Bonjour
    Juste une constatation :
    J’ai remarqué en regardant mon chien et mon chat, qu’ils boivent en traînant les pattes l’eau que je leur laisse à disposition dans la maison ( même changée tous les jours) et par contre se précipitent sur le 1er ruisseau venu dès qu’ils le peuvent , même si elle est marron après un orage et même si l’évier de la cuisine de la voisine se jette directement dedans !

  • jean-luc PEAUDECERF dit :

    Bon article mais l’ “élitisme” commence à devenir pesant. Il aurait été bon de donner quelques “tuyaux” pour les systèmes d’osmose inverse, plutôt que d’annoncer tout de go “c’est le meilleur mais cela représente un certain investissement’…1700 à 2200€, oui, en effet ! On se retrouve en plein monde “bobo” : la santé c’est pour les riches. Je gagne 1000€ pat mois : alors pouvez-vous répondre à cette simple question : pour investir 2000€ “pour ma santé”, je fais COMMENT ?

  • Deshayes dit :

    Dans le cadre d’insuffisance rénale, quelle eau doit-on boire, merci de vos conseils et éclairages, cordialement.

  • Payet dit :

    Bonjour à tous, je vous remercie infiniment de cette bonne nouvelle à propos de l’eau du robinet, depuis déjà un long moment que je ne bois plus de cette eau Merci

  • Daloux Lysiane dit :

    Très intéressant !.. mais pour cuire les légumes on ne peut pas utiliser d’ eau en bouteille !..

  • Sylvie Maisonnave dit :

    Bonjour vous ne parlez pas de UV?qu en pensez vous comment fonctionne l osmose inverse ?que faire pour dynamiser l’eau?merci

  • napp dit :

    pouvez vous me faire savoir quelle serait la solution pour faire analyser l’eau d’une nappe phréatique dans le Vaucluse.merci

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