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Comment réagiriez-vous, si je vous disais :

– Qu’avoir du cholestérol n’est pas le signe d’une crise cardiaque annoncée ; jusqu’à 4 grammes, ce n’est absolument pas une épée de Damoclès qui menace votre vie ;

– Que des millions de personnes prennent donc inutilement des médicaments visant à faire baisser leur cholestérol, avec les graves effets indésirables qui vont avec.

Je suis sûr que vous auriez du mal à le croire.

Et c’est logique, puisque cela fait des années qu’on vous dit partout, dans les médias et chez votre médecin, que le cholestérol est mauvais pour vos artères.

Et pourtant, la vérité est tout autre, comme vous allez le voir.

Moi le premier, j’ai mis du temps à l’admettre. J’avoue qu’il m’était difficile d’imaginer qu’une désinformation aussi énorme soit encore possible aujourd’hui, au 21ème siècle.

J’avais beau connaître le pouvoir d’influence de l’industrie pharmaceutique, et savoir qu’elle gagne chaque année des dizaines de milliards d’euros grâce à ses médicaments « anti-cholestérol », je restais sceptique.

Mais lorsque l’on fait des recherches approfondies, avec les meilleurs experts indépendants, on change rapidement d’avis.

Et je vous rassure : il n’y a pas besoin d’être un expert en biochimie pour comprendre à quel point la théorie du « mauvais cholestérol » est bancale.

Des chercheurs et des médecins courageux en ont fait la démonstration complète. C’est le cas notamment du Dr Michel de Lorgeril et du Pr Philippe Even, et je vous encourage vivement à lire leurs livres si vous avez du cholestérol. [1]

Mais je voudrais ici vous donner quelques faits, qui ne sont contestés par personne, et qui devraient suffire à vous faire douter sérieusement de la « théorie officielle ».

Les chiffres qu’on vous a cachés pendant 40 ans

Cela commence par les résultats étonnants d’une grande étude réalisée dans les années 1970, à l’époque où le cholestérol a commencé à être accusé de tous les maux.

Étrangement, les résultats de cette étude ont été cachés, censurés pendant 40 ans. Mais ils viennent enfin d’être publiés, le 12 avril 2016, dans le British Medical Journal, une revue de référence. [2]

Vous allez vite comprendre pourquoi cette étude ne plaisait pas à tout le monde…

Pendant plusieurs années, des chercheurs ont suivi 9 400 patients vivant en institution (hôpital ou maison de retraite). Cela leur a permis de contrôler leurs repas avec une précision d’horloger, et de leur faire régulièrement des prises de sang.

Deux groupes ont été formés : le premier devait suivre le régime classique de l’époque, riche en graisses animales (beurre, en particulier). Le second, lui, s’est vu imposer un régime pauvre en graisses animales, mais enrichi en huile de maïs.

La théorie de l’époque était que les graisses animales (dites « saturées ») causaient du cholestérol et bouchaient les artères. A l’inverse, les graisses dites poly ou mono-insaturées comme l’huile de maïs ou de tournesol étaient censées être bonnes pour le cœur.

De façon attendue, les patients du groupe « huile de maïs » ont vu leur taux de cholestérol diminuer, contrairement à ceux du groupe « graisse animale ».

Le « petit » problème était que, malgré cette baisse de leur cholestérol, ils ont subi 2 fois plus de crises cardiaques que les autres (41 % contre 21 % parmi les décédés). Et chez les plus de 65 ans, le groupe « huile de maïs » a de surcroît connu 15 % de morts en plus !

Encore plus marquant : plus leur cholestérol avait baissé, plus leur mortalité était élevée. D’après l’analyse statistique, chaque baisse de 0,3 points de leur cholestérol total augmentait le risque de mourir de 22 %.

Quand un médicament « hyper efficace » est abandonné en rase campagne

Un autre événement récent a violemment contredit la théorie « officielle », celle qui vous dit qu’il y a un « bon » et un « mauvais » cholestérol.

Tout est parti de la découverte d’une nouvelle molécule anti-cholestérol très puissante, l’evacetrapib, fabriqué par le laboratoire pharmaceutique Eli Lilly.

Les effets de cette molécule sont assez incroyables : elle parvient à augmenter drastiquement le « bon cholestérol » (HDL) de 130 %, tout en diminuant le « mauvais » (LDL), de 37 %.

Voilà qui aurait dû diminuer efficacement le nombre d’accidents cardiaques, n’est-ce pas ?

Eh bien pas du tout. Les résultats sont tombés le 3 avril 2016 : les patients qui ont avalé cette pilule n’ont pas eu moins d’accidents cardiaques que ceux qui ont pris un simple placebo. [3]

Le responsable de l’étude, le docteur Stephen Nicholls, a avoué son malaise : « nous avions un médicament qui semblait agir sur tout ce qu’il fallait ; comment un traitement qui diminue quelque chose identifié comme délétère ne peut entraîner aucun bénéfice ?  » [4]

Ces résultats étaient tellement gênants pour la « théorie officielle » que l’étude a été interrompue en cours de route. Et le laboratoire pharmaceutique a annoncé qu’il abandonnait totalement les recherches sur cette « pilule miracle ».

Il était temps d’arrêter les frais, en effet : car c’est au moins la 5ème étude qui montre qu’il n’y a aucun intérêt à augmenter artificiellement le « bon cholestérol » (HDL). [5]

Quant au « mauvais cholestérol » (LDL), il suffit d’aller au Japon pour comprendre qu’il n’a rien de mauvais en soi.

Les Japonais ont du cholestérol et se portent bien, merci

On sait depuis les années 1970 que certains peuples ont peu d’accidents cardiaques malgré un cholestérol élevé. C’est le cas en particulier des Inuits du Groenland, dont le régime traditionnel était très riche en graisses animales (phoque, renne, …).

Mais la façon de vivre des Inuits était tellement éloignée du monde occidental qu’on n’y a pas prêté grande attention.

Le Japon, en revanche, est un cas d’école frappant.

Au début des années 1980, ce pays était cité comme la meilleure illustration de la validité de la « théorie du cholestérol ». Regardez comme leur cholestérol est bas, nous disait-on… Voilà pourquoi ils ont aussi peu de maladies cardiaques !

Sauf qu’entre-temps, le taux de cholestérol au Japon a nettement augmenté et rattrapé celui des pays occidentaux. Ils devraient donc avoir connu une nette augmentation des maladies cardio-vasculaires, n’est-ce pas ?

Pas du tout. Ils ont même moins de maladies du cœur qu’avant ! Et au total, ils en ont 3 à 4 fois moins que dans les pays occidentaux ! [6]

Encore plus troublant : des données récentes montrent que les Japonais vivent d’autant plus longtemps que leur « mauvais » cholestérol (LDL) est élevé. [7]

Voilà encore un fait « inexplicable » si l’on en croit la théorie officielle. Mais ce n’est pas le seul :

Trois faits chiffrés qui démontent la « théorie officielle » du cholestérol

Voici trois autres faits peu connus sur le cholestérol. Ils ne sont contestés par personne, mais on se garde bien de les crier sur les toits.

Fait n°1 : avoir trop peu de cholestérol est dangereux.

Il est parfaitement admis dans le monde médical qu’un taux de cholestérol insuffisant est très problématique.

Les enfants qui naissent carencés en cholestérol ont des retards cognitifs, des troubles de l’immunité et des problèmes digestifs. Quand on leur donne du cholestérol, leur état général s’améliore.

De façon générale, on a observé qu’un taux de cholestérol bas (inférieur à 1,6 g) est associé statistiquement à un risque plus élevé d’hémorragies cérébrales et de cancers. [8]

Fait n°2 : les patients hospitalisés pour un problème cardiaque n’ont pas un cholestérol élevé

C’est une grande étude de 2009 qui a révélé le pot aux roses.

Quand les chercheurs ont examiné les taux de cholestérol de 232 000 patients hospitalisés pour une pathologie du cœur, ils se sont aperçus que leur taux de « mauvais » cholestérol (LDL) était… parfaitement dans la norme (1,05 g) ! [9]

Et ce n’est pas expliqué par le fait qu’ils prennent des médicaments anti-cholestérol : seuls 20 % d’entre eux étaient sous statine.

Ces résultats ont été confirmés depuis . Pire : parmi les patients hospitalisés après un infarctus, ce sont même ceux qui avait un taux de LDL le plus abaissé (inférieur à 0,77) qui avaient le plus de risques de mourir ! [10]

Fait n°3 : avoir du cholestérol protège les seniors contre le cancer et d’autres maladies

Les études sont formelles : chez les plus de 85 ans, ceux qui ont davantage de cholestérol vivent plus longtemps, notamment parce qu’ils sont mieux protégés des cancers et des infections. [11]

Tous ces faits, mis bout à bout, torpillent la « théorie officielle » du cholestérol.

Elle reste dominante car cela prend toujours énormément de temps avant que des autorités officielles ne reconnaissent qu’elles se sont massivement et gravement trompées.

Mais quand on regarde bien, on perçoit déjà les prémisses de la débandade annoncée.

Retournements de veste dans tous les sens

Le premier coup de tonnerre est venu de l’Association Américaine de Cardiologie (American Heart Association).

En 2013, elle a laissé entendre qu’il était inutile de fixer des objectifs de réduction du taux de cholestérol. Pour les cardiologues américains, l’important est de prendre son médicament anti-cholestérol (les statines), pas de chercher à atteindre un taux particulier de cholestérol.

Autrement dit, ils commencent à battre en retraite… Il était difficile de continuer à défendre la « théorie du cholestérol », mais il fallait encore essayer de sauver le « soldat statines », qui rapporte tant d’argent à l’industrie pharmaceutique.

En février 2015, c’est au tour de l’un des plus éminents défenseurs de ces médicaments (statines), Sir Rory Collins, de jeter un pavé dans la mare. Plutôt un rocher, même.

Sir Collins est à la tête de deux consortiums de recherche privés (financés en partie par l’industrie pharmaceutique), qui ont produit une grande partie des études concernant ces médicaments anti-cholestérol depuis 20 ans.

Or ce « pape des statines » a reconnu benoîtement que lui et ses groupes de recherche n’avaient jamais étudié sérieusement les effets secondaires des statines !

Pourquoi ? Parce que, a-t-il avoué, sa conviction que les statines sauvaient des vies était telle qu’il voulait éviter d’inquiéter les patients en dévoilant leurs effets toxiques.

Voilà qui est extraordinaire ! Et qui montre à quel point il ne faut jamais faire une confiance aveugle aux études financées par l’industrie pharmaceutiques, ni aux experts ayant des liens d’intérêt avec elle.

Car en réalité, on commence à bien connaître les effets délétères des statines : douleurs musculaires, diabète, cancer, démences séniles, etc. Il faudra des années pour identifier précisément l’ampleur du désastre, mais si vous-même prenez des statines, lisez vite L’horrible vérité sur les médicaments anti-cholestérol, du Dr Michel de Lorgeril.

Dernier acte : en janvier 2016, le secrétaire d’État à la santé américain a reconnu qu’il était inutile de limiter sa consommation d’aliments riches en cholestérol.

Pendant des années, les autorités américaines ont recommandé de limiter sa consommation de cholestérol alimentaire, diabolisant au passage de merveilleux aliments comme les œufs.

C’est désormais fini, et c’est un clou supplémentaire sur le cercueil de la grande théorie du méchant cholestérol.

Que faire si vous avez du cholestérol

Au total, il n’est pas surprenant de voir qu’une substance aussi vitale pour la santé de chacune de nos cellules ne peut pas être une cause directe des maladies cardiaques.

« Vouloir comprendre et régler ces problèmes par la mesure d’un simple paramètre sanguin comme la concentration du cholestérol, puis par la prescription d’un médicament qui le diminue, relève d’un simplisme déconcertant », résume le Dr de Lorgeril.

Cela ne veut pas dire que le cholestérol ne peut jamais être nocif, évidemment.

Tout dans la nature est problématique en excès. C’est pourquoi ceux qui ont une « hypercholestérolémie familiale » notamment, doivent être suivis médicalement.

Mais notez bien que c’est une maladie génétique rare, qui donne des taux de cholestérol très supérieurs à la norme (plus de 4 g/L, là où la moyenne est de 2).

Cela veut dire que pour 99,9 % de la population, le taux de cholestérol est tout sauf un indicateur fiable de la santé vasculaire.

Avoir un peu de cholestérol est même plutôt une bonne nouvelle, car c’est un facteur protecteur de nombreuses maladies (cancer, infections, Alzheimer, diabète).

Parlez-en à votre médecin, voyez avec lui comment éviter de prendre des médicaments sur la seule base de vos de taux cholestérol, HDL ou LDL.

Surveillez plutôt votre mode de vie et votre alimentation. Surtout, agissez : arrêtez de fumer, protégez-vous du stress et faites davantage d’activité physique.

Je reviendrai en détail sur ce que vous devez vraiment regarder dans vos analyses sanguines… et sur les habitudes de vie qui protègent votre cœur, sans médicament.

D’ici là, méfiez-vous de la désinformation médicale sur ce sujet et…

P.S. : Figurez-vous qu’il y a quelques jours seulement, fin juin, une nouvelle étude est venue enterrer pour de bon la théorie du « mauvais cholestérol ».

Elle vient tout juste d’être publiée dans l’une des plus prestigieuses revues médicales au monde, le British Medical Journal (excusez du peu !). [12]

Les chercheurs ont étudié 30 cohortes de patients, représentant au total 68 000 personnes. Et leur conclusion est sans appel :

– Dans la moitié des cas étudiés, le taux de « mauvais cholestérol » (LDL) n’avait aucun lien avec le risque de mortalité ;

– Dans l’autre moitié des cas, les chercheurs ont découvert que les patients qui avaient un taux de cholestérol LDL élevé vivaient plus longtemps.

Vous avez bien lu. Ce n’est pas une erreur de frappe : on a moins de risque de mourir prématurément lorsqu’on a un « mauvais cholestérol » LDL élevé, passé 60 ans.

Je cite les auteurs de l’étude :

« Cette découverte contredit « l’hypothèse du cholestérol » (à savoir que le cholestérol, surtout LDL, est mauvais en soi). Puisque les personnes âgées avec un taux élevé de cholestérol LDL vivent aussi longtemps ou plus longtemps que ceux ayant un taux de LDL bas, notre analyse donne des raisons de remettre en cause l’hypothèse du cholestérol. »

Et comme si ce n’était pas assez clair, les auteurs précisent que cela a des implications pour ceux qui prennent des médicaments anti-cholestérol :

« De plus, notre étude est un argument pour ré-évaluer les recommandations officielles sur la prévention des maladies cardio-vasculaire via la réduction médicamenteuse du cholestérol LDL chez les personnes âgées. »

Je traduis en bon français ce qu’ils essaient de dire : « Vite, il faut revoir en urgence les recommandations officielles qui poussent à prendre des médicaments anti-cholestérol, elles sont probablement en train de tuer des patients » !

Sources :

[1] Michel de Lorgeril : Cholestérol, Mensonges et Propagandes, 2013 et L’horrible vérité sur les médicaments anti-cholestérol, 2015. Philippe Even : La vérité sur le cholestérol, 2013 et Corruption et crédulité en médecine, 2015.

[2] Re-evaluation of the traditional diet-heart hypothesis: analysis of recovered data from Minnesota Coronary Experiment (1968-73) Ramsden CE et al, BMJ. 2016 Apr

[3] Evacetrapib Fails to Reduce Major Adverse Cardiovascular Events, Trial discontinued after drug shows no clinical benefit, despite impacts on cholesterol, Beth Casteel, American College of Cardiology, Apr 2016

[4] Voir l’article de France Info TV : Cholestérol et risques cardiovasculaires, un nouveau pave dans la mare ?

[5] Association between change in high density lipoprotein cholesterol and cardiovascular disease morbidity and mortality: systematic review and meta regression analysis. Briel M, Ferreira Gonzalez I, You JJ, et al. BMJ. 2009; 338: b92

[6] Continuous decline in mortality from coronary heart disease in Japan despite a continuous and marked rise in total cholesterol: Japanese experience after the Seven Countries Study, Sekikawa A et al, Int J Epidemiol. 2015 Oct

[7] Towards a Paradigm Shift in Cholesterol Treatment. A Re-examination of the Cholesterol Issue in Japan: Abstracts, Journal of Nutrition and Metabolism, Apr 2015

[8] Serum Cholesterol Level and Mortality Findings for Men Screened in the Multiple Risk Factor Intervention Trial, James D. Neaton, PhD et al, JAMA Internal Medicine, 1992

[9] Lipid levels in patients hospitalized with coronary artery disease: an analysis of 136,905 hospitalizations in Get With The Guidelines, Sachdeva A et al, Am Heart J. 2009 Jan

[10] Relationship Between Serum Low-Density Lipoprotein Cholesterol and In-hospital Mortality Following Acute Myocardial Infarction (The Lipid Paradox), Vanessa S. Reddy et al, The American Journal of Cardiology, march 2015

[11] Total cholesterol and risk of mortality in the oldest old, Weverling-Rijnsburger AW et al, Lancet. 1997 Oct

[12] Lack of an association or an inverse association between low-density-lipoprotein cholesterol and mortality in the elderly: a systematic review June 2016

945 Comments

  • Nicole Sarrat-Lavillegrand dit :

    merci infiniment pour cet édifiante information !
    mais je ne suis pas étonnée : le pouvoir de l argent mène à tellement de turpitudes en tout genre !
    un grand merci à vous tous qui ramenez la juste lumière sur ces sujets .
    bien à vous

  • Almeras Josiane dit :

    Bonjour,
    Vous avez tout à fait raison d’informer sur les statines, mes deux frères en prenaient, et l’un d’eux a arrété avec l’accord de son médecin car il ne pouvait plus marcher suite à des douleurs musculaires, du coup mon autre frère a aussi arrété, je leur avait fait passer pas mal d’articles informant sur l’inutilité des statines dans le cas d’accident cardiaque. Mais un ami pour le moment ne veut rien entendre, je lui ai envoyé votre article en eszpérant qu’il le lira.
    Bien cordialement Josiane Almeras

  • Gisèle dit :

    ah les statines !!! j’en ai pris pendant 25 ans sans savoir tout cela et pourtant je signalais à mon médecin que j’avais mal aux muscles, elle me disait que cela avait rien à voir avec le zocor. Aujourd’hui je me suis informée car j’ai un déconditionnement musculaire à l’effort, je suis très vite fatiguée; je suis certaine que tout cela est dû aux médicaments d’autant plus qu’à ce moment là je prenais aussi des diurétiques pour un petit problème cardiaque pour m’entendre dire des années après que je n’en avais pas besoin.
    Le cocktail statine et diurétique est très toxique
    Merci la médecine.
    j’ai tout arrêté et je prends soin de moi avec des plantes aujourd’hui
    je vous encourage dans vos démarches et moi-même j’informe les gens qui veulent bien être informés. c’est le mieux que je puisse faire…
    bien à vous.

  • jay dit :

    une fois deplus les medecins ratent l’occasion de prendre leur métier en mains, dommage ,cela confirme que ma décision de me passer de leurs services est préférable….
    mourrir propre est également un choix….j’ai sois disant du cholesterol du diabete et de la tension.sans médicament pour les deux premier et j’en suis a la dose de un quart tous les deux jours de la dose prescrite pour la tension.
    72 ans et ca va j’écoute hyppocrate je suis mon propre médecin.merci a vous d’etre.

  • Sylvie dit :

    BRAVO et plus que cela pour votre lettre sur le cholestérol.
    je suis une rescapée du Crestor (petit dosage) que j’ai pris pendant 3 ans (1, 80 g) en prévention il y a maintenant 10 ans. (au cas ou je ferais un infarctus…)
    C’est grâce à une neurologue 3 ans plus tard : arrêtez, arrêtez tout de suite de prendre ce Crestor.

    Effets indésirables :
    quelques semaines plus tard après la prise de ce médicament :
    – capsulite rétractile des épaules déclenchée en 4 h : j’ai mis 2 ans pour récupérer
    – capsulite rétractile des hanches à ce jour pas entièrement récupérée 7 ans après l’arrêt du traitement
    – problèmes cardiaques résolues en 3 ans (pas par les médicaments)
    – sarcopénie qui est en voie de régression et pas par les médicaments
    Je n’ai pas eu de problème cognitif…mais j’aurais fini en chaise roulante.
    Mon médecin disait que c’était dans la tête
    Ils ont voulu me mettre des prothèses….
    Moi qui travaillait dans les hopitaux de Paris, je me suis fait intoxiquée par la médecine que j’ai servie pendant des années.
    Je ne supporte plus ce corps médical qui ne veut pas se remettre en question qui fait confiance aux labos mais je les excuse quand même car la faculté les a façonnés. De plus s’ils sortent un peu de ce système : exercice illégale de la médecine, de la pharmacie, charlatans et j’en passe avec les conséquences financières encourues.

    Mais moi en attendant je paie les conséquences de ma crédulité aussi bien en souffrance que pécuniairement.

    Malheureusement les 3/4 de la population ne sont pas prêts à attendre tout cela.
    Je terminerai mon propos pour vous dire que la médecine et surtout la chirurgie peuvent faire des miracles dans certains cas désespérés.

  • NdBdPdC dit :

    Bravo pour des acharnements non thérapeutiques…J’ai fait arrêter les statines, à mon époux qui souffrait d’effets secondaires, malgré l’obstinatin du médecin!!!!Véridique.Le cardio était plus mitigé !moins intransigeant. Il faut continur à se battre.
    (J’ai fais des recherches en labo et j’ai vu l’évolution des normes, J’étais abonnée à un journal clairvoyant dont je ne me souviens plus du titre et que j’ai abandonné lors de mon départ pour lAfrique, quel dommage…..J’ai 75 ans, c’est vieux mais bien d’actualité.

  • Ducret Duvillier Dominique dit :

    Très heureuse que de telles initiatives soient prises par
    des personnes qui ont le pouvoir de faire bouger les choses. Nous nous sentons tellement impuissants devant
    toute cette machinerie où il ne nous reste qu’à dire « amen ». Personnellement je me tiens à vos côtés.
    Merci pour ce que vous faites.

  • Rolland Michele dit :

    Je suis très troublée par votre article ,j’ai 76ans ,je prends des statines depuis 25ans …..ma mère est morte cardiaque à 64ans ,mon frère a fait un infarctus à 40 ans ,mes deux enfants 54ans et 52 ans sont déjà sous statines
    depuis plusieurs années et mes petits-enfants ont déjà un taux élevé de cholestérol.ils ont la trentaine : cholestérol familial (mutation d’un gène ) les arrières-petit sont là 6ans et 4ans ,pour le moment on ignore …..J’ai lu et entendu beaucoup de critiques concernant les statines ,mon cardiologue et mon médecin généraliste ´ »sont formels :il ne faut pas arrêter le traitement …..je pense surtout à mes enfants et petits- enfants …pour moi ma vie est faite et mon avenir derrière moi !!!

    • Viking dit :

      Je vous invite vivement à lire les ouvrage de Michel de Lorgeril, et pour commencer “L’horrible vérité sur les médicaments anticholestérol“ et “Prévenir l’infarctus et l’accident vasculaire cérébral“.
      Ainsi, vous pourrez mieux vous faire votre propre opinion.
      Il démontre, à partir des essais cliniques des labos pharmaceutiques, que le cholestérol est innocent dans les accidents cardio-vasculaires.

    • MARIE FRANCOISE SOUM dit :

      J AI BIENTOT 84 ANS JE NE PRENDS AUCUN MEDICAMENT JE MANGE BIO DEPUIS 1970…

    • Delaloye Joséphine dit :

      bravo Marie-Françoise, vous me plaisez déjà. Je mange bio également et je ne prends pas de médicament. je ne vais même pas consulter au cas où ils me trouveraient à tout prix un problème. Mais je suis en très bonne santé.

      Cordialement

      Joséphine Delaloye

  • yvette bruel dit :

    étant d’une famille de diabétique et cholestérol et
    après bcoup d’hésitations, j’ai arrêté le zocor depuis 6 mois et sans l’avis de mon endocrinologue, depuis je viens de la revoir et elle a vérifié le HDL qui est passé de 1,92 mmol/l analyse de 07/2015) à 2,15 (analyse de 06/2016)
    LDL 4,13 mmlol/l et analyse de 06/2016 : 3.98
    cholestérol total a peu près identique de 6,48 passé actuellement à 6,50
    depuis je n’ai plus cette impression d’avoir du plomb ds les jambes et je marche sans difficulté
    hemoglobine glyquée de 6.3 à 6.1 aujourd’hui mais
    je fais des efforts car je suis partie de 6.8
    mon endocrinologue m’a félicitée de prendre en charge
    ma santé ceci grâce à tous les conseils que vs donnez,
    merci de nous ouvrir les yeux, cela concerne notre bien le plus précieux : notre santé, mais je fais qd même confiance à la médecine, tout n’est pas à jeter ! et
    j’ai des médecins assez ouverts !
    encore merci, sincères salutations

  • ALLIOT Hervé dit :

    Je suis convaincu sur le fonds de votre article à propos du cholestérol.
    je prends depuis des années un traitement pour le cholestérol et l’hyper tension.
    Pouvez-vous nous préciser la méthode pour arrêter la pris de médicament
    Un arrêt brutale plus de prise du médicament
    un arrêt brutal avec un accompagnement (prise d’un produit naturel pour une bonne raison)
    un arrêt progressif avec ou sans accompagnement
    N’y a t-il pas d’effets secondaires ou négatifs à l’arrêt des médicaments (statines)
    merci pour vos réponses

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