Un des plus grands experts toxicologues du Canada, le Dr David Juurlink, a récemment lâché cette petite bombe :
« Si le paracétamol était mis sur le marché aujourd’hui, il ne serait pas autorisé à la vente. » [1] Paul Taylor. The Globe and Mail, Octobre 2015
Si vous pensez qu’il exagère, lisez bien cette lettre jusqu’au bout.
D’un point de vue scientifique, vous verrez qu’il a parfaitement raison (certaines découvertes récentes font froid dans le dos…).
Mais je peux d’ores et déjà vous affirmer que nos autorités ne risquent pas d’agir de sitôt.
Car le paracétamol est l’ingrédient principal d’un nombre impressionnant de médicaments : le Doliprane, bien sûr, composé à 100 % de paracétamol … mais aussi le Dafalgan et l’Efferalgan, ou encore Actifed, Humex, Fervex, Prontalgine, etc…
Cela fait du paracétamol le NUMÉRO 1 des ventes en pharmacie.
En nombre de boîtes, c’est le médicament le plus vendu en France, de très loin, avec la bénédiction de notre système médical.
Au total, les multinationales pharmaceutiques gagnent plus de 6 milliards de dollars avec ce produit. [2]
Si l’on révélait d’un seul coup toute la vérité sur le paracétamol et ses dangers, c’est tout notre système de santé qui pourrait chanceler :
Pour l’industrie pharmaceutique, le paracétamol est comme un domino : s’il s’effondre, il entraînera beaucoup d’autres médicaments dans sa chute. Car le paracétamol a longtemps joui d’une « bonne réputation » – si même lui est inefficace et dangereux, que penser des autres médicaments ?
Pour nos autorités de santé, c’est leur crédibilité qui est en jeu : comment ont-elles pu recommander son utilisation massive pendant si longtemps, et l’autoriser en vente libre ?
Quant aux médecins qui ont prescrit ce médicament de bonne foi pendant des années, ont-ils vraiment envie qu’on leur dise qu’ils ont mis leurs patients en danger ?
Personne n’a intérêt à ce que le scandale éclate.
Alors tout se passe discrètement, à pas feutrés…
Face aux dangers du paracétamol, quelles mesures prendre ?
Aux États-Unis, la FDA (l’équivalent de notre « agence du médicament ») l’a récemment avoué : près de 100 000 Américains sont victimes chaque année d’une intoxication au paracétamol… et 450 d’entre elles n’en réchappent pas. [3]
Les autorités canadiennes ont fait un pas de plus : en 2015, elles ont lancé une grande réflexion officielle sur la prescription du paracétamol. Voici ce que vous pouvez lire sur le site du ministère de la santé canadien :
« Le paracétamol (acétaminophène) est la principale cause de graves lésions du foie, y compris l’insuffisance hépatique aiguë, dans de nombreux pays, dont le Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie. »
Notez que la majorité des surdosages sont parfaitement involontaires.
Pire, dans 1 cas sur 5, ces intoxications gravissimes ont eu lieu alors même que le patient avait respecté la dose maximale autorisée !!
Toujours sur le site officiel canadien, vous pouvez lire :
« De plus, jusqu’à 20 % des cas de lésions du foie associées au paracétamol mentionnent des doses dans la gamme recommandée (moins de 4 g par jour, soit l’équivalent de 8 comprimés de 500 mg). »
Malgré ce diagnostic sans appel, le Canada n’a toujours pas pris la moindre mesure.
Mais la Suède, elle, a commencé à prendre le sujet à bras le corps.
D’abord, les Suédois ont décidé de retirer le paracétamol des supermarchés, en novembre 2015. Il faut dire qu’entre 2006 et 2013, le nombre d’hospitalisations causées par ce médicament avait été multiplié par deux. [4]
Puis, en octobre 2016, les autorités suédoises ont interdit aux mineurs d’acheter plus d’une boîte à la fois. Quant aux adultes, ils recevront désormais un avertissement systématique, sous la forme de « conseils d’utilisation ».
C’est déjà un progrès. Car les pharmaciens suédois donneront enfin à leurs clients cette information capitale, qu’on n’entend jamais en France :
Le danger du paracétamol et de l’alcool : un combo à éviter absolument !
Les lendemains de fête, on a souvent mal au crâne. Quoi de plus naturel d’ouvrir son armoire à pharmacie pour attraper un Doliprane ?
Et pourtant, ce simple geste peut vous envoyez à l’hôpital, si vous avez le malheur de forcer sur la dose.
Car cela fait 50 ans qu’on le sait : le paracétamol est toxique pour le foie !
L’alcool aussi. Et comme vous pouvez l’imaginez, si vous combinez les deux, les résultats peuvent être dramatiques.
Dans les services de transplantation du foie en Grande-Bretagne, les deux tiers des patients étaient là à cause d’un excès de paracétamol. Et c’étaient pour la plupart de bons buveurs d’alcool. [5]
En cas de mélange d’alcool et de paracétamol, ce sont aussi vos reins qui sont en danger : vous avez 120 % de risque en plus d’avoir de graves problèmes rénaux… même si la dose d’alcool est modérée ! [6]
Préférez après une soirée arrosée, des remèdes détox pour vous désencrasser de l’intérieur.
Mais il y a beaucoup, beaucoup plus grave.
Le paracétamol n’est pas simplement dangereux en cas de surdose accidentelle. Là où il fait le plus de victimes, c’est chez ceux qui en prennent très régulièrement.
Si vous en prenez trop souvent, le paracétamol n’est pas uniquement dangereux, il est mortel !
Le grand danger du paracétamol, c’est qu’il ne suffit pas d’éviter les overdoses pour être à l’abri : il est encore plus dangereux de dépasser légèrement mais souvent les doses autorisées.
Une grande étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology l’a révélé de manière éclatante [7].
Parmi des patients dont le foie était sévèrement endommagé, ceux qui avaient consommé chaque jour un peu trop de paracétamol avaient plus de risque de mourir que ceux qui avaient été hospitalisés pour un seul surdosage grave.
Ces pauvres malades voulaient calmer leurs douleurs chroniques… et à cause du Doliprane, ils se sont retrouvés dans un service de transplantation, à attendre la greffe d’un nouveau foie… qui arrive parfois trop tard.
Et si vous vous dites qu’il « suffit » de respecter les doses maximales autorisées pour être tranquille, détrompez-vous !
D’après une revue d’études publiée dans Annals of the Rheumatic Diseases, la prise de paracétamol aux doses conseillées augmente de 23 % le risque de mortalité ! [8]
Les mêmes chercheurs ont aussi découvert que les femmes qui prennent plus de 15 comprimés par semaine ont plus de crises cardiaques : leur risque est augmenté de 63 % !
Or 15 comprimés par semaine, c’est encore deux fois moins que le maximum autorisé !
Bref, le Doliprane n’est clairement pas cette « pilule inoffensive » qu’on vous a longtemps présentée.
Et si vous avez encore le moindre doute, voici d’autres effets indésirables très inattendus, découverts tout récemment :
Les récentes découvertes sur les dangers du paracétamol :
Le paracétamol peut causer des saignements gastriques
On a cru pendant longtemps que le Doliprane ne posait pas de souci à l’estomac. C’était d’ailleurs un gros avantage par rapport aux anti-inflammatoires classiques (aspirine, Ibuprofène…), dont on sait qu’ils peuvent provoquer des brûlures d’estomac et des saignements.
Eh bien figurez-vous que cet « avantage » du paracétamol n’est pas si clair que cela.
Dans une étude récente, des patients ont pris soit du paracétamol, soit de l’Ibuprofène pendant 13 semaines. Sans surprise, au bout de 13 semaines, une petite partie des patients sous Ibuprofène avait perdu l’équivalent d’une unité de sang, probablement à cause de saignements digestifs.
Mais la perte de sang était exactement la même chez ceux qui avaient pris du Doliprane, preuve qu’il cause des dégâts digestifs ! [9]
Le paracétamol rend sourd !
Si vous êtes une femme, il suffit d’en prendre 2 fois par semaine pendant 6 ans pour augmenter votre risque de surdité de près de 10 % ! [10] (Même chose pour l’Ibuprofène, mais pas l’aspirine.)
Le paracétamol peut causer de l’asthme chez votre enfant :
s’il en prend régulièrement avant l’âge de 3 ans, son risque d’asthme augmente de 29 % [11]
Le danger du paracétamol chez la femme enceinte :
le paracétamol est à éviter fortement : non seulement il augmente le risque d’asthme de l’enfant, mais il accroît aussi son risque de troubles du comportement et d’hyperactivité [12], ainsi que d’infertilité et de cancer des testicules chez les garçons [13].
Le paracétamol est dangereux pour votre cerveau :
Il suffit d’en prendre 1 000 mg pour que votre empathie baisse : vous devenez subitement moins sensible à la souffrance de ceux qui vous entourent ! [14]
Le paracétamol est inutile et dangereux en cas d’état grippal :
D’abord parce qu’il est inutile et dangereux de chercher à faire baisser la fièvre d’un adulte, au moins tant qu’elle ne dépasse pas 39,5°.
Car la fièvre est votre amie ! Elle est là pour vous aider à tuer les microbes. Si vous l’empêchez d’agir, vous risquez tout simplement d’être malade plus longtemps et plus gravement !
Il est donc insensé de prendre du Doliprane au moindre petit état grippal !
De plus, il faut éviter comme la peste les médicaments à base de paracétamol spécialement conçus pour le « rhume », comme Actifed ou Fervex, car ils contiennent en plus des produits douteux :
Actifed contient aussi de la pseudoéphédrine, une molécule proche des amphétamines et dont les effets indésirables ont été jugés « peu acceptables » en 2008 par la Commission nationale de pharmacovigilance ;
LeFervex et l’Humex contiennent de la phéniramine, un antihistaminique aux propriétés anticholinergiques et qui, à ce titre, accroît votre risque de développer Alzheimer. [17]
Avez-vous vraiment envie de prendre des risques pour un simple rhume ?
Surtout quand vous avez compris que ces médicaments ne vous aideront jamais à guérir, puisqu’ils n’agissent pas sur les virus. Dans le meilleur des cas, ils « soulagent vos symptômes ».
D’accord, me direz-vous, mais si on a une vraie grippe, bien douloureuse, cela ne vaut-il pas le coup d’être « soulagé » ?
Si cela marchait, cela serait évident, bien sûr (avoir une grippe est très douloureux) ! Mais est-ce vraiment le cas ?
Pour en avoir le cœur net, des chercheurs de Nouvelle-Zélande ont sélectionné 80 patients atteints d’état grippal sérieux, dont la moitié ayant une grippe confirmée.
Et ils leur ont donné soit un placebo, soit 4 000 mg par jour de paracétamol (une dose très forte) pendant une à deux semaines.
Eh bien figurez-vous qu’ils n’ont pas trouvé la moindre différence dans l’état des deux groupes. Même sur la fièvre, le paracétamol n’avait pas eu le moindre effet !! [18]
Vous voyez que je n’exagérais pas !
Si le paracétamol était une plante chinoise ou un remède naturel… il serait interdit et pourchassé depuis longtemps… les médias n’en prendraient pas la défense mais nous abreuveraient de messages pour dire à quel point sa consommation est dangereuse et déconseillée ….
…et si un naturopathe avait le malheur de le prescrire à un malade, il serait immédiatement traîné en justice, accusé d’être un meurtrier en puissance.
Et tout ça pour quoi ? Pour un médicament particulièrement inefficace !
Le paracétamol est inefficace en cas d’arthrose ou de mal de dos
Je sais que cela va vous surprendre.
Mais ce sont deux articles scientifiques récents qui ont révélé le pot aux roses. Ils ont été publiés dans les journaux médicaux les plus respectés au monde, le British Medical Journal et The Lancet.
Dans le premier, les chercheurs ont passé en revue toutes les études ayant comparé l’efficacité du paracétamol à un simple placebo.
Et le résultat est saisissant [15] : contre les douleurs de l’arthrose et de la lombalgie (mal du bas du dos), l’effet du paracétamol est soit totalement « inefficace », soit « insignifiant ».
Dans le second article, les chercheurs ont recensé 74 études ayant impliqué près de 60 000 patients [16] victimes d’arthrose.
Et ils sont arrivés exactement à la même conclusion : le paracétamol n’entame pas d’un millimètre les douleurs articulaires, par rapport à un simple placebo.
Et pourtant, aujourd’hui encore, en 2017, le paracétamol reste le médicament prescrit en première intention contre l’arthrose et les lombalgies.
Voilà pour l’efficacité du paracétamol. Un mythe s’effondre !
Alors n’hésitez plus : arrêtez d’acheter du Doliprane et tournez-vous vers les solutions naturelles, plus efficaces et moins dangereuses !
Face aux dangers du paracétamol, préférez des alternatives naturelles efficaces :
Si vous ne prenez qu’un ou deux comprimés de Doliprane tous les 2 ou 3 mois, vous ne risquez pas grand-chose, bien sûr.
Mais même dans ce cas, il y a tout de même mieux à faire !
Je vous ferai prochainement une lettre détaillée sur les meilleurs anti-douleurs, mais je voudrais ici vous rappeler que :
En cas de mal de tête, l’aspirine n’est pas sans dangers mais elle est nettement plus efficace que le paracétamol, mais il existe aussi des alternatives naturelles qui font moins de dégâts à l’estomac, comme l’huile essentielle de lavande vraie ou de menthe poivrée ;
La douleur est presque toujours liée à l’inflammation. Or le curcuma et le gingembre sont d’excellents anti-inflammatoires naturels, qui réduisent très efficacement la plupart des douleurs. [19] [20] [21] [22] Commencez toujours par cela avant de prendre quelque chose de plus fort !
Contre l’arthrose, la glucosamine et chondroïtine d’un côté, et l’harpagophytum réduisent aussi efficacement les douleurs que les médicaments anti-inflammatoires.
Des huiles essentielles comme l’Eucalyptus citronné ou la Gaulthérie couchée font des merveilles pour lutter contre les douleurs générales dentaires, musculaires, règles douloureuses, état grippal… quelques gouttes suffisent pour vous soulager rapidement !
Et n’oubliez pas non plus de vous servir d’un remède vieux comme le monde : la chaleur ! Une bouillotte chaude là où vous avez mal soulage dans de nombreux cas !
C’est ce qu’on faisait du temps de nos grands-mères : il n’y avait pas de paracétamol… et on ne s’en portait que mieux !
PS : Si cette lettre vous a convaincu, transmettez-là autour de vous, et partagez-là un maximum sur Facebook !
Nous avons tous des proches qui prennent du paracétamol, et ils ont le droit de connaître la vérité !
Pour la bouillotte chaude, ce n’est pas bon dans toutes les douleurs, c’est même mortel, en effet,en 1968 ma mère m’a mis une bouillotte chaude sur le ventre, j’avais 25 ans, j’ai fait une péritonite terrible. J’ai subi 10 anesthésies générales en 2 mois, j’ai perdu plus de 20 kg.
Je ne n’en suis pas mort, c’est grâce à ma grande robustesse de départ, dixit les chirurgiens qui se sont relayés à mon chevet. A l’époque les antibiotiques spécifiques n’existaient pas, à part la Pénicilline ordinaire.
Alors soyez s’il vous plait, Mr BAZIN, plus modeste dans vos conseils dictatoriaux.
Bonjour
Tout d’abord merci pour vos articles.
Ils devraient être lus par le plus grand nombre..
Par contre j’aimerais avoir une précision : vous dites qu’il vaut mieux prendre de l’aspirine ? N’est ce pas également un produit dangereux en cas de problème de circulation sanguine ?
Merci d’avance pour votre réponse.
Monsieur Bazin tout ce que vous dites sur le doliprane est connu depuis longtemps et figure soit dans la notice du laboratoire ainsi le risque hépatique en cas de surdosage et même exceptionnellement en cas d’usage aux doses indiquées, la consommation d’alcool déconseillée etc et surtout sur le site ministériel ” base-données-publique.medicaments.gouv.fr ” ou il est noté 3 g max 5j max si douleur, 3j si fièvre, pour un usage à 4
g demander un avis médical, 4g au delà de 4 jours impose un bilan biologique ….etc … Je sais que vous avez connaissance de ces informations d’accès facile à l’usage de tous…mais qui nuiraient à l’effet sensationnel que vous voulez créer. Un usage de vos talents professionnels de comédien ? Si si des amis vous ont trouvé très bien dans un spectacle …..il en est de même de la plupart de vos publications ,j’ai des amis abonnés..
Sérieusement j’utilise les huiles essentielles et autres méthodes naturelles, je suis convaincue du rôle essentiel de l’alimentation dans la santé depuis 35 ans, je milite contre les lobbies ,et je serais très intéressée que vous mettiez vos sources et études à l’appui de vos affirmations sur leur efficacité et leur inoquité ….ce ne sont pas non plus des produits miracle et les molécules des huiles essentielles sont très connues maintenant en pharmacologie, peuvent avoir des effets délétères en cas de mesusage aussi …. Je n’ai pas lien avec les officines de pharmacie!…en espérant reprendre cette conversation plus tard ..
BONJOUR DR ,SVP VOUS POUVEZ ME DONNE LES MÉDICAMENT QUI SOIGNE LE OKER
Je suis choquée par ces révélations mais comme tout français nous nous doutons bien du pouvoir des lobbies pour les avoir vu agir dans le domaine des EHPAD
Pourquoi des médecins ou des journalistes comme vous ne.peuvent pas faire exploser ce type de révélations au grand public comme le.fait mediapart
Bon on sait bien que le gouvernement n’entendra pas les doléances mais le grand public sera au courant
Je.suis une des victimes du doliprane qui m’a provoqué cytolyse médicamenteuse et bien d’autres symptômes encore
Pourtant je ne l’ai pas surconsommé du tout
A entendre les médecins encore aujourd’hui ils continuent de me dire d’en prendre pour mes douleurs articulaires mes douleurs gastriques etc..
Il en va de même pour le.movicon qu’on me fait prendre à haute dose depuis des années
Idem pour l.ogast un.ipp dont on entend pourtant parler des risques maintenant
Et lorsqu on pse évoquer le sujet auprès des médecins on nous répond oui mais mesurez le bénéfice risques
On m’a perforé l’estomac en 2010 lors d’une gastroscopie et depuis je vis un calvaire mais au lieu de chercher les raisons mon gastro fait l’autruche et me bourre de médicaments
Idem pour les effets de la ppc qui me.provoque ou accentue aerophagie rgo majeurs pbs pulmonaires
Comment contribuer à faire émerger des vérités
Ces derniers temps, j’ai lu un certain nombre de vos lettres. Elles sont bien trop longues et n’apportent que peu d’informations utiles. On perd rapidement le fil de vos propos.
Oui, il est facile de critiquer tel ou tel produit, mais quand on s’appuie seulement sur une ou deux études, quel crédit peut-on porter à vos allégations qui ne sont pas partagées par une grande majorité du corps médical .
Je ne nie pas que vous avez des connaissances réelles, je partage certaines de vos positions mais pourquoi tant de laïus ?
Je suis un adepte des médecines douces et en certains points, je vous rejoins.
La chimie a fait de sérieux progrès qui ont permis un allongement de la durée de vie. Mais quand on lit les notices, on est effaré par les effets indésirables qui y sont mentionnés.
Le doliprane n’est pas un médicament anodin, j’en suis convaincu depuis longtemps.
Et pour conclure, je pense qu’une alimentation saine et équilibrée reste un bon moyen de préserver notre organisme contre la batterie de produits chimiques qui sont tous, à plus ou moins fortes doses, de véritables poisons.
Comme tout médicament respecter les doses.je passerais a l’aspirine désormais.mzrci pour vos alertes.
Bonjour , suite à des douleurs aigues de rétraction tendineuse je suis obligée de prendre du paracétamol pour les calmer le mieux possible . ,’en prends depuis des années et je n’ai jamais eu aucun problème . Les médicaments qui ne contiennent pas de paracétamol sont encore plus nocifs et j’en ai pris pendant 18 mois sans discontinuer, sans avoir de problèmes car je faisais attention de manger du pain en les prenant . SVP ne diabolisez pas tout ! certaines études sont peut-être juste mais ne faites pas de tout cela une vérité à asséner aux gens pour leur faire peur . j’ai essayé les méthodes naturelles qui ne donnent rien dans mon cas
bonjour apres avoir lu votre message je souhaiterais savoir pourquoi les rhumatos generalistes vous prescrivent doliprane codeiné et j en passe si ils savent que c’est du poison pour l organisme le foie en particulier que doit on prendre alors je souffre d’une gonarthrose depuis plus de 5 ans qui nécessite une opération que je me refuse quels conseils alors me donner vous je ne sais plus qui croirent merci de me dire cordialement
Depuis des années je dis à ma proches de refuser le Doliprane qu’on vous apporte sustématiquement dès que vous arrivez aux urgences et je refuse que mon médecin traitant m’en ordonne. Hospitalisée pour une fracture, je n’ai pris que de l’arnica en attendant qu’on m’opère, et j’ai refusé les 4 g de paracétamol. Je n’ai eu aucune douleur et le chirurgien a été stupéfait de voir que ma cheville cassée n’avait pas d’oedème. Ma voisine de chambre souffrait le martyre en prenant du paracétamol!