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Cher(e) ami(e),

Vous est-il déjà arrivé d’avoir tellement honte d’un problème de santé, que vous avez dit à votre médecin ou pharmacien :

« Docteur, j’ai un ami qui a ce problème de santé gênant…

Comment je peux l’aider ? »

 OUI

 NON

Si vous avez répondu OUI à cette question, sachez que vous êtes loin d’être un cas isolé.

44 % des femmes, et 30 % des hommes, n’osent pas parler de certains problèmes de santé à leur médecin traitant (notamment les troubles liés à l’intime et la sexualité [1]).

Si vous vous reconnaissez, j’ai une excellente nouvelle pour vous !

Car, je m’apprête à vous révéler plus de 10 solutions ultra efficaces pour 3 GROS problèmes de santé « gênants ».

Et promis, ça reste entre nous !

Vous vous en doutez peut-être, l’un des sujets les plus tabous à aborder, c’est les problèmes « intimes » et sexuels :

Sécheresse vaginale, démangeaisons, herpès génital… Pas facile d’en parler, n’est-ce pas ?

Pourtant, ces symptômes méritent d’en parler, ne serait-ce que pour éviter qu’ils s’installent… et vous pourrissent définitivement la vie !

Que ce soient un médecin, un pharmacien, un gynécologue ou une sage-femme, trouvez la personne de confiance qui saura vous aider.

En attendant, j’ai quelques remèdes à vous partager.

Prenez le cas des sécheresses vaginales.

Si vous êtes en période de ménopause, il est tout à fait normal et logique d’en souffrir.

La ménopause, c’est le moment où votre taux d’œstrogène chute. Or, ce sont ces hormones sexuelles qui permettent une bonne lubrification vaginale.

Attention, la ménopause n’est pas la seule cause des sécheresses vaginales : elles peuvent résulter d’un état dépressif, d’une maladie chronique ou de certains médicaments…

La dimension psycho-émotionnelle a aussi son rôle à jouer, notamment si vous ressentez le besoin de changer des choses dans votre sexualité, avec votre partenaire.

Quelle que soit la raison, il y a des solutions pour vous aider au naturel.

La bonne nouvelle : c’est que vous pourrez directement vous les procurer en pharmacie ou herboristerie.

Et vous n’aurez pas besoin de passer par la phase « conversation gênante avec mon médecin » si vous n’en avez pas envie.

Acides gras : LA solution pour venir à bout des sécheresses et des démangeaisons

La première chose à penser pour venir à bout des sécheresses, ce sont les acides gras. Ces bonnes graisses qui vous permettent d’être en pleine santé (les oméga 6 et 7 notamment).

Vous en trouverez dans l’alimentation bien sûr. Mais si vos sécheresses sont assez sévères, je vous conseille de vous supplémenter avec :

  • Des capsules d’huiles d’onagre et de bourrache : riches en oméga 6, vous pouvez en prendre par voie orale, mais aussi mettre une capsule en intravaginal. Cela agit comme un « lubrifiant naturel » qui peut vraiment vous soulager en quelques jours ;
  • L’huile d’argousier est quant à elle riche en oméga 7. C’est elle que l’on recommande en phytothérapie quand on souffre de sécheresse sévère, comme dans la maladie de Gougerot-Sjögren par exemple.

Et si vous souffrez en plus, de démangeaisons vaginales, c’est plutôt vers l’huile de coco qu’il faudra vous tourner.

Si vous n’êtes pas allergique, vous pouvez même y ajouter 1 goutte d’huile essentielle de lavande fine et masser localement.

Dernier problème tabou de la sphère intime féminine : l’herpès vaginal (et labial).

La solution qui fonctionne vite et bien en micronutrition, c’est l’acide aminé L-Lysine.

Plusieurs études ont montré qu’elle inhiberait la réplication du virus de l’herpès, et permettait donc de prévenir l’apparition, la récurrence et la durée des symptômes[2][3].

Vous pourriez en prendre jusqu’à 4 g dès le début des symptômes, en complément d’actifs qui boostent l’immunité comme la propolis ou l’échinacée.

Je sais de source sûre que ces problèmes ne sont pas les seuls à vous incommoder…

Et parmi les autres qui peuvent vous faire « honte », il y a bien sûr les mauvaises odeurs.

Mauvaise haleine, odeurs de sueur, gaz malodorants… Repoussez-les avec ce « sang végétal » !

Face à ces « fortes » odeurs corporelles, votre réflexe n°1 devrait être la chlorophylle.

Considérée comme le « sang végétal », c’est elle qui réalise la photosynthèse des plantes.

Et un peu comme une baguette magique, elle a le super-pouvoir de capter toutes les odeurs corporelles en agissant à différents niveaux :

  • Elle purifie, et régule le pH du sang et de toutes les sécrétions (c’est comme si vous faisiez un grand ménage de printemps de votre organisme, qui laisse une odeur agréable derrière lui) ;
  • Elle augmente les enzymes et les sucs digestifs, tout en ayant une action détoxifiante hépatique. Puisque vous digérez mieux, votre flore intestinale se porte mieux et vous limitez les flatulences et gaz malodorants ;
  • Elle harmonise l’état de vos flores : intestinale, vaginale, bactérienne, microbienne, etc. Comme les odeurs sont intrinsèquement liées aux flores, vous agissez de facto à la racine même du problème.

Je vous recommande aussi d’agir localement, en fonction de l’odeur qui vous dérange :

⇒ Si vous souffrez de mauvaise haleine, complétez l’action de la chlorophylle avec 1 goutte d’huile essentielle de laurier noble sur votre dentifrice.

⇒ Si c’est plutôt la transpiration qui vous dérange (et notamment au niveau des pieds), utilisez en massage l’huile essentielle de sauge sclarée, diluée dans l’huile végétale de votre choix.

Pour finir, il y a aussi les problèmes « gênants » qui ne sentent pas… mais qui se voient.

Non traités, ils peuvent rapidement se transformer en complexe…

Pilosité excessive, verrues séborrhéiques… Vous n’aurez plus à les cacher !

Les problèmes de peau, comme le psoriasis, la couperose ou encore l’acné arrivent souvent en tête !

Mais je voudrais vous parler ici d’autres problématiques que l’on aborde peu.

Comme par exemple, l’excès de pilosité indésirable chez les femmes (appelé l’hirsutisme).

Dans la plupart des cas, cela provient d’un excès d’androgène, cette hormone sexuelle masculine, qui se couple parfois avec un taux d’œstrogènes et de progestérones trop faible.

palmier

L’actif naturel phare pour faire baisser les androgènes, c’est le sabal.

On l’appelle aussi « palmier nain », parce qu’il fait moins de 2 mètres de hauteur, et pousse aux Etats-Unis, entre la Caroline du Sud et le Texas.

Plusieurs études ont montré qu’en inhibant l’enzyme responsable de cet excès de pilosité, le sabal avait un vrai rôle à jouer pour limiter la repousse du poil, au niveau des lèvres, du menton, de l’abdomen, et autour des seins[4][5].

Vous pouvez l’utiliser en teinture-mère, en alternance avec la racine d’ortie, qui agit elle aussi sur l’excès d’androgène.

Et pour les verrues séborrhéiques alors, que peut-on faire ?

En plus d’envisager un traitement avec votre dermatologue, un bon réflexe est de renforcer votre immunité (notamment si vous constatez qu’elles apparaissent dans les périodes de fatigue ou de stress intense).

Pour cela, vous pouvez faire des cures de vitamine C, D, et de nigelle tout au long de l’année…

Mais vous pouvez aussi faire appel au reishi : ce super champignon adaptogène réputé pour accroître la longévité et tonifier votre énergie vitale en Médecine chinoise.

champignons


Pour une action locale, appliquez directement sur vos verrues séborrhéiques de l’huile essentielle d’arbre à thé et de ciste (2 à 3 gouttes pures).

Vous avez à présent plus de 10 remèdes naturels pour en finir avec quelques-uns des problèmes « gênants » les plus fréquents.

N’hésitez pas à partager cette lettre à vos proches : ils pourraient en avoir besoin eux aussi (sans oser vous le dire).

Et n’oubliez pas qu’aucun problème de santé n’est vraiment tabou.

Prenez soin de vous,

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