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Si, comme moi, vous avez l’esprit scientifique, la méthode du Professeur Sarno contre les douleurs risque de vous secouer.

Mal de dos, douleur au cou, aux bras, aux jambes et même fibromyalgie : aussi ancrées soient-elles, le Pr Sarno prétend guérir toutes ces douleurs définitivement, en quelques heures, quelques mois au plus.

Le plus incroyable est que vous n’avez pas besoin de le consulter : sa « thérapie » fonctionne à distance, vous pouvez la pratiquer chez vous, gratuitement, sans effort ni matériel.

J’ai conscience que cela paraît peu vraisemblable. Et comme vous, j’étais sceptique quand j’ai entendu parler de cette méthode.

Mais voici pourquoi j’ai changé d’avis :

88 % de patients totalement guéris

Le Pr John Sarno n’est pas un médecin isolé, quasi-clandestin ou en marge du système de santé conventionnel. Non : John Sarno est professeur de médecine orthopédique et de rééducation à la prestigieuse Université de New York.

En plus de 40 ans de carrière, il a obtenu des résultats objectivement époustouflants auprès de ses patients, tout particulièrement dans le traitement du mal de dos.

Il y a déjà presque trente ans, en 1987, il a réalisé une étude en sélectionnant les cas les plus lourds parmi ses patients, ceux qui avaient une hernie discale avérée par un scanner. Dans beaucoup de cas, ces patients avaient déjà consulté de nombreux médecins, sans résultat. Le verdict est éloquent :

« Nous avons ainsi interrogé 109 de ces patients choisis au hasard. Un à trois ans après le traitement, 96 (soit 88 %) n’avaient plus mal et menaient une vie normale, onze allaient mieux et seuls deux n’avaient pas été soulagés » [1]

Cela signifie que 107 sur 109 de ses patients allaient mieux ou n’avaient plus mal du tout, un taux de succès inimaginable de 98 % !

Et ses patients le confirment :

« Le meilleur médecin des États-Unis » (Forbes)

Il suffit de passer quelques minutes sur Internet pour se rendre compte de l’ampleur du « phénomène Sarno ».

On y trouve d’innombrables témoignages de personnes qui disent avoir été totalement guéries par le Pr Sarno, après des années de souffrance et d’errance médicale.

Un site Internet entier, ThankYourDrSarno.org, regorge de lettres touchantes de patients rendant hommage au Pr Sarno. « Merci de nous avoir rendu notre vie » est placé en exergue de ce site.

Sur Amazon.com, son premier livre, Guérir le mal de dos, compte pas moins de 1 226 critiques, avec une note moyenne de 4,5/5 ! Je vous encourage à aller les parcourir si vous lisez l’anglais. Quelques titres vous donneront une idée de l’ambiance générale :

– « Ce livre a changé ma vie »
– « Plus de douleurs depuis 12 ans »
– « Sarno est notre Galilée »
– « Cette approche a marché là où toutes les autres ont échoué »
– « Mon héros »
– « S’il vous plaît, s’il vous plaît, lisez ce livre »
– « 5 ans avec des douleurs de dos, plus de douleur depuis 6 ans »
– « Guéri par un miracle »

Je pourrais continuer sur des pages et des pages : toutes les histoires sont longues, détaillées, crédibles. Et je vous rassure, il n’y a aucun phénomène sectaire dans cette histoire. Le Pr Sarno est un médecin discret, l’opposé d’un gourou.

Plusieurs personnalités du spectacle (acteurs hollywoodiens, scénaristes, présentateurs TV) ont témoigné qu’ils devaient leur guérison au Pr Sarno.

Howard Stern, qui est sans doute le présentateur radio le plus connu en Amérique, a dédié son premier livre au Pr Sarno, tant il lui était reconnaissant d’avoir mis fin à ses douleurs.

En 2012, le magazine Forbes a déclaré que le Pr Sarno était « le meilleur médecin des États-Unis ». L’article qui lui est dédié vaut le détour, mais voici l’extrait qui m’a le plus frappé :

« Il relève du mystère qu’un médecin qui obtienne des résultats si bénéfiques pour ses patients, à un coût nul ou quasi-nul, puisse être considéré comme « controversé » alors que ceux qui pratiquent la médecine soi-disant conventionnelle, coûteuse et inefficace, sont, d’une certaine manière, considérés comme plus légitimes. »

Pas de méthode d’évaluation scientifique, mais…

L’idéal, dans un cas comme celui-là, serait de réaliser une étude dite « randomisée, contre placebo ».

Le principe est simple : vous prenez un groupe de patient, vous les divisez en deux groupes aléatoires (au hasard), et vous donnez à l’un de ces deux groupes le « vrai » traitement, tandis que l’autre ne reçoit qu’un placebo (un faux médicament).

Puis vous observez les résultats. Si le groupe réellement traité va mieux que le groupe sous placebo, on peut être certain que c’est grâce au traitement.

Cette méthode est le Graal de la rigueur scientifique. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut rester les bras croisés, sans rien faire, lorsqu’ aucune étude de ce niveau n’a pu être conduite.

Car le traitement du Pr a beau ne pas avoir été validé avec ce niveau d’exigence, il présente l’immense avantage :

– De ne pas avoir le moindre effet secondaire ou indésirable ;

– D’être gratuit ou quasiment gratuit, pour le patient comme pour la société ;

– Et de traiter des douleurs chroniques face auxquelles la médecine conventionnelle reste souvent impuissante (la plupart des médecins se contentent de donner des anti-douleurs, dont les effets secondaires à long terme sont problématiques).

En fait, la méthode du Dr Sarno est tellement simple que ceux qui souffrent depuis longtemps ont tout à gagner à l’essayer. Au pire, c’est un peu de temps perdu.

Et vous pouvez vous-même essayer maintenant ! Prêt ? Alors allons-y :

Un seul accessoire, un seul médicament : votre cerveau

Le Dr Sarno explique : dans de très nombreux cas, les douleurs chroniques ne sont pas causées par un problème corporel, elles sont produites par notre cerveau.

Attention : il ne dit pas que les douleurs ne sont pas réelles. Elles s’incarnent bien dans notre corps, dans notre chair.

Mais selon lui, elles sont produites non pas par un dysfonctionnement physique (anomalies structurelle de la colonne vertébrale, disque déformé, musculature déficiente etc.) mais par un souci psychologique que le cerveau « répercute » sur le corps via une douleur physique.

Voici comment il formule sa thèse :

« Vers 1975, j’ai abouti à la conclusion que la majorité des syndromes douloureux au cou, à l’épaule et au dos, tout comme la douleur associée fréquente dans les jambes et les bras, étaient d’ordre psychologique. Concrètement, des facteurs émotionnels déclenchaient une réaction dans certains tissus du corps qui se manifestaient sous la forme de douleur ou d’autres symptômes neurologiques. » [2]

Et cette thèse serait valide même si vous avez une anomalie structurelle avérée. Car de nombreuses études ont en effet montré que certains patients ayant des déformations graves ne souffrent d’aucune douleur.

L’une d’entre elles, parue dans le New England Journal of Medicine, est particulièrement troublante : les chercheurs ont fait passer des IRM lombaires à 98 personnes n’ayant jamais eu mal au bas du dos ou à la jambe.
Et ils ont découvert que 74 d’entre eux présentaient une déformation ou une saillie de disques lombaires. [3]

Conclusion logique : ce n’est pas parce que l’on a mal qu’on a forcément une déformation, et ce n’est pas parce qu’on a déformation qu’on a forcément mal.

Pour guérir : abandonner la croyance en une cause « physique » de la douleur

La première étape du « traitement » du Pr Sarno consiste à se persuader que votre douleur chronique a une origine psychologique :

« La douleur ne cessera pas tant que vous ne serez pas capable de vous dire : ‘mon dos est normal, je sais désormais que la douleur est due à un problème somme toute anodin initié par mon cerveau (…) et que les anomalies structurelles trouvées sur une radio, un scanner ou une IRM sont des modifications normales liées à mes activités ou au vieillissement ».

Il est vrai que ce n’est pas évident, surtout lorsqu’on découvre effectivement une anomalie, révélée par un scanner ou une IRM. Difficile, dans ce cas, de se dire qu’il ne s’agit que d’une coïncidence…

Mais le jeu en vaut la chandelle.

Pour ceux qui y parviennent, la guérison est souvent à portée de main. Chez certains patients, l’effet est même immédiat : « Souvent, il suffit de reconnaître qu’un symptôme est d’origine émotionnelle pour qu’il disparaisse », nous dit le Pr Sarno.

Et il le prouve, en publiant le témoignage de nombreuses personnes ayant vu leur douleur s’arrêter, à peine avaient-ils achevé l’un de ses livres.

Mais dans la plupart des cas, cela prend un peu plus de temps, avec un travail d’introspection.

Trouver la rage refoulée

Le Dr Sarno recommande ainsi à ses patients de réfléchir aux « rages refoulées » qui pourraient causer leurs douleurs. Celles-ci peuvent être de plusieurs sortes :

– Colère, blessure émotionnelle ou traumatisme pouvant remonter à l’enfance ;
– Colère provenant de la pression qu’on s’impose à soi-même pour être « parfait » (le perfectionnisme exacerbé est un trait de personnalité qui revient souvent chez ses patients) ;
– Colère engendré par les pressions de la vie ;
– Culpabilité, honte, peur, insécurité, vulnérabilité.

En pratique, il recommande de faire une liste, très longue s’il le faut, de toutes les pressions ou contraintes que l’on a subies au cours de notre vie et qui pourraient susciter une forme de rage au fond de nous-mêmes.

Plus étonnant, le Dr Sarno conseille également de « parler à son cerveau » : « Des patients soignés avec succès disent que lorsqu’ils sentaient le signe annonciateur d’une crise, un élancement de douleur, ils se parlaient ou même se criaient dessus et la douleur disparaissait ».

Le cœur de sa stratégie est simple : penser « émotionnel » et pas « physique » ; ne plus se focaliser sur la douleur mais sur son origine potentiellement psychologique.

Et en accompagnement de ce « traitement », le Dr Sarno conseille de se préserver, chaque jour, une période de méditation. Il insiste enfin pour maintenir un bon niveau d’activité physique, en essayant d’oublier la douleur et de ne pas craindre de malmener un « dos fragile ».

Je crois avoir résumé l’essentiel de la méthode du Dr Sarno, mais si vous voulez l’essayer sérieusement, il est à mon avis indispensable de se procurer son livre, Le Meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau.

Seul son récit complet, les cas cliniques qu’il décrit ou les détails qu’il offre vous donneront toutes les chances de guérir – et vous permettront de surmonter des doutes bien naturels.

PS : J’ai beau recommander chaudement la méthode Sarno à tous ceux qui souffrent de douleurs chroniques, je précise que je ne le suis pas dans toutes ses affirmations pour autant.

Il est indiscutable que son « traitement » marche pour certains, là où tous les autres ont échoué.

Mais les raisons pour lesquelles il fonctionne nous sont largement inconnues. Le Pr Sarno reconnaît d’ailleurs que sa méthode lui a été dictée par son expérience uniquement.

Toutefois, après avoir vu que son approche fonctionnait, le Pr Sarno a essayé de l’expliquer.

Il pense, avec Freud, que le refoulement, par notre inconscient, de certaines émotions, conduit le cerveau à créer des douleurs, comme une forme de diversion pour éviter que notre moi conscient ne puisse accéder à ces émotions refoulées.

Mais ne vous sentez surtout pas obligé d’adhérer à cette thèse.

Certes, l’importance de l’interaction corps-esprit pour notre santé est considérable. Chaque semaine, de nouvelles études scientifiques montrent l’efficacité étonnante des techniques faisant appel à l’équilibre émotionnel comme la méditation, la cohérence cardiaque ou l’hypnose.

La méditation en pleine conscience, par exemple, aide à se débarrasser de douleurs de nature très diverses : douleurs abdominales , douleurs de l’arthrose , etc. [4] [5]

Mais nous sommes encore loin de comprendre le mécanisme par lequel cela fonctionne. La tentative d’explication du Pr Sarno est une hypothèse intéressante, mais seulement une hypothèse.

Plus ennuyeux, le Pr Sarno est affecté d’une forme d’intransigeance. Plutôt que de proposer sa méthode comme un complément utile des autres traitements naturels de gestion de la douleur, il les balaie tous d’un revers de la main.

Or l’apparition de douleurs chroniques justifient toujours une approche globale comportant notamment :

– une alimentation saine et anti-inflammatoire (moins de sucre et de produits industriels, plus de végétaux),
– des compléments alimentaires ciblés (omégas 3 et vitamine D),
– des plantes (curcuma et boswellia),
– des exercices physiques (yoga, pilates) et émotionnels (EFT, méditation, etc.).

Le Pr Sarno refuse même de reconnaître que notre mode de vie peut être une cause directe du mal de dos. Dans le cas de la position assise, c’est pourtant difficilement contestable. Il est clair que notre corps d’homo sapiens n’est pas bâti pour rester assis pendant 10 heures par jour.

Autrement dit, ce n’est pas parce que l’on reconnaît le rôle décisif de notre esprit qu’il faudrait s’empêcher de prendre soin de notre corps.

Un bienfaiteur de l’humanité

Malgré tout, le Dr Sarno reste un bienfaiteur de l’humanité, ne serait-ce que pour tous les patients qu’il a guéris.

La médecine conventionnelle est d’ailleurs en train de lui donner raison sur un point qu’il n’a pas cessé de marteler au fil des ans : l’inutilité de l’imagerie médicale, et plus encore de la chirurgie, dans la majorité des cas de douleurs lombaires.

Il est donc inutile de vous précipiter chez le radiologue, sauf dans deux cas : 1) un traumatisme avéré de la colonne et 2) des douleurs associées à d’autres symptômes inquiétants (qui peuvent signaler un cancer).

Gardez bien en tête que le vieillissement ou le tassement des vertèbres ne causent pas en eux-mêmes de douleurs lombaires. C’est pourquoi la chirurgie du dos est inutile et dangereuse dans la plupart des cas. Malheureusement, chaque année, des centaines de milliers de patients dans le monde subissent une opération de « soudure de leurs vertèbres » (arthrodèse) pour leurs douleurs lombaires, avec un taux d’échec de plus de 75 %. [6]

Quoi que l’on pense du Pr Sarno, il est donc essentiel, en cas de douleur chronique, de se tourner en priorité vers les approches naturelles.

Sources :

[1] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 25.

[2] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 19.

[3]  « Magnetic resonance imaging of the lumbar spine in people without back pain », Jensen M.C. et al., New England Journal of Medicine, 331, 1994, p. 69-73

[4]  Genomic and clinical effects associated with a relaxation response mind-body intervention in patients with irritable bowel syndrome and inflammatory bowel disease Kuo B, Bhasin M, Jacquart J, Scult MA, Slipp L, Riklin EI, Lepoutre V, Comosa N, Norton BA, Dassatti A, Rosenblum J, Thurler AH, Surjanhata BC, Hasheminejad NN, Kagan L, Slawsby E, Rao SR, Macklin EA, Fricchione GL, Benson H, Libermann TA, Korzenik J, Denninger JW. PLoS One. 2015 Apr 30;10(4):e0123861. doi: 10.1371/journal.pone.0123861.

[5] A comparison of mindfulness-based stress reduction and an active control in modulation of neurogenic inflammation, Melissa A. Rosenkranz, Richard J. Davidson, Donal G. MacCoon, John F. Sheridan, Ned H. Kalin, Antoine Lutz, Brain, Behavior, and Immunity, Volume 27, January 2013, Pages 174-184, ISSN 0889-1591, 10.1016/j.bbi.2012.10.013.

[6] Back Pain Treatments — What Works and What Doesn’t, Dr Mercola, in Peak Fitness

402 commentaires

  • Maurice Prévost dit :

    Bonjour Docteur,,
    Je viens de lire sur mon ordi de votre texte et je suis ravi.
    Pour mon âge je me considère en santé malgré des petits anichroches qui m’ont forcé à faire un petit stage à l’hôpital.
    Merci de nous informer.
    Amicalement
    Maurice

  • Fernand Daoust dit :

    Bonjour Xavier, je suis moi-même un habitué des maux de dos depuis 1976. Depuis toutes ces années, je passe des périodes sans douleurs, mais à plusieurs reprises j’ai dû avoir des arrêts de travail prolongés. Pour ma part, je suis contre les médicaments dits chimiques. Par contre, la dernière occurrence de lombalgie a été tellement sévère que j’ai dû appelé l’ambulance car absolument incapable de me tenir debout. Depuis un bon bout de temps, je suis conscient que mon mal de dos reviens lorsque je m’inquiète de mes finances personnelles. D’après ce que j’ai découvert, à force de méditer et de m’observer dans mon fonctionnement au quotidien, je me suis aperçu que lorsque je ne me sens pas ancré à ma « Source » ou que j’ai de l’inquiétude pour mes finances, je me retrouve avec un mal de dos dans les heures ou les jours qui suivent. J’ai donc, parlé à mon corps et à mon cerveau, et plutôt que de passer plusieurs mois encore à me plaindre de mon mal de dos, après quelques jours je m’étais remis sur pieds. Je crois que cela va dans le même sens que ce que le Pr. Sarno enseigne, mais je dois avouer que cette fois-ci j’ai été obligé de prendre des médicaments afin de tolérer ma douleur. Voilà donc mon expérience personnel que je voulais partager avec vous. D’autant plus que je crois que nous créons tout ce qui nous arrive dans la vie, bon comme mauvais. Alors, C’est pourquoi depuis longtemps je m’observe dans toutes les situations afin d’apprendre à créer ce qui me convient le mieux et qui est le plus bénéfique pour moi. Je travaille toujours à m’améliorer et je crois que je n’aurai plus de problème de dos car je suis arrivé à comprendre ma cause qui l’engendrait. Je fais maintenant de brèves méditations pour me relier à ma « Source » le matin à mon réveil et je n’ai pas de mal, et ceci sans faire attention outre mesure à la manière dont je bouge en travaillant dans mon atelier. J’espère que ce témoignage pourra aider ceux qui ont des maux de dos à la colonne lombaire.

  • Marité dit :

    Depuis plusieurs mois je souffre d’une lombosciatique attestée par radio , confirmée par scanner, donc soins d’ostéo, kiné, ethopathe pas très efficaces, ET jamais de prise d’anti inflammatoire qui vous bousille l’estomac. Les douleurs restent vives ET pas psychologiques. Mais le plus comique est que depuis 24 heures je me suis mise à la méthode Coué qui me fait du bien et ce jour, en lisant votre chronique, je m’aperçois que seul le cerveau peut nous détacher effectivement de la douleur comme le confirme le Dr Sarno . Donc merci à vous de m’encourager de faire cet exercice mental en espérant guérir très vite .

  • Veronique dit :

    En effet, cela se rapproche de la technique TIPI. J’ai deja expérimenté qu’il faut se poser et penser juste là où on a MAL et respirer calmement en pensant uniquement à ce MAL tant qu’il est présent , cela peu durer plusieurs minutes…et ensuite IL va disparaître peu à peu. L’excercice est terminé une fois le MAL disparu. Ca marche, IL est important de prendre le temps nécessaire.
    MERCI de vos bons plans !! Mon Osteo m’a également conseiller de me procurer ce livre qui semble Super !!

  • Celine dit :

    Tout ces commentaires reviennent à appuyer ce qui est écrit depuis près de deux milles ans dans le livre des proverbes. Inspirer par notre Créateur le sage roi Salomon à écrit ce qui suit.  » Un coeur calme est la vie de l’organisme de chair, mais la jalousie est pourriture pour les os. » Proverbe 14:30. Les faits ne le prouvent-ils pas?

  • yvette dit :

    Bonsoir à tous, on m’a découvert une importante hernie discale après avoir souffert terriblement pendant 4 mois. Je suis allée voir une ostéopathe et après 3 séances et en me positionnant convenablement pour faire mon jardin les douleurs ont entièrement disparues. Elle m’a expliquée que parfois, les hernies se calcifiaient ou pouvaient disparaître. Je pratique également la puissance du subconscient et l’auto guérison, je dis tous les jours « La santé parfaite est à moi, ou à nous, les lois de l’Univers opèrent dans mon, notre esprits et dans mon, notre corps, chaque atome, chaque cellule se régénèrent selon l’ordre divin ». J’ai 68 ans, je suis des courts de danse, je bêche mon jardin, je l’entretien, je marche et je suis les conseils du pr Joyeux en ce qui concerne l’alimentation. Je suis végétarienne. Chaque jour, je remercie la vie. Bon courage à tous

  • Catherine dit :

    Merci beaucoup pour cet article. Je témoigne à mon tour d’une guérison de mon hernie discale par la sophrologie, et puis le renforcement doux et progressif des muscles profonds de mon dos, ajouté à des étirements grâce au pilates (stott pilates); Je suis professeur d’éducation physique et pendant mes séances de sophro, je me suis formée au pilates, l’ai pratiqué tous les jours 5-10′ au niveau basic tout doux en écoutant les limites de mon corps, j’ai pû récupérer force et santé de mon dos, je continue à le pratiquer tous les jours 10′. je l’enseigne depuis de nombreuses années et pratique la relaxation ou hypnose quotidiennement. j’ai crée un blog qui en parle avec vidéos afin de faire découvrir ces méthodes.
    http://unevieplussaine.com

  • Michèle Chaudesaigues dit :

    Bonjour Xavier,

    Vous avez demandé si nous avions une expérience d’amélioration de la santé par le mental.

    C’est mon cas. Fibromyalgique pendant 10 ans (dépressive pendant 14 et des bronchites chroniques depuis très petite), j’ai terminé les deux dernières années presque grabataire, restant à la maison et ultimement, rassemblant des médicaments pour me suicider.

    J’ai rencontré, en NZ où je vis, des personnes qui ont suivi une formation reposant sur la neuroplasticité et utilisant les capacités et compétences du cerveau afin de « reprendre le contrôle » de notre santé.

    Je vous avais envoyé un e-mail déjà mentionnant ceci. C’est complètement sans médicaments et la magie, comme pour le Dr Sarno, c’est que nous sommes indépendant et avons besoin d’aucun thérapeute (sur le long terme car bien évidemment, au tout début, il faut bien être formé). Mais je sais que vous avez reçu des milliers d’e-mail donc il est fort possible que vous ne l’ayez pas vu…

    Je suis devenue praticienne de cette méthode qui s’appelle le Lightning Process. Inventé en UK par un ostéopathe anglais, nous l’enseignons depuis plus de 15 ans maintenant avec les résultats fabuleux que vous avez mentionné pour le Dr Sarno.

    Nous avons plus de 80 % de réussite et les personnes utilisant cette méthode d’auto-guérison sont complètement autonomes et utilisent le LP pour tous les aspects de leur vie : physiques ou émotionnels.

    Je reviens en France deux fois par an pour aider les personnes qui me demandent de l’aide et je serai ravie si vous acceptiez de venir assister à cette formation afin de vous rendre compte par vous-même de la simplicité, puissance et efficacité de cette technique.

    Cordialement,

    Michèle

  • Gérard Hess dit :

    Je suis convaincu que cette « piste » est la bonne car nos capacités mentales sont encore trop ignorées (pour différentes raisons). J’en suis convaincu car depuis l’âge de 20 ans (j’en ai 73) j’ai été confronté à des douleurs invalidantes dans pratiquement toutes les parties du corps: j’ai subi des examens répétés de toutes sortes sans résultat pathologique! Heureusement d’un certain côté mais quelles souffrances supportées pendant des années!
    C’est à 20 ans qu’un chamboulement a eu lieu dans ma vie et qui a dû déclencher cette « extériorisation ». Aucun médecin n’a pu m’aider ou me donner une piste!
    C’est uniquement personnellement que j’ai pu arriver à une situation « supportable » et ce livre me confirme dans la voie engagée!

  • DIVAY Françoise dit :

    Article très intéressant, moi personnellement lorsque j’ai mal quelque part, je demande fermement à la douleur de partir quelque soit le niveau où elle se situe et elle s’en va.

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