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Si, comme moi, vous avez l’esprit scientifique, la méthode du Professeur Sarno contre les douleurs risque de vous secouer.

Mal de dos, douleur au cou, aux bras, aux jambes et même fibromyalgie : aussi ancrées soient-elles, le Pr Sarno prétend guérir toutes ces douleurs définitivement, en quelques heures, quelques mois au plus.

Le plus incroyable est que vous n’avez pas besoin de le consulter : sa « thérapie » fonctionne à distance, vous pouvez la pratiquer chez vous, gratuitement, sans effort ni matériel.

J’ai conscience que cela paraît peu vraisemblable. Et comme vous, j’étais sceptique quand j’ai entendu parler de cette méthode.

Mais voici pourquoi j’ai changé d’avis :

88 % de patients totalement guéris

Le Pr John Sarno n’est pas un médecin isolé, quasi-clandestin ou en marge du système de santé conventionnel. Non : John Sarno est professeur de médecine orthopédique et de rééducation à la prestigieuse Université de New York.

En plus de 40 ans de carrière, il a obtenu des résultats objectivement époustouflants auprès de ses patients, tout particulièrement dans le traitement du mal de dos.

Il y a déjà presque trente ans, en 1987, il a réalisé une étude en sélectionnant les cas les plus lourds parmi ses patients, ceux qui avaient une hernie discale avérée par un scanner. Dans beaucoup de cas, ces patients avaient déjà consulté de nombreux médecins, sans résultat. Le verdict est éloquent :

« Nous avons ainsi interrogé 109 de ces patients choisis au hasard. Un à trois ans après le traitement, 96 (soit 88 %) n’avaient plus mal et menaient une vie normale, onze allaient mieux et seuls deux n’avaient pas été soulagés » [1]

Cela signifie que 107 sur 109 de ses patients allaient mieux ou n’avaient plus mal du tout, un taux de succès inimaginable de 98 % !

Et ses patients le confirment :

« Le meilleur médecin des États-Unis » (Forbes)

Il suffit de passer quelques minutes sur Internet pour se rendre compte de l’ampleur du « phénomène Sarno ».

On y trouve d’innombrables témoignages de personnes qui disent avoir été totalement guéries par le Pr Sarno, après des années de souffrance et d’errance médicale.

Un site Internet entier, ThankYourDrSarno.org, regorge de lettres touchantes de patients rendant hommage au Pr Sarno. « Merci de nous avoir rendu notre vie » est placé en exergue de ce site.

Sur Amazon.com, son premier livre, Guérir le mal de dos, compte pas moins de 1 226 critiques, avec une note moyenne de 4,5/5 ! Je vous encourage à aller les parcourir si vous lisez l’anglais. Quelques titres vous donneront une idée de l’ambiance générale :

– « Ce livre a changé ma vie »
– « Plus de douleurs depuis 12 ans »
– « Sarno est notre Galilée »
– « Cette approche a marché là où toutes les autres ont échoué »
– « Mon héros »
– « S’il vous plaît, s’il vous plaît, lisez ce livre »
– « 5 ans avec des douleurs de dos, plus de douleur depuis 6 ans »
– « Guéri par un miracle »

Je pourrais continuer sur des pages et des pages : toutes les histoires sont longues, détaillées, crédibles. Et je vous rassure, il n’y a aucun phénomène sectaire dans cette histoire. Le Pr Sarno est un médecin discret, l’opposé d’un gourou.

Plusieurs personnalités du spectacle (acteurs hollywoodiens, scénaristes, présentateurs TV) ont témoigné qu’ils devaient leur guérison au Pr Sarno.

Howard Stern, qui est sans doute le présentateur radio le plus connu en Amérique, a dédié son premier livre au Pr Sarno, tant il lui était reconnaissant d’avoir mis fin à ses douleurs.

En 2012, le magazine Forbes a déclaré que le Pr Sarno était « le meilleur médecin des États-Unis ». L’article qui lui est dédié vaut le détour, mais voici l’extrait qui m’a le plus frappé :

« Il relève du mystère qu’un médecin qui obtienne des résultats si bénéfiques pour ses patients, à un coût nul ou quasi-nul, puisse être considéré comme « controversé » alors que ceux qui pratiquent la médecine soi-disant conventionnelle, coûteuse et inefficace, sont, d’une certaine manière, considérés comme plus légitimes. »

Pas de méthode d’évaluation scientifique, mais…

L’idéal, dans un cas comme celui-là, serait de réaliser une étude dite « randomisée, contre placebo ».

Le principe est simple : vous prenez un groupe de patient, vous les divisez en deux groupes aléatoires (au hasard), et vous donnez à l’un de ces deux groupes le « vrai » traitement, tandis que l’autre ne reçoit qu’un placebo (un faux médicament).

Puis vous observez les résultats. Si le groupe réellement traité va mieux que le groupe sous placebo, on peut être certain que c’est grâce au traitement.

Cette méthode est le Graal de la rigueur scientifique. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut rester les bras croisés, sans rien faire, lorsqu’ aucune étude de ce niveau n’a pu être conduite.

Car le traitement du Pr a beau ne pas avoir été validé avec ce niveau d’exigence, il présente l’immense avantage :

– De ne pas avoir le moindre effet secondaire ou indésirable ;

– D’être gratuit ou quasiment gratuit, pour le patient comme pour la société ;

– Et de traiter des douleurs chroniques face auxquelles la médecine conventionnelle reste souvent impuissante (la plupart des médecins se contentent de donner des anti-douleurs, dont les effets secondaires à long terme sont problématiques).

En fait, la méthode du Dr Sarno est tellement simple que ceux qui souffrent depuis longtemps ont tout à gagner à l’essayer. Au pire, c’est un peu de temps perdu.

Et vous pouvez vous-même essayer maintenant ! Prêt ? Alors allons-y :

Un seul accessoire, un seul médicament : votre cerveau

Le Dr Sarno explique : dans de très nombreux cas, les douleurs chroniques ne sont pas causées par un problème corporel, elles sont produites par notre cerveau.

Attention : il ne dit pas que les douleurs ne sont pas réelles. Elles s’incarnent bien dans notre corps, dans notre chair.

Mais selon lui, elles sont produites non pas par un dysfonctionnement physique (anomalies structurelle de la colonne vertébrale, disque déformé, musculature déficiente etc.) mais par un souci psychologique que le cerveau « répercute » sur le corps via une douleur physique.

Voici comment il formule sa thèse :

« Vers 1975, j’ai abouti à la conclusion que la majorité des syndromes douloureux au cou, à l’épaule et au dos, tout comme la douleur associée fréquente dans les jambes et les bras, étaient d’ordre psychologique. Concrètement, des facteurs émotionnels déclenchaient une réaction dans certains tissus du corps qui se manifestaient sous la forme de douleur ou d’autres symptômes neurologiques. » [2]

Et cette thèse serait valide même si vous avez une anomalie structurelle avérée. Car de nombreuses études ont en effet montré que certains patients ayant des déformations graves ne souffrent d’aucune douleur.

L’une d’entre elles, parue dans le New England Journal of Medicine, est particulièrement troublante : les chercheurs ont fait passer des IRM lombaires à 98 personnes n’ayant jamais eu mal au bas du dos ou à la jambe.
Et ils ont découvert que 74 d’entre eux présentaient une déformation ou une saillie de disques lombaires. [3]

Conclusion logique : ce n’est pas parce que l’on a mal qu’on a forcément une déformation, et ce n’est pas parce qu’on a déformation qu’on a forcément mal.

Pour guérir : abandonner la croyance en une cause « physique » de la douleur

La première étape du « traitement » du Pr Sarno consiste à se persuader que votre douleur chronique a une origine psychologique :

« La douleur ne cessera pas tant que vous ne serez pas capable de vous dire : ‘mon dos est normal, je sais désormais que la douleur est due à un problème somme toute anodin initié par mon cerveau (…) et que les anomalies structurelles trouvées sur une radio, un scanner ou une IRM sont des modifications normales liées à mes activités ou au vieillissement ».

Il est vrai que ce n’est pas évident, surtout lorsqu’on découvre effectivement une anomalie, révélée par un scanner ou une IRM. Difficile, dans ce cas, de se dire qu’il ne s’agit que d’une coïncidence…

Mais le jeu en vaut la chandelle.

Pour ceux qui y parviennent, la guérison est souvent à portée de main. Chez certains patients, l’effet est même immédiat : « Souvent, il suffit de reconnaître qu’un symptôme est d’origine émotionnelle pour qu’il disparaisse », nous dit le Pr Sarno.

Et il le prouve, en publiant le témoignage de nombreuses personnes ayant vu leur douleur s’arrêter, à peine avaient-ils achevé l’un de ses livres.

Mais dans la plupart des cas, cela prend un peu plus de temps, avec un travail d’introspection.

Trouver la rage refoulée

Le Dr Sarno recommande ainsi à ses patients de réfléchir aux « rages refoulées » qui pourraient causer leurs douleurs. Celles-ci peuvent être de plusieurs sortes :

– Colère, blessure émotionnelle ou traumatisme pouvant remonter à l’enfance ;
– Colère provenant de la pression qu’on s’impose à soi-même pour être « parfait » (le perfectionnisme exacerbé est un trait de personnalité qui revient souvent chez ses patients) ;
– Colère engendré par les pressions de la vie ;
– Culpabilité, honte, peur, insécurité, vulnérabilité.

En pratique, il recommande de faire une liste, très longue s’il le faut, de toutes les pressions ou contraintes que l’on a subies au cours de notre vie et qui pourraient susciter une forme de rage au fond de nous-mêmes.

Plus étonnant, le Dr Sarno conseille également de « parler à son cerveau » : « Des patients soignés avec succès disent que lorsqu’ils sentaient le signe annonciateur d’une crise, un élancement de douleur, ils se parlaient ou même se criaient dessus et la douleur disparaissait ».

Le cœur de sa stratégie est simple : penser « émotionnel » et pas « physique » ; ne plus se focaliser sur la douleur mais sur son origine potentiellement psychologique.

Et en accompagnement de ce « traitement », le Dr Sarno conseille de se préserver, chaque jour, une période de méditation. Il insiste enfin pour maintenir un bon niveau d’activité physique, en essayant d’oublier la douleur et de ne pas craindre de malmener un « dos fragile ».

Je crois avoir résumé l’essentiel de la méthode du Dr Sarno, mais si vous voulez l’essayer sérieusement, il est à mon avis indispensable de se procurer son livre, Le Meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau.

Seul son récit complet, les cas cliniques qu’il décrit ou les détails qu’il offre vous donneront toutes les chances de guérir – et vous permettront de surmonter des doutes bien naturels.

PS : J’ai beau recommander chaudement la méthode Sarno à tous ceux qui souffrent de douleurs chroniques, je précise que je ne le suis pas dans toutes ses affirmations pour autant.

Il est indiscutable que son « traitement » marche pour certains, là où tous les autres ont échoué.

Mais les raisons pour lesquelles il fonctionne nous sont largement inconnues. Le Pr Sarno reconnaît d’ailleurs que sa méthode lui a été dictée par son expérience uniquement.

Toutefois, après avoir vu que son approche fonctionnait, le Pr Sarno a essayé de l’expliquer.

Il pense, avec Freud, que le refoulement, par notre inconscient, de certaines émotions, conduit le cerveau à créer des douleurs, comme une forme de diversion pour éviter que notre moi conscient ne puisse accéder à ces émotions refoulées.

Mais ne vous sentez surtout pas obligé d’adhérer à cette thèse.

Certes, l’importance de l’interaction corps-esprit pour notre santé est considérable. Chaque semaine, de nouvelles études scientifiques montrent l’efficacité étonnante des techniques faisant appel à l’équilibre émotionnel comme la méditation, la cohérence cardiaque ou l’hypnose.

La méditation en pleine conscience, par exemple, aide à se débarrasser de douleurs de nature très diverses : douleurs abdominales , douleurs de l’arthrose , etc. [4] [5]

Mais nous sommes encore loin de comprendre le mécanisme par lequel cela fonctionne. La tentative d’explication du Pr Sarno est une hypothèse intéressante, mais seulement une hypothèse.

Plus ennuyeux, le Pr Sarno est affecté d’une forme d’intransigeance. Plutôt que de proposer sa méthode comme un complément utile des autres traitements naturels de gestion de la douleur, il les balaie tous d’un revers de la main.

Or l’apparition de douleurs chroniques justifient toujours une approche globale comportant notamment :

– une alimentation saine et anti-inflammatoire (moins de sucre et de produits industriels, plus de végétaux),
– des compléments alimentaires ciblés (omégas 3 et vitamine D),
– des plantes (curcuma et boswellia),
– des exercices physiques (yoga, pilates) et émotionnels (EFT, méditation, etc.).

Le Pr Sarno refuse même de reconnaître que notre mode de vie peut être une cause directe du mal de dos. Dans le cas de la position assise, c’est pourtant difficilement contestable. Il est clair que notre corps d’homo sapiens n’est pas bâti pour rester assis pendant 10 heures par jour.

Autrement dit, ce n’est pas parce que l’on reconnaît le rôle décisif de notre esprit qu’il faudrait s’empêcher de prendre soin de notre corps.

Un bienfaiteur de l’humanité

Malgré tout, le Dr Sarno reste un bienfaiteur de l’humanité, ne serait-ce que pour tous les patients qu’il a guéris.

La médecine conventionnelle est d’ailleurs en train de lui donner raison sur un point qu’il n’a pas cessé de marteler au fil des ans : l’inutilité de l’imagerie médicale, et plus encore de la chirurgie, dans la majorité des cas de douleurs lombaires.

Il est donc inutile de vous précipiter chez le radiologue, sauf dans deux cas : 1) un traumatisme avéré de la colonne et 2) des douleurs associées à d’autres symptômes inquiétants (qui peuvent signaler un cancer).

Gardez bien en tête que le vieillissement ou le tassement des vertèbres ne causent pas en eux-mêmes de douleurs lombaires. C’est pourquoi la chirurgie du dos est inutile et dangereuse dans la plupart des cas. Malheureusement, chaque année, des centaines de milliers de patients dans le monde subissent une opération de « soudure de leurs vertèbres » (arthrodèse) pour leurs douleurs lombaires, avec un taux d’échec de plus de 75 %. [6]

Quoi que l’on pense du Pr Sarno, il est donc essentiel, en cas de douleur chronique, de se tourner en priorité vers les approches naturelles.

Sources :

[1] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 25.

[2] Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau, Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015, page 19.

[3]  « Magnetic resonance imaging of the lumbar spine in people without back pain », Jensen M.C. et al., New England Journal of Medicine, 331, 1994, p. 69-73

[4]  Genomic and clinical effects associated with a relaxation response mind-body intervention in patients with irritable bowel syndrome and inflammatory bowel disease Kuo B, Bhasin M, Jacquart J, Scult MA, Slipp L, Riklin EI, Lepoutre V, Comosa N, Norton BA, Dassatti A, Rosenblum J, Thurler AH, Surjanhata BC, Hasheminejad NN, Kagan L, Slawsby E, Rao SR, Macklin EA, Fricchione GL, Benson H, Libermann TA, Korzenik J, Denninger JW. PLoS One. 2015 Apr 30;10(4):e0123861. doi: 10.1371/journal.pone.0123861.

[5] A comparison of mindfulness-based stress reduction and an active control in modulation of neurogenic inflammation, Melissa A. Rosenkranz, Richard J. Davidson, Donal G. MacCoon, John F. Sheridan, Ned H. Kalin, Antoine Lutz, Brain, Behavior, and Immunity, Volume 27, January 2013, Pages 174-184, ISSN 0889-1591, 10.1016/j.bbi.2012.10.013.

[6] Back Pain Treatments — What Works and What Doesn’t, Dr Mercola, in Peak Fitness

402 commentaires

  • Laurence dit :

    Bonjour, je confirme que ça marche pour avoir essayé cette méthode il y a environ 20 ans, mais avec un autre Professeur. La seule chose qui l’empêche de fonctionner, c’est le doute ! Notre cerveau est une grande puissance, encore faut-il savoir l’utiliser et avoir confiance en ses capacités. Avec cette méthode, non seulement je me suis sortie d’une dépression, mais j’ai réussi à trouver du travail, une maison, de l’argent, à me protéger d’une chef trop agressive et d’un petit ami trop violent… et cette liste n’est pas exhaustive. Il n’y a aucune limite aux pouvoirs de notre subconscient! et nous possédons tous ce pouvoir. Je ne connais pas ce professeur dont vous conseillez le livre, mais il semblerait qu’il donne les mêmes conseils que ceux que j’ai reçus.

  • Thierry LE BARCH dit :

    Bonjour,
    j’ai toujours cru que j’étais fou ! je n’en ai parlé à personne vous pensez bien ! Je suis impressionné par cette démarche du cerveau et je le mets en pratique depuis plus de 20 ans …
    En fait je crois que le cerveau pilote tout et qu’il est la tour de controle du corps … ainsi quand une douleur intervient dans mon corps, quelle qu’elle soit, je déclenche un système d’alerte mentalement du style militaire ou zone protégée : « Alerte ! alerte à toutes les cellules disponibles ! douleur à … (tel endroit) ! » puis toujours mentalement je cible la douleur et ça marche même sur un problème d’artrose d’épaule …
    Testez vous même !
    Thierry

  • Christine DIDY dit :

    En 2009, je boitais depuis 6mois, mon medecin pensait que c etait mon dos! mais apres plusieurs problèmes de santé qui se présentent et une infection urinaire, un ami me conseille d aller passer 1 IRM du bassin chez un urologue qu’ il connaît, il me prend rdv assez vite>> et on me decouvre un Myelome multiple av tumeur maligne de 9cm sur l os hiliaque à la jambe gauche…? je suis anéantie?.. ainsi que mes proches. Je vais devoir subir chimiotherapie, radiotherapie..et 2 greffes de moelle?.
    Mes amies m offre alors le livre du canadien Daniel SEVIGNI, Penser-Gerer-Gagner , sur LA PENSÉE POSITIVE >☺(comment comprendre ses souffrances et parler à son corps-se pardonner? ou accepter ce qui EST >LACHER PRISE)..etc .
    Ses lectures ainsi que la pratique journalière (parler à son corps) +meditations recommandées dans ses livres m ont vraiment aidée,? je me suis sentie protégée en faisant appel à l Univers infini, par des prières spécifiques recommandées ds son livre?.
    A présent, Je suis CERTAINE que nos pensées nous empoisonnent et la rendent malade! ?
    Par contre, le pouvoir de la pensée positive? peut nous aider à avoir moins mal et aussi à se guérir à la longue de persévérance!..je continue à faire ma méditation et remercie? l UNIVERS ts les jours pr la belle journée? que j ai vécu.
    Auj,en 2017, je suis en totale rémission et je revois ts les 6mois mon hématologie au ChU de LIEGE- BELGIQUE
    UN TOUT GRAND MERCI ???à la science, aux infirmières, aux chercheurs et au Dr BEGUIN, pr leur très bons soins mais… aussi à L UNIVERS INFINI ..QUI M ONT aidée à GUERIR??
    NAMASTE?

    • Henri Grinda dit :

      jr souffre ponctuellement de douleurs lombaires ou cervicales , j’ai 81 ans j’ai pratiqué avec le club de l’A.S.P.TT le VTT en montagne ou en ville comme a Toulon où depuis plus de 30 ans j’ai collaboré à la mise en place de voixs permettant aux 2 roues de se rendre à leur école , à leur travail ou simplement s’isoler du trafic routier .
      je suis actuellement au Porphyre une résidance pour personnes agées , entre 65 et plus qui me permet de faire du vélo d’appartement sur mon balcon … ce vélo étant tres perfectioné me permet de maintenir l’état de mes mollets…

  • Emmanuel LATSAGUE dit :

    Bonjour !
    Dans ma jeunesse, J’ai en effet développé une méthode de contrôle de la douleur. Le principe en est très simple et vous le livre volontiers même si ceux à qui je me suis ouvert se sont montrés peu réceptifs à ce jour. Il s’agit de prendre une position confortable (debout, couché, assis, peu importe …) et commencer à respirer doucement et profondément mais sans effort comme si on voulait s’endormir (ce qui arrive parfois). Ensuite, focaliser sa pensée sur le mouvement d’un objet, une personne, un lieu, un dessin, une peinture ou une sculpture, etc. … qui éveille en vous une sentiment de calme agréable et non violent. Ce pourrait être une chute d’eau, un pré agité par le vent, un grand soleil ou une personne souriante. Les sujets sont très nombreux et chaque personne a le sien particulier. Enfin, observez les mouvements du sujet choisi et laissez vous bercer par le plaisir qu’ils font naître en vous. Au bout de quelques instants, la douleur part toute seule.
    Aujourd’hui, à 60 ans, je suis perclus de problèmes divers dus essentiellement aux abus auxquels je me suis laissé allé étant plus jeune mais j’en maîtrise assez bien les symptômes.
    Voilà ! A vous de développer mon expérience à votre profit. Je l’ai reçu gratuitement, je le donne volontiers sans contrepartie.
    Sincèrement, Emmanuel.

  • Kanoui dit :

    oui , je suis depuis 6 ans , une méthode établit par le Dr Daniel Dufour, a Geneve, en Suisse. cette méthode m’a permis de sortir de ma dépression qui durait depuis 8 ans sous médications.
    vous pouvez aller voir les details sur son site Oge.biz
    Dr Daniel Dufour enseigne aussi a l’université au canada. il a écrit plusieurs ouvrage .

  • marie jo dit :

    On n imagine pas le pouvoir de l inconscient, le pouvoir de nos émotions etc . Pour cela il suffit d aller sur internet visionner des conférences sur différentes techniques tel que l eft, l ‘hoponopono, le reiki, le ra haraktys la relaxation, l auto hypnose, la méditation, le yoga, j en passe et des meilleures que l on peut pratiquer tout seul. (il suffit d’un peu d ‘entrainement et de volonté )
    Sans parler des thérapies magiques comme la kinésiologie, la psychokinésiologie etc etc. Il y en a tellement qui nous permettent de nous soigner tout seul en ouvrant notre conscience.
    Déja la première chose, arreter de mettre la faute de notre mal être sur les autres et prendre enfin nos responsabilités. Ca n ‘est pas toujours facile mais une fois qu on commence on ne peut plus s arrêter, c’est tellement interessant.
    Bien se connaitre aide a s ‘aimer, a aimer les autres et tout devient plus simple.

  • Carlos Issa dit :

    A vrai dire vous faites de la publicité et c’est tout . Vous écrivez vous écrivez vous écrivez sur le pr mais pas comment se guérir .vous nous faites croire que la solution est dans le paragraphe suivent mais non et même si on lit jusqu’au bout c’est pareil .en conclusion vous faites la pub pour des collègues car vous ne donnez pas de remède . Car si après la lecture du mail ou vous promettez de guérir le mal de dos , cette lecture n’a pas apporté de nouveau pour moi sauf faire parler du pr . Expliquez comment traiter le mal de dos est plus utile pour moi lecteur que de parler du pr ,or vou n’avez pas expliqué. Quand aux commentaires des patients, … je doute fort

  • Herzog Marguerite dit :

    Merci pour cette lettre et celles pour lesquelles je ne vous ai pas remercié. Ce livre m’intéresse car je pense que ce n’est pas que le dos que l’on peut guérir avec le cerveau mais cela donne une technique d’approche, ce qui est précieux.
    D’autre part, j’ai eu l’heureuse surprise d’imprimer cette lettre et de constater que les caractères sont juste un peu plus grand ce qui est parfait pour la lecture. Merci mille fois d’avoir corrigé cette approche qui pour moi est essentielle.
    Merci aussi pour tous les trésors que l’on trouve dans vos lettres.
    Margot

  • marie therese denise rossaert dit :

    j’ai eu deux grandes opérations du dos après etre tombée d’un escalier en marbre(à mon travail) en plus je été mis à la porte;, bien que je travaillais depuis 27 ans dans cette grande firme – mais c’est vrai : depuis que je fais ma méditation, le soir , je dors beaucoup mieux et mème pendant la journée j’essaie de me concentrer sur les (belles choses de la vie) le soleil, les fleurs, la belle musique classique etc et cela aide vraiment a me ddécontracter et alors j’ai beaucoup moins mal !!!

    • Frankie A. dit :

      Bonjour, il y a quelques lustres, on entendait parler de tous les petits bonheurs de la vie… c’est exactement ce que vous faites (moi aussi) Sachons apprécier et profiter de tout ce qui est beau et fait du bien. Toutes ces petites choses qui nous entourent et que beaucoup ne savent pas voir (entre autres les addicts aux jeux sur écrans divers)
      Savoir admirer une fleur, un oiseau, un joli dessin, une voiture ancienne aux cuivres rutilants etc. Savoir s’émerveiller à tout âge… Prendre un train qui sillonne la campagne au lieu de la « déchirer » à plus de 200KM/h! Laisser une guêpe marcher sur son doigt, au lieu de vouloir à tout prix l’écraser. Forcément, ça l’énerve! Mieux vaut lui mettre quelques miettes dans une soucoupe au bout de la table…

  • Nicole Schatteman dit :

    D abord merci pour les renseignements.
    Après avoir lu votre article je dois dire que je n ai pas d efforts à faire pour accepter le contenu .

    Je veux lire les commentaires sur le site même que vous annoncez

    Peut être même acheter le livre.
    Bien à vous

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