Alzheimer est la maladie que ma mère redoute le plus.
Elle n’est pas la seule dans ce cas : j’ai souvent observé que cette terrible maladie est le cauchemar numéro un des personnes qui vieillissent.
Passé 60 ans, dès que vous oubliez où vous avez mis vos clés, dès que le nom de votre acteur préféré vous échappe, vous ne pouvez pas vous empêcher de penser : « et si c’était Alzheimer » ?
Cette maladie est effrayante parce qu’elle est incurable. Mais aussi parce qu’elle semble frapper au hasard.
On vous dit que, passé 65 ans, vous aurez bientôt une chance sur quatre de développer la maladie d’Alzheimer. Et on vous laisse comme ça, à prier pour que cela ne tombe pas sur vous.
Alors qu’on devrait plutôt vous expliquer comment vous en protéger.
Alzheimer n’a rien à voir avec le vieillissement
Car la maladie d’Alzheimer n’a rien d’une fatalité.
Elle n’existe pas dans les tribus de chasseurs cueilleurs qui ont conservé une alimentation et un mode de vie traditionnel, loin des toxines du monde moderne.
Lorsque le Dr Staffan Lindeberg a étudié les habitants de l’île de Kitava en Papouasie Nouvelle Guinée, il n’a observé aucun cas de démence sénile chez les plus de 65 ans. [1]
Même au sein des pays développés, d’énormes différences existent : Alzheimer est 10 fois moins répandue au Japon qu’en Europe !
C’est bien la preuve que cette maladie est liée à nos comportements.
Les recherches les plus en pointes montrent qu’Alzheimer est lié à un état d’inflammation chronique de l’organisme, parfois silencieux … Or l’inflammation est presque toujours causée par un mode de vie qui laisse à désirer. [2]
Certes, il existe des merveilles de la nature qui luttent contre l’inflammation et vous protègent d’Alzheimer : vitamine D, curcuma, oméga-3, myrtilles, thé vert, cannelle, etc.
Mais ces « remèdes » ne suffiront pas si vous négligez votre alimentation (trop de sucre, pas assez de végétaux), si vous ne bougez pas assez, si vous souffrez de stress chronique ou si vous ne dormez pas suffisamment.
Pour se donner toutes les chances d’éviter Alzheimer, ce sont souvent des habitudes entières de vie qu’il faut modifier !
Mais il existe aussi un geste très simple à réaliser. A lui seul, il permet de réduire nettement votre risque de contracter la maladie.
Il s’agit d’éviter autant que possible de prendre des médicaments.
Car il n’y a plus de doute à présent : certains des médicaments les plus courants causent la maladie d’Alzheimer.
Somnifères et anxiolytiques : les affreux « benzodiazépines »
Et cela commence par les « benzodiazépines » censés lutter contre l’anxiété et l’insomnie : lexomil, xanax, valium, etc.
A eux seuls, ces médicaments sont responsables d’au moins 16 000 à 32 000 nouveaux cas d’Alzheimer en France chaque année.
Cette estimation a été réalisée à partir des travaux d’une équipe de chercheurs bordelais, publiés dans le prestigieux British Medical Journal. [3]
Ce qu’ils ont montré est tout simplement effrayant : au bout de seulement 3 mois de prise de ces médicaments, le risque d’Alzheimer augmente de 51 %.
Après 6 mois, il bondit à 80 %.
Il vous suffit donc d’avaler ce type de pilules pendant quelques mois seulement pour voir votre risque de contracter Alzheimer être multiplié par deux !!
Et le pire est que ces médicaments sont hyper répandus : pas moins de 14 % des Français en prennent régulièrement.
Pire : passé 80 ans, près d’une femme sur deux se les voit prescrire par son médecin ! [4]
Alors qu’il existe des solutions naturelles plus efficaces dans la durée et sans le moindre effet secondaire contre l’anxiété et l’insomnie ! [5]
Médicaments anticholinergiques (allergies asthme, etc.)
Il existe une autre grande classe de médicaments qui cause Alzheimer : ce sont ceux qui ont un effet « anticholinergiques ».
Le drame est qu’ils sont partout : en France, plus de 300 médicaments sont anticholinergiques : on en trouve notamment dans des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, dans les antihistaminiques en vente libre (contre l’asthme ou les rhinites allergiques) ou encore dans les médicaments contenant de la warfarine (utilisés contre les maladies cardiaques etc.).
Résultat un Français sur trois en consomme régulièrement !
Tout cela, alors que les laboratoires pharmaceutiques savent depuis longtemps qu’ils sont dangereux pour le cerveau.
Car ces molécules « anticholinergiques » ont pour effet d’empêcher l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur par ailleurs essentiel pour… la mémoire et la santé du cerveau !
L’un des symptômes majeurs de la maladie d’Alzheimer est justement un déficit en acétylcholine… et le principal médicament anti-Alzheimer qui existe (Aricept) a précisément pour objectif essentiel d’aider l’acétylcholine à agir.
Personne ne peut donc prétendre être réellement surpris que les anticholinergiques puissent causer Alzheimer.
Et c’est aujourd’hui prouvé, grâce à une étude fracassante publiée en mars 2015 dans le JAMA Internal Medicine. Une équipe de chercheurs a suivi 3 434 participants de plus de 65 ans durant plus de 7 ans. [6]
Et le résultat a été clair, net et précis : plus les participants ont pris des médicaments anticholinergiques, plus ils ont développé des démences type Alzheimer :
– Au delà de 3 mois de prise de ces médicaments, le risque d’Alzheimer était augmenté de 19 % ;
– Et après 3 ans, le risque bondissait à + 54 % !
Mais n’attendez pas que les autorités interdisent ces médicaments. A cause de la pression des laboratoires pharmaceutiques, il faudra des années avant qu’ils ne soient interdits.
Par conséquent, voici ce que je vous invite à faire dès maintenant :
1) Vérifiez que vous (ou vos proches) ne prenez pas l’un de ces médicaments (vous trouverez ici la liste des médicaments ayant un effet anticholinergique) ;
2) Arrêtez-les immédiatement s’ils n’ont pas été prescrits par votre médecin ;
3) S’ils vous ont été prescrits, demandez à votre médecin une alternative sans effet anticholinergique.
Médicaments contre les brûlures d’estomac
Une autre classe de médicaments, dangereuse et pourtant extrêmement répandue, est celle des anti-acides (les « inhibiteurs de la pompe à protons », IPP).
Des millions de Français les utilisent régulièrement contre les brûlures d’estomac.
Il y a encore quelques années, la plupart des médecins disaient de ces médicaments qu’ils étaient « bien tolérés et sans effet secondaire significatif ».
En réalité, on manquait simplement du recul minimal pour pouvoir les évaluer sérieusement. Aujourd’hui, la vérité commence à apparaître… et elle n’est pas belle à voir.
Coup sur coup, plusieurs études récentes ont montré leurs effets dévastateurs sur le cœur (+ 21 % de risque de crise cardiaque ) et sur les reins (+ 20 à 50 % de risque de maladie rénale grave ). [7] [8]
Mais les résultats les plus effarants sont venus d’une étude publiée en février 2016 dans le très reconnu Journal of the American Medical Association (JAMA). [9]
Elle a montré que la prise de ces médicaments au-delà de 3 mois augmentait le risque de démence de type Alzheimer de 44 à 66 % !!
Alors même qu’il existe là encore des alternatives naturelles nettement plus efficaces pour faire disparaître durablement les brûlures d’estomac ! [10]
Médicaments anti-cholestérol (statines)
S’agissant des médicaments anti-cholestérol, leur responsabilité dans la maladie d’Alzheimer n’est pas encore avérée. A ce jour, on ne dispose pas des mêmes preuves accablantes que pour les médicaments cités précédemment.
Mais je suis convaincu que c’est une question de mois ou d’années : on devrait bientôt voir arriver des études prouvant que les médicaments qui font baisser le taux de cholestérol provoquent de sérieux problèmes cognitifs.
Car une chose est sûre: les personnes qui ont un taux de cholestérol élevé ont moins de risque de souffrir d’un déclin cognitif accéléré ou d’une démence de type Alzheimer.
Et c’est tout sauf une coïncidence. Le cerveau ne représente que 2 % du poids de l’organisme, mais renferme 25 % du cholestérol total ! C’est dire si le cholestérol lui est indispensable.
Le cholestérol est un composant essentiel de la myéline, cette membrane qui protège nos neurones… et que la maladie d’Alzheimer a justement la particularité de détruire !
Voilà pourquoi il est plus qu’imprudent de vouloir abaisser artificiellement son taux de cholestérol.
Si vous prenez ce type de médicaments, parlez-en en urgence avec votre médecin. S’il se montre hésitant, offrez-lui le livre du Dr de Lorgeril, L’horrible vérité sur les médicaments anti-cholestérol, il y a de bonnes chances qu’il vous propose de les arrêter.
Non, je ne suis pas « anti-médicaments »
Attention, ne croyez pas une seconde que je suis « anti-médicament ».
Je sais pertinemment que certains médicaments sauvent des millions de vies (antibiotiques, molécules anti-caillots juste après un infarctus, etc.) ou améliorent drastiquement la qualité de vie des patients (antidouleurs comme la morphine, etc.).
Mais il faut être réaliste.
Si vous avez un problème complexe et chronique (anxiété, insomnie, maladie du cœur, brûlures d’estomac, asthme, allergie), il est naïf d’imaginer qu’une simple pilule chimique pourrait vous en débarrasser.
Et il est encore plus naïf d’imaginer qu’elle pourrait être inoffensive. Irène Frachon, la pneumologue qui a révélé le scandale du Médiator l’explique bien :
« Le médicament qui ciblerait de façon spécifique la pathologie, sans risquer de perturber le reste de l’organisme, est une utopie. »
Voilà pourquoi il faut toujours préférer des solutions alternatives et sans danger, à chaque fois que c’est possible.
Et le fait est, qu’en dehors des cas d’urgence, c’est presque toujours possible.
Merci pour vos bon conseil. Pouvez vous nous conseiller d autre méthodes pour le stress.merci
je vous remercie pour vos courriers, j’ai arrêté de consommer des médicaments depuis longtemps
suite à une opération ou l’anesthésie m’a abimé
l’estomac (gastrite) depuis je ne prend que de l’homopathie et je suis en pleine forme à 73 ans
j’ai aussi écarté tous les produits nocifs que vous
citez, j’ai mon poids des mes 20 ans et je travaille
tous les jours encore.
merci pour vos renseignements utiles mais s’il vous plait : arrêter de nous faire cliquer sur des liens qui
renvoient à des formulaires d’inscription à d’autres éditeurs ….Allez vous mêmes en direct aux révélations de vos bonnes idées !
martine
Je suis pour les médecines naturelles mais elle se ne sont pas remboursées .deja ,beaucoup de personnes négligent leur santé car le reste à charge n est pas négligeable pr l alophatie.si on consulte une sophrologue c 50 euros ,idem pr réflexologie,plus le coût des huiles essentielles .seuls les riches y ont accès .ces médecines douces devraient être remboursées!
Bonjour,
Tant que les politiciens seront sponsorisés dans leurs campagnes électorales par les labo, nous aurons du mal à faire agir les ministres de la santé contre les intérêts des pharmaciens (entendez des laboratoires pharmaceutiques). Le preuve en est par le projet de rendre obligatoire 11 vaccins au lieu de 3 !!! Je crie au SCANDALE !!!. Les 3 vaccins obligatoires sont déjà de trop compte tenu de la nocivité de leurs adjuvants.
Quand allons-nous nous laisser libres de nos choix pour notre santé ?
Bonjour Claude,
je suis absolument d’accord avec tout ce que vous dites ! passer de 3 vaccins à 11 est une pure folie… de plus effectivement tout ce qui est médecines alternatives (sophrologue, ostéopathe, homéopathe, accuponcture (je ne sais pas si c’est remboursé ?) tout ce qui peut apporter bien-être dans la vie (séances de yoga, reiki etc…) devrait au moins être pris en charge partiellement ! nous en sommes loin, et les lobbys des labos enfoncent le clou, soutenus par nos gouvernants … je n’en dirai pas plus car cela me dérange gravement …
bien à vous,
cordialement.
Maureen.
Bonjour ,
je n ai pas eu le moyen de cliquer pour la commande , il n y avais rien en dessous de la vidéo , donc je n ai rien pu faire , je ne comprend pas ce qui c est passé , j aurais mon argent sur mon compte que le 12 septembre , que faire ?
Merci à vous . j aime votre vidéo , et c est bien vrai , les médicament ne sont vraiment pas bon .
Les lettres sont beaucoup trop longues, on n’ pas la patience de les lire. Tout ce que je souhaite, c’est en quelques mots simples (non scientifiques) dire ce qu’il est préférable de manger ou d’éviter de manger, et quelques conseils pratiques et praticables. Merci.
Bonjour, je suis IDEL depuis 1982 je suis très intéressée par vos propos de trouver des alternatives, nous sommeS des conseillères en Santé, nous orienton, nous sommeS les 1ères éducatrices pour Et à La Santé. Mais nous sommeS fortement liées aux prescriptions médicales Et sommeS souvent mieux informées que les médecins prescripteurs, car c’est là aussi notre boulot d’informer les gens. Avec l’obligation de vacciner les enfants Avec 11 vaccins à partir du 1er/01/18 Et la menace de sanctions en cas de refus pour les parents, les médecins vont-ils oser faire des prescriptions pour contre indication ? Qu’elle est notre marge de fonctionnement en tant que soignants et Que proposér aux gens ? La loi de 2002 ? Qui rend responsable les usager ? Voyez Ce qu’on en fait ? Elle est détournée !!! Qu’est la position de l’ordre des médecins? Des IDE, des Kinés etc….qu’ils sont les arguments supplémentaires que votre groupe médical pourraient nous transmettre.
Je suis une abonnée Et je vous remercie pour vos publications scientifiques et pour un mieux être bio-psycho-social-et environnemental. Il me faut des arguments pour informer éduquer, Que les gens prennent conscience. Merci
Bien cordialement
Livia Tamburini :livia-tamburini@orange.fr
Merci pour votre lettre sur ma tablette, très intéressant. Comme je suis greffée rénale, je fais fort attention aux médoc, mais je suis obligée d’en prendre tels les immunosuppresseurs. Je souffre aussi de polyneuropathie et l’examen montre que la myéline est atteinte. J’ai peur pour mon avenir. En plus, je prends un demi xanax car je ne dors pas la nuit et un cachet pour le reflux à l’estomac.
Bien merci pour ces informations.
Je n’ai pas trouvé » AVAMYS SPRAY NAS 120D 27,5 MCG/DOSE » dans la liste. Je l’utilise parfois contre mon allergie aux acariens notemment. Je suis abonné à Alternatif bien – être.
Bien à vous,
Marc Rasson
not A mment Marco !