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D’après vous, que se passe-t-il lorsque des policiers se mettent en grève ?

Quelles sont les conséquences d’une grève des infirmières ?

Et celles d’une grève des médecins ?

Prenez 10 secondes pour y réfléchir, répondre intérieurement… puis continuez votre lecture !

Je pense que vous serez surpris de la vraie réponse.

Grève des policiers : la « sanction » est immédiate

En 1923, à Melbourne, la police locale a décidé de se mettre en grève.

L’histoire ne dit pas si elle avait de bonnes raisons de le faire, mais la conséquence a été brutale.

Des milliers d’individus se sont immédiatement livrés à des pillages dans la ville.

Très vite, le gouvernement a été forcé d’engager des milliers de citoyens ordinaires pour remplacer tant bien que mal les policiers en grève.

Même phénomène à Montréal, en 1969 : lorsque les policiers municipaux se sont mis en grève, des centaines de délinquants se sont rendus au centre-ville pour profiter de l’aubaine.

De nombreux commerces ont été pillés, et le nombre de vols a été multiplié par quatre.

Dès la fin de la grève des policiers, la situation est redevenue normale[1].

Le bilan est clair : malheur à vous et moi si nos courageux policiers et gendarmes arrêtent de travailler !

Et c’est tout aussi vrai pour nos amies infirmières :

Grève des infirmières : combien de morts ?

Ce qui s’est passé récemment au Kenya en est l’illustration dramatique.

Début juin 2017, plus de 27 000 infirmières se sont mises en grève, pour protester contre des conditions de travail catastrophiques.

En quelques jours, 12 personnes sont décédées, faute d’avoir pu avoir accès à des soins (chiffres issus du journal médical The Lancet[2]).

Des journaux kenyans ont rapporté le cas d’un bébé de 8 mois, gravement atteint de paludisme et d’anémie, laissé à lui-même sans traitement médical.

Indispensables, les infirmières ?

Bien sûr ! Et des chercheurs de l’Université de Cornell aux Etats-Unis l’ont même montré par A + B[3].

Ces statisticiens ont analysé les résultats de 50 grèves d’infirmières à New York entre 1983 et 2004.

Et ils ont découvert que la mortalité des patients augmente de 20 % pendant les grèves d’infirmières !!

Une des raisons possibles est que les hôpitaux embauchent à la hâte des intérimaires mal formées.

Par exemple, lors d’une grève dans l’hôpital Abbott Northwestern en 2016, une remplaçante a gravement blessé un patient asthmatique en lui injectant de l’adrénaline contre l’avis du médecin[4] !

Au total, le résultat est clair : en cas d’arrêt brutal de l’activité d’infirmières bien formées, les patients sont moins bien traités, et cela cause des morts.

Alors je vous laisse imaginer le désastre… en cas de grève de MEDECINS !!

Eh bien non.

Vous n’y êtes pas du tout.

Lorsque les médecins font grève, c’est plutôt une bonne nouvelle pour les patients !

Mars 1999 : les médecins israéliens s’arrêtent de travailler

Voyez plutôt ce qui s’est passé en Israël il y a 18 ans.

Mon confrère Gabriel Combris a très bien raconté l’affaire dans une de ses lettres[5] :

Tout a commencé en Israël le 9 mars 1999, avec ce message :

« À compter de ce jour, votre médecin ne sera pas en mesure de vous prendre en charge. En cas d’urgence, rapprochez-vous de l’un des centres d’urgence encore en mesure d’accueillir des patients. »

Les médecins de l’Association médicale israélienne avaient en effet décidé de commencer une grève illimitée pour protester contre des mesures de restriction salariale.

Aussitôt, des milliers de rendez-vous furent reportés, des opérations prévues depuis longtemps annulées et reprogrammées à une date indéterminée. Seuls les services d’urgence des hôpitaux, de natalité ou encore d’oncologie restaient ouverts.

Les jours passèrent ainsi, les semaines, et les médecins poursuivirent leur grève. Trois mois en tout, avant qu’enfin un accord soit trouvé.

Quelles furent les conséquences sur la santé des Israéliens ?

C’est ce qu’a cherché à savoir un reporter du Jerusalem Post, plus curieux que les autres.

Après une minutieuse enquête, aidée d’un agent des pompes funèbres, il a livré des résultats… surprenants[6] :

« En comparant les chiffres des cérémonies organisées pendant les 3 mois de la grève de 1999 avec ceux des deux années précédentes à la même période, les deux hommes ont remarqué que le nombre de morts était… en baisse de 55 %.

Autrement dit, quand les médecins font grève, le nombre de morts est divisé par deux !!! ».

Mieux, en menant son enquête, le reporter du Jerusalem Post a également découvert qu’une situation analogue s’était déjà produite à Jérusalem en 1983, et que le nombre de morts avait également baissé.

Il a aussi observé un autre phénomène intrigant dans la ville de Netanya, où le personnel du seul hôpital de l’époque avait dû signer une clause interdisant le droit de grève et où, par conséquent, les médecins n’ont pas suivi leurs confrères grévistes. Ici, la principale société de pompes funèbres reporte un nombre identique de funérailles organisées pendant les grèves de 1999.

Autrement dit : dans une ville où les médecins travaillaient, le nombre de morts était resté parfaitement stable. 

Je sais que cela paraît incroyable.

Mais si vous êtes sceptique, sachez que ce n’est pas un cas isolé !

Grève des médecins, moins de morts : à chaque fois c’est pareil !

Des chercheurs de l’Université d’Atlanta ont voulu en avoir le cœur net[7].

Alors ils ont épluché toutes les études existantes portant sur des grèves de médecin, sur 40 ans.

Ils ont rassemblé 156 articles qui portaient sur 5 grèves significatives. La plus courte a duré 9 jours… et la plus longue 4 mois !

Et là, encore, les résultats ne font aucun doute :

  • Aucune de ces grèves ne s’est traduite par une augmentation du nombre de morts ;
  • Au contraire, pendant ces 5 grèves, la mortalité a soit stagné, soit diminué.

Si vous lisez cette étude (en anglais), vous verrez que leurs auteurs se grattent la tête pour essayer de trouver une explication à ce paradoxe.

Peut-être réalise-t-on moins de chirurgies délicates pendant les grèves ? Peut-être que les grèves n’ont pas duré assez longtemps pour avoir de graves conséquences ?

« Quoi qu’il en soit, concluent les auteurs, les études scientifiques suggèrent que ces grèves se traduisent par une réduction de la mortalité ».

Quel contraste avec les grèves des infirmières !

Et le plus étonnant, c’est que la mortalité diminue également… quand les médecins censés être les plus « compétents » sont ailleurs !

Moins de morts quand les « grands cardiologues » sont absents !

C’est ce qu’on a constaté avec les cardiologues, grâce à une étude ahurissante, publiée dans le JAMA Internal Medicine[8].

Les chercheurs sont partis d’une question toute simple : que se passe-t-il quand les meilleurs cardiologues du pays ne sont pas à l’hôpital, parce qu’ils assistent à un congrès national de cardiologie ?

Qu’arrive-t-il aux patients à très haut risque de crise ou défaillance cardiaque ?

Sont-ils plus nombreux à mourir lorsque les « pontes » ne sont pas là pour s’occuper d’eux ? C’est ce que les chercheurs étaient certains de trouver.

Eh bien non, c’est le contraire : il y a moins de morts.

Nettement moins, même : jusqu’à 30 % de réduction pour les patients les plus à risque !

Vous avez plus de chances de vous en sortir si les cardiologues les plus renommés du pays sont à leur congrès plutôt qu’à votre chevet.

Serait-ce parce que les jeunes cardiologues ont plus de pratique que leurs aînés absorbés par la recherche universitaire ?

Peut-être, mais la raison la plus probable est ailleurs.

Les « pontes » osent davantage (ou aiment davantage) se lancer dans des opérations plus « ambitieuses »… et beaucoup plus risquées.

Des opérations qui ont peut-être plus de « panache »… mais qui causent davantage de morts.

D’après l’étude, de fait, il y a plus d’interventions (comme la pose de stents) lorsque les pontes sont présents. Et c’est sans doute cela qui tue les patients.

Trop de médecine tue

La morale de toute cette histoire est simple.

En médecine, le « mieux » est l’ennemi du bien.

Vous n’irez pas mieux parce que vous ferez toujours plus de tests, toujours plus d’opérations, ou si vous prenez toujours plus de médicaments… bien au contraire !

Bien sûr, les urgences et le SAMU sauvent des milliers de vies tous les jours. Cette médecine-là, personne ne peut se permettre qu’elle fasse grève.

Mais c’est totalement différent pour la médecine du quotidien.

Trop souvent, la médecine « conventionnelle » produit plus d’effets indésirables que de bienfaits. Alors mieux vaut la restreindre au strict minimum !

Voltaire disait que « l’art de la médecine consiste à distraire le patient pendant que la nature
le guérit
».

Ce n’est sans doute pas toujours vrai, mais c’est à méditer !

57 commentaires

  • MICHEL dit :

    Merci et encore merci pour toutes ces informations précieuses pour le citoyen lambda !
    Toutefois tous les traitements par les plantes ne sont pas accessibles au plus grand nombre en raison de leur prix.
    Continuez de nous informer, peut être un jour arriverons nous à inverser les tendances et les laboratoires seront ils obligés de changer leurs méthodes …. ???? Utopie ???….

  • Bets dit :

    Bonjour !
    Quelle est votre source concernant la citation de Voltaire , de quelle lettre ou quel ouvrage est elle extraite ?
    Merci de ne pas oublier de systématiquement citer vos sources

  • Bets dit :

    Bonjour ! D’où est extraite cette citation de Voltaire ? Merci

  • Michelle dit :

    Arrêter vos bétises quand il infirmières sont en grève je le sais pour en étre une il y a un service toujours assuré en faite on ne pointe pas et la grève est plutôt administrative mais jamais auprès des patients. Pourquoi allez vous chercher des exemples à l étranger pour essayer d alerter les gens ici. Je ne comprends votre démarche ou je n ose pas là comprendre.

  • routin dit :

    on dirait un commentaire à la TRUMP. Aussi con et ça m’étonne de vous de dire n’importe quoi
    De toute manière vous savez très bien qu’il n’y a pas de grève de médecins car il y immédiatement une réquisition préfectorale. Mon épouse est médecin interniste et gériatre et lors de ses absences on a noté une augmentation de 20% des décès
    Si vous vous mettez aussi aux fake news je serai obligé de me désabonner

  • d'info dit :

    La question est de savoir si un diagnostic sciemment erroné de démence de type Alzheimer (de “DTA”, en langue indigène) peut, dans des circonstances particulières, être considéré comme éthiquement justifié du point de vue de l’APHP, du Conseil de l’Ordre des Médecins et des autorités judiciaires françaises, mais aussi de savoir si une expertise à évidence mensongère est elle aussi “éthique” ?
    Certainement oui: preuve en est le cas d’un malade qui avait été admis en neurologie à l’hôpital Bicêtre le 2 août 1990 après son passage le 31 juillet aux Lits-Portes de cet hôpital. Le diagnostic syndrome neuro-anémique (SNA) relatif à la maladie de Biermer y avait été correctement porté par les urgentistes (entre autres par Antoine Moulonguet, avant que celui-ci ne devienne Chef de Service de neurologie à La Salpêtrière). Le SNA lié à la maladie de Biermer est, sans son traitement spécifique, inéluctablement mortel à brève échéance, du moins au lorsqu’il en arrive au stade, très sévère, où en était arrivé le malade.
    Malheureusement pour celui-ci, il avait été transfusé en avril 1984 à l’hôpital Saint-Louis, c’est-à-dire à une époque où les transfusions véhiculaient le VIH. Autrement dit, il était préférable, du point de vue de l’AP – HP et du ministère de la santé, ministère alors aux mains de Claude Even, que le malade n’ait pas le temps de développer un SIDA maladie, et donc, puisqu’il avait entre-temps contracté une maladie mortelle en l’absence de son traitement spécifique, ne pas le lui administrer (25.000 patients furent en France à cette époque contaminés, d’après ma Consœur Anne-Marie Casteret, qui a publié en 1992 “L’affaire du sang”, aux éditions La découverte).
    (mis en cause pour n’avoir pas organisé le rappel des patients qui avaient été transfusés dans la première moitié des années 1980 et mis en examen pour homicide involontaire à la suite de la plainte des parents de Catherine Aloncle, morte en 1991 après avoir été contaminée par le VIH suite à une transfusion, le ministre Claude Even n’avait aucun souci à se faire. Comme il pouvait s’y attendre, la Cour de Justice lui a fait obtenir un non-lieu. Les réponses faites par le ministre le 19 juin 1999 au journaliste Eric Favereau pour justifier ce manquement ne sont pas des plus convaincantes. https://www.liberation.fr/societe/1999/06/19/sang-contamine. En 1988, il était clair que la séropositivité au VIH ne protégeait nullement du SIDA les patients contaminés, bien au contraire. Les réponses du ministre ont été publiées dans “Libération” il y a donc tout juste 20 ans. Il apparait que les hauts responsables de la santé publique se sont dans cette affaire voulus irresponsables. Les hauts salaires dont ils se prévalent sont justifiés par les hautes responsabilités qu’ils se chargent de ne surtout pas assumer.)
    Cette contamination se traduit parfois, mais très rarement, part une LEMP (Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive), c’est-à-dire par une atteinte diffuse du système nerveux, celle-ci de pronostic effroyable, mais pas obligatoirement inéluctable, puisque quelques malades s’en remettent sous vitaminothérapie B12, ou sans que l’on sache pourquoi Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42 .
    Le laisser mourir présentait pour l’administration de l’APHP bien d’autres avantages. Ils ont déjà été dits dans mes précédents articles. Il faut en effet rappeler quelle en était la logique. Une logique relative à cette époque, où, en France, tous les coups étaient permis du moment où ils pouvaient passer inaperçus et/ou être couverts par les autorités étatiques. L’illustre entre autres en France p. ex. affaire du Rainbow warrio, la mort de Robert Boulin et de Jean de Broglie (comme aux USA le Watergate du temps de Richard Nixon, et sous celui de Robert Bush le prétexte des armes à destructions massives détenues par l’Irak pour l’attaquer. Les pays totalitaires et les républiques bananières sont évidemment hors concours)
    Quoi qu’il en soit, que ce malade ait relevé de la très fréquente maladie de Biermer ou des rarissimes LEMP, ce malade aurait dû bénéficier du traitement relatif à la maladie de Biermer comme de celui relatif aux LEMP, qui relèvent tous les deux d’une même vitaminothérapie B12 intensive, quand bien même il aurait été atteint d’une “DTA”. D’autant que ce traitement est très peu coûteux: le prix de quelques paquets de cigarettes.
    – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”,
    – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. “Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction” (Accepted for publication September 5, 1990)
    – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
    – J. Nutr. 1997;127:345-351. “Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression”.
    – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. “Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients”.
    – Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris
    Non seulement ce traitement lui fut sans raison valable refusé, mais les neurologues de l’hôpital Bicêtre passèrent au docteur Jean-Yves Beinis, chez qui ils le firent transférer, la consigne de donner à ses infirmières l’ordre de ne faire que semblant devant moi de le lui administrer !
    Ce subterfuge permettait de transmettre et donc de faire partager au docteur Beinis, qu’ils savaient aussi peu enclin à désobéir que peu curieux sur le plan clinique, la responsabilité de leur forfait, à savoir un manquement délibéré aux règles les plus élémentaires de la médecine, donc de la diluer. Compromettre le plus de monde possible est un stratagème qui n’aurait pas dû échapper à la Justice.
    Il a encore servi par la suite, quand, en 1995, madame Scelle, juge d’instruction au TGI de Créteil, a nommé trois médecins experts relevant de l’APHP pour l’informer sur cette sombre affaire (il est vrai que la plainte du malade visait avant tout les médecins de la Clinique Elmelik parce qu’il ignorait, lorsqu’il a porté plainte, que les neurologues avaient délibérément omis de lui administrer le traitement pouvait lui a sauver la vie. Il était dans le coma lorsque je suis intervenu pour le lui administrer après que les infirmières du Dr. Beinis m’ont informé du simulacre.
    Madame Scelle ne tiendra par la suite évidemment aucun compte des informations du contre-expert, qui, à la différence des trois premiers, énuméra en novembre 1997 dans sa longue expertise (44 pages finement dactylographiées) les très nombreuses fautes délibérées, les unes plus ahurissantes que les autres, commises par les médecins qui avaient pris le malade en charge en 1990, à savoir premièrement les médecins de la Clinique Léon Elmelik, puis les neurologues du Service de professeur Gérard Saïd et ceux du Service du docteur Beinis. Elle avait pris le soin de qualifier en “coups et blessures involontaires” une plainte portée à juste titre pour “coups et blessures volontaires et non assistance délibérée à personne en péril de mort”.
    Claude Evin est un ministre auquel ledit patient avait écrit en 1990 pour se plaindre … de son fils, qui lui avait conseillé de ne surtout pas donner suite à la solution chirurgicale inadaptée – pour ne pas dire absurde – du docteur Antoine Denis, le rhumatologue de la Clinique Elmelik. Celui-ci se prenait pour un chirurgien orthopédiste. Il prétendait pouvoir remédier aux douleurs manifestement d’origine neurologiques de ce malade par une opération chirurgicales ! Son fils s’en était allé trouvé le docteur Denis pour le mettre en garde et l’avertir de ce qu’il avait proposé était tout à fait inapproprié. Le docteur Denis l’a reconnu dans sa défense, et a dit n’en avoir pas tenu compte d’une part parce que le fils du malade n’avait pas réitéré ses avertissements, et que d’autre part lui seul était compétent pour savoir ce qu’il convenait de faire. Ses dires ont été avalisés par le Conseil de l’Ordre et la Justice !

  • FALCO dit :

    Cet article est surprenant tant ses conclusions interpellent. Pour autant il n’est pas forcement contestable encore faudrait-il que les sources sur lesquelles il s’appuie soient référencées. En l’absence de celles-ci cet article est suspect et je ne comprends même pas qu’il puisse être publié par des scientifiques sérieux.

  • Sandra Sury dit :

    Et le côté psychologique des patients qui attendent bien sagement que leurs médecins reviennent. Ils ne se déplacent plus en consultation et après c’est le rush dès leur retour.

  • Anna dit :

    Je crois que suite à cet article c’est vous qui avez besoin d’un médecin espéce de malade allez vous faire soigner par la police.

  • Tangi MORDELET dit :

    très instructif !!!

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