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Avez-vous remarqué, comme moi, que ce sujet rendait… bête (et parfois méchant !).

Chez votre médecin, dans les médias, autour de vous : dès que le thème des intolérances alimentaires est abordé, des gens parfaitement raisonnables ne peuvent s’empêcher de dire n’importe quoi.

Le « sans gluten » ? Selon certains journalistes, ce serait… un « effet de mode ». Vous avez bien lu, un effet de mode… alors que c’est un régime extrêmement difficile à tenir !

Ne suffit-il pas d’un minimum de bon sens pour comprendre que ceux qui arrêtent le gluten n’ont pas décidé sur un coup de tête de se compliquer horriblement la vie… simplement parce qu’ils ont envie « d’être à la mode » ?

Ensuite, il y a des soi-disant « experts », qui vous disent que les régimes restrictifs sont « dangereux ». Attention, disent-ils, si vous supprimez des aliments comme le lait ou le gluten, vous pourriez avoir de graves carences alimentaires !

Là encore, c’est une idée bien étrange, quand on sait que beaucoup d’Asiatiques ne consomment ni l’un ni l’autre depuis des lustres et se portent plutôt mieux que les Occidentaux !

Êtes-vous touché vous aussi, sans le savoir ?

Certains médecins vont jusqu’à vous dire que l’intolérance alimentaire, « cela n’existe pas » ! Pour eux, soit on est allergique à un aliment, soit on peut le consommer sans problème.

L’allergie dont ils parlent, c’est l’allergie classique, de « type I », qui produit une réaction brutale et intense en quelques secondes (on connaît tous quelqu’un qui risque de se retrouver à l’hôpital s’il a le malheur d’avaler quelques grammes de crevettes).

Mais ils devraient relire leurs cours de médecine : il existe également une autre forme d’allergie, de « type III » !

C’est cela, l’intolérance alimentaire (appelé aussi hypersensibilité), et cela existe ! Le problème est qu’elle est moins connue et beaucoup plus difficile à détecter, car les symptômes peuvent apparaître longtemps après avoir avalé l’aliment non toléré (jusqu’à 3 jours plus tard !).

Résultat : les patients sont souvent laissés à eux-mêmes, seuls avec leurs souffrances physiques et psychologiques.  « Tout ça, c’est dans votre tête », leur dit-on.

Ce mépris est d’autant plus dramatique que le nombre de personnes intolérantes à certains aliments augmente de façon stupéfiante. Peut-être êtes-vous vous-même touché, sans le savoir !

Vos migraines, vos problèmes de peau, votre fatigue chronique, vos infections ORL à répétition vos troubles digestifs… Tout ceci pourrait être dû à des aliments qui ne vous conviennent pas… et qu’il suffirait de ne plus avaler pour aller mieux !

Pourquoi en suis-je autant persuadé, alors qu’on manque encore de recul sur le plan scientifique ?

Mais parce qu’il suffit d’avoir un minimum de jugeote pour comprendre que l’épidémie actuelle d’intolérances ne peut pas être une hallucination collective !

Regardez par exemple ce qui est arrivé à Gérard :

Intolérant aux œufs, à la tomate et au saumon…

Quand Gérard vient consulter le Dr Roger Mussi, spécialiste des intolérances alimentaires, il a déjà fait d’innombrables analyses médicales et consulté de nombreux médecins et nutritionnistes.

Mais rien n’y fait : il souffre toujours de grande fatigue, de ballonnements intestinaux, de flatulences, de diarrhées et de constipation et de douleurs abdominales. On lui a même diagnostiqué une « colopathie fonctionnelle », une maladie chronique du gros intestin.

Le Dr Mussi lui fait alors effectuer un test spécifique. Les résultats tombent, Gérard serait intolérant à de nombreux aliments, dont les œufs, le saumon, les tomates, le lapin et le citron.

Sans trop y croire, Gérard se décide alors à supprimer temporairement tous ces aliments de son alimentation… et l’extraordinaire se produit.

Le Dr Mussi raconte la suite : [1]

« Gérard m’annonce qu’il se sent en pleine forme, pratique de nouveau des activités physiques ; disparus, également, ses problèmes digestifs ! En outre, il a perdu 9 kg en deux mois et me signale une baisse de son cholestérol, qu’il vient de faire contrôler »

Évidemment, un seul exemple ne prouve rien. Mais on trouve partout des témoignages de guérison extraordinaire de ce type !

Un nombre stupéfiant de témoignages de patients et de thérapeutes

Dans son excellent livre sur les intolérances alimentaires, le Dr Mussi raconte l’histoire de nombreux patients qui souffraient de tous les maux (migraines, douleurs articulaires, fatigue, etc.) … jusqu’à ce qu’ils arrêtent de manger certains aliments.

Au total, la santé de plusieurs centaines de ses patients se serait nettement améliorée grâce à l’exclusion de certains aliments.

Faut-il le croire ? Oui, parce qu’il n’est pas le seul dans ce cas, loin de là !

Des médecins que je connais personnellement, comme l’excellent Dr Eric Ménat, qui collabore à la revue Santé Corps Esprit, témoignent des mêmes réussites.

Et si vous allez sur Internet, vous trouvez d’innombrables témoignages personnels de guérisons, tous plus étonnants les uns que les autres.

N’hésitez pas à visionner cette interview passionnante de Florence Arnaud, une mère de famille qui a bouleversé sa cuisine… lorsqu’elle s’est rendue compte que son mari et sa fille de 10 ans souffraient d’intolérances alimentaires.

Sa fille avait régulièrement des otites, bronchites, ainsi que de violentes migraines. Son mari, lui, était atteint de psoriasis, d’asthme et d’apnée du sommeil.

De simples changements alimentaires ont permis à son mari d’aller mieux… mais c’est l’état de sa fille qui a changé de façon spectaculaire : elle a immédiatement retrouvé une forme resplendissante !

Et pourtant, ce n’est vraiment pas par plaisir que cette petite fille s’est mise à arrêter le lait, le gluten et les œufs (entre autres). Et cela a été un véritable casse-tête pour sa maman au départ de cuisiner sans ces ingrédients ! Mais les résultats étaient tellement flagrants qu’elles ont tenu bon !

Vous me connaissez, j’ai un esprit scientifique, et je suis parfaitement conscient que chacune de ces histoires, prise isolément, ne signifie rien.

Mais lorsqu’elles sont aussi nombreuses et qu’elles vont toutes dans le même sens, elles doivent commencer à être prises au sérieux. La science n’exclut pas le bon sens !

Il y a simplement un « mystère » à élucider : si les intolérances ne sont pas un « effet de mode », comment se fait-il qu’elles soient aussi fréquentes aujourd’hui, alors qu’elles étaient rares il y a 50 ans ?

La raison est en réalité très simple à comprendre.

Une attaque sans précédent contre notre flore intestinale

Voici quelques éléments de notre mode de vie qui ont radicalement changé en 50 ans :

  • La consommation d’antibiotiques, notamment chez la femme enceinte ou chez l’enfant ;
  • Les accouchements par césarienne… et l’absence d’allaitement de l’enfant ;
  • La consommation d’anti-inflammatoires (ibuprofen, etc.) ou d’aspirine ;
  • L’explosion des toxiques et polluants du quotidien (pesticides, Bisphenol A, etc.) ;
  • La consommation de blé moderne, beaucoup plus riche en gluten que le blé ancien, dans le pain, les pâtes ou les biscuits ;
  • L’ingestion exponentielle de sucre et de fructose ajouté, ainsi que d’additifs alimentaires chimiques ;
  • Sans oublier l’épidémie de stress chronique.

En apparence, ces changements n’ont rien à voir les uns avec les autres. Et pourtant, ils ont un terrible point commun.

Ils ont tous la particularité de dégrader très sévèrement l’état de votre flore intestinale, d’agresser la paroi de votre intestin, voire de modifier votre réponse immunitaire… ce qui fait le lit des allergies classiques… et des intolérances alimentaires !

Par exemple, les chercheurs de l’INRA ont montré en 2014 qu’il suffisait d’être exposé au bisphénol A (BPA) pendant la grossesse et l’allaitement pour développer une intolérance alimentaire à l’âge adulte, en l’occurrence à l’ovalbumine (protéine du blanc d’œuf)! [2]

Inutile de vous dire qu’il n’y avait pas de bisphénol A dans les biberons des années 1950 !

Inflammation, perméabilité, dysbiose : la triade infernale

Au total, l’hypothèse la plus probable est que les intolérances alimentaires proviennent de l’interaction de trois phénomènes « irritants » pour votre intestin :

  • Un déséquilibre de la flore intestinale (dysbiose) – notamment provoqué par des antibiotiques à répétition, un excès de sucre ou… de stress ;
  • Un intestin « troué », perméable – notamment sous l’influence des protéines du gluten, qui agressent la paroi intestinale ;
  • Et une inflammation chronique de l’intestin, aggravée par l’ingestion d’irritants : toxines chimiques ou… aliments qu’on ne tolère plus.

Comme la poule et l’œuf, il est difficile de savoir « qui a commencé ». Mais ce qui est sûr, c’est que ces trois phénomènes s’aggravent mutuellement.

Résultat : votre intestin laisse passer dans sa muqueuse certaines protéines non digérées (qui n’ont rien à faire là !), ce qui provoque une réponse exagérée de votre système immunitaire,

Et voilà comment des aliments banals peuvent déclencher une intolérance (ou « hypersensibilité ») qui suscite de nombreux symptômes désagréables.

Certes, il faudra encore des années pour que les scientifiques fassent toute la lumière sur ces mécanismes.

Mais on en sait suffisamment pour aider ceux qui souffrent ! Car le premier « traitement » pour calmer ce cercle vicieux est simple et gratuit : exclure les aliments qui posent problème !

Et la meilleure preuve que cela fonctionne, ce sont les résultats très prometteurs obtenus par les patients lorsqu’ils modifient leur régime en fonction des résultats de tests de dépistage d’intolérance alimentaire.

Dépistage d’intolérance alimentaire : précieux indices ou « médecine magique » ?

Là encore, ces tests sont violemment contestés, voire ridiculisés.

Voici par quel dessin le magazine Que Choisir a illustré il y a quelques années son dossier intitulé « Intolérances alimentaires : des tests douteux » :

« Alors qu’une jeune femme, face à un écran d’ordinateur sur lequel « Tests intolérances alimentaires » est affiché, s’exclame, contente : « Yes ! Je vais enfin savoir ce qui me donne mal au ventre le matin ! », une autre, ricanante, regard en coin, plongée dans un livre, lui répond « ça m’a pas coûté 500 € pour savoir que c’est à cause de ta mère qui appelle de bonne heure ! »[3]

Et il est vrai qu’ils ont de nombreux défauts, à commencer par leur prix très élevé.

J’ai moi-même été longtemps sceptique sur leur utilité, à cause de leurs limitations sur le plan scientifique.

D’abord, ils n’ont fait l’objet d’aucune validation internationale – mais en même temps, personne ne se bouscule au portillon pour réaliser les études qui permettraient de le faire.

Ensuite, ils ne sont clairement pas fiables à 100 %, loin de là.

Par exemple, lorsqu’ils repèrent une intolérance à la tomate, cela signifie que votre système immunitaire réagit… au type de tomate qu’ils ont utilisé pour faire le test. Mais la tomate a beaucoup de variétés différentes ! Il se pourrait même que votre organisme réagisse différemment selon qu’elle est consommée crue ou cuite !

Au total, il est clair qu’il ne faut pas prendre le résultat de ces tests au pied de la lettre. Mieux vaut être accompagné par un thérapeute qui a l’habitude de les prescrire et de les décrypter.

Mais une chose est sûre : même s’ils ne sont pas totalement fiables, il est manifeste qu’ils ont aidé des milliers de patients à travers le monde !

Là encore, il me suffit d’observer le retour d’expérience très positif des thérapeutes de confiance qui les utilisent… ainsi que les témoignages dithyrambiques de certains patients sur Internet.

Et si cela ne parvient pas à vous convaincre (ce qui serait compréhensible), sachez que les études scientifiques qui ont été réalisées sont très encourageantes !

Oui, il existe des études scientifiques probantes !

On possède très peu d’études de bonne qualité, mais celles qui existent ont donné de bons résultats :

  • Contre l’intestin irritable : une étude contrôlée en double aveugle a montré une réduction des symptômes de 26 % après 12 semaines d’exclusion des aliments identifiés comme facteur d’intolérance par le test sanguin[4]; lorsque les aliments ont été réintroduits, les symptômes négatifs ont recommencé ;
  • Contre les migraines : une autre étude de même qualité méthodologique a montré une réduction significative du nombre de migraines grâce à l’exclusion des aliments non tolérés[5];
  • Et contre l’obésité : un groupe de 40 patients en surpoids qui a exclu des aliments pendant 6 mois sur la base de tests sanguins a perdu plus de poids que le groupe de contrôle. [6]

Ces résultats positifs, alliés aux témoignages de patients me suffisent à penser que ces tests peuvent réellement aider.

Mais ne cassez pas tout de suite votre tirelire si vous avez des problèmes de santé inexpliqués (douleurs digestives, migraines, eczéma, psoriasis, infections à répétition, fatigue, etc.).

Voici ce que je vous conseille d’abord de faire par vous-même :

Ce qu’il faut essayer avant de faire des tests !

À mon avis, tout le monde devrait essayer un régime « sans lait et sans gluten » pendant plusieurs semaines, et observer les réactions sur son organisme.

Non seulement parce que ce sont les aliments qui suscitent le plus d’intolérance… mais aussi parce qu’ils ont deux autres énormes défauts.

D’abord, ils sont globalement mauvais pour la santé en eux-mêmes, donc vous ne perdez absolument rien à les éliminer, à la différence des œufs et des amandes, qui sont aussi des sources fréquentes d’intolérance.

Surtout, le lait et le gluten augmentent fortement votre risque de développer des intolérances alimentaires à d’autres aliments : le gluten car il accroît la porosité de votre paroi intestinale (chez tout le monde), et le lait car il fragilise la flore intestinale de tous ceux n’ont pas l’enzyme qui permet de bien digérer le lactose (c’est le cas de 40 % des Français).

En supprimant le lait et le gluten, vous faites donc d’une pierre trois coups !

Mais ne vous arrêtez pas là. Réduisez également tous les autres aliments qui fragilisent votre flore intestinale : le sucre, le fructose ajouté, ainsi que les produits industriels riches en additifs chimiques. Et n’oubliez pas de stimuler les bonnes bactéries de votre microbiote en ingérant plus de légumes, ainsi que des aliments fermentés (probiotiques).

Si tout ceci ne suffit pas pour aller mieux, alors un test sanguin pourrait vous aider.

Comment pourriez-vous deviner, sans cela, que des aliments comme la vanille, l’agar-agar, la moutarde ou l’écrevisse (pour citer les plus courants) sont ceux qui vous empoisonnent l’existence ?

Les retirer de votre alimentation, au moins temporairement, sera alors le seul moyen de limiter l’inflammation de votre intestin, et lui permettre de se remettre peu à peu. Dans certains cas, vous pourrez les réintroduire à nouveau, sans problème, quelques mois plus tard !

Et vous, avez-vous vécu une amélioration spectaculaire ?

J’espère que tout ceci pourra vous aider, mais vous devez savoir que je n’ai fait qu’effleurer ce sujet passionnant mais complexe. Je ne vous ai même pas parlé des autres formes d’intolérances, comme celles aux aliments contenant de l’histamine, ou celles au FODMAPs (des sucres contenus dans beaucoup de fruits et légumes).

Si vous souhaitez en savoir plus, je vous recommande vivement la lecture du dossier complet du Dr Ménat sur les intolérances alimentaires. Pour avoir soigné des centaines de patients concernés, le Dr Ménat est un des médecins les mieux placés pour vous conseiller, notamment sur le type de test sanguin à réaliser (certains sont beaucoup plus fiables que d’autres !).

Mais je compte aussi sur vous pour faire progresser la connaissance sur ce sujet.

Si vous avez connu une amélioration de santé spectaculaire grâce à l’exclusion de certains aliments, j’aimerais vraiment que vous partagiez votre histoire sur cette page, en commentaire de cet article.

Et si vous avez fait des tests sanguins de dépistage de ces intolérances, je suis aussi particulièrement intéressé de savoir ce que cela a donné pour vous. N’hésitez pas à partager votre histoire ci-dessous !

Ensemble, nous pouvons aider énormément de personnes à aller mieux… des années avant que nos autorités de santé ne « valident » enfin ce que des thérapeutes et patients précurseurs ont découvert par eux-mêmes !

520 commentaires

  • ALMERAS Josiane dit :

    Bonjour,
    Je voulais simplement vous dire qu’en ce qui concerne le gluten , dans quelques années tout le monde sans exception sera intolérant. Pourquoi parce que non seulement le pain est fait avec du blé hybride qui contient donc beaucoup plus de gluten qu’il y a 50 ans mais les boulangers en rajoutent on en trouve même en paquet dans les magasins bio.
    De même rajouté dans les biscuits les viennoiseries, tout ce qui est fabriqué avec du blé et même d’autres produits où on se demande bien ce que vient faire le gluten dedans.
    Avant que les autorités réagissent il va sse passer bien du temps
    La solution quand tout le monde sera malade personne n’achètera plus de pain.
    Mais quel désastre.

  • labat liliane dit :

    J’ai eu tous les symptômes décrits avec des insomnies en plus. J’ai maigri de 10 kg en six mois avec une douloureuse inflammation du système digestif et la diarrhée aussitôt sortie de table. l’absence de gluten pendant 2 semaines puis sa réintroduction dans un seul repas a confirmé l’intolérance, idem pour le lait de vache. Je ne consomme plus ces 2 aliments. Je me suis soignée avec du gingembre et du curcuma dans tous les repas et le soir une tisane de curcuma. le pharmacien m’a proposé une cure de probiotiques ‘normafilus’ et des gouttes d’huiles essentielles de ravintsara et menthe poivrée sur un sucre. Je vais mieux et j’ai grossi. Je me permets de rares écarts en gluten, j’entretien la flore intestinale avec les légumes spécifiques poireaux endives… et j’utilise plus souvent le curcuma en cuisine et en tisane.

  • Charlos Rolande dit :

    Mon thérapeute m’a conseillé de supprimer le gluten et le lait de mon alimentation et depuis je me porte beaucoup mieux.

  • landy dit :

    merci. moi j’ai des gros problémes de neuropatie pieds et jambes qui brule et qui flanche plus de force jaurais tendance a espérer sur la medecine du moyen ages

  • Anne dit :

    Bonjour, tout d’abord merci pour vos articles que je lis avec passion et qui me confortent dans ma démarche de la recherche du « naturel »…
    J’ai aujourd’hui 67 ans et de toute ma vie je n’ai jamais bien digéré et puis sur les conseils d’une amie, j’ai fait le teste sanguin à 500 € il y a environ 5 ans, et il est vrai qu’il n’est pas tout à fait fiable. En effet, il a révélé que j’étais intolérante au gluten et j’ai donc arrêté le gluten. Au bout de quelques mois, même si j’avais une amélioration je n’étais quand même pas très bien et j’ai eu l’idée d’arrêter le lait. Finalement je pense que je suis plus intolérante au lait qu’au gluten car cette fois, j’ai trouvé une vraie différence. Il reste que je suis toujours très fragile et ballonnée mais pour cela je n’ai pas encore trouvé de solution. Si quelqu’un en a une je suis preneuse….
    Bien cordialement

  • meyomesse dit :

    bonjour je vous remercie de vos conseilles car j’ai eu un problème du déséquilibre du flore intestinal a pres une opération des fibromes pendant 5 mois javais des ballonnement ;gaze douleur abdominal jai lut vos conseilles je prends compléments alimentaire sa va mieux

  • gelmini dit :

    j’ai une perte d’equilibre qui jusqu’à present on n’a pas put étre dianostiqué par plusieurs neurologue (sa m’arrive souvant de tombée) aussi je vous demande si de votre coté vous avez un reméde merci d’avence

    • meyomesse dit :

      bonjour gelmini moi aussi javais trop mal au ventre on a pas put diagnostiquer partout jai lut les conseilles ici jai supprimer le lait et cest derivés alors sa dépend se qui ne va pas avec vous prendre les compléments alimentaire probiotique et prebiotique pour moi sa commence allez mieux depuis une semaine que je prend

  • Chivet dit :

    Bonjour,
    En vous lisant ,j’ai eu l’impression de lire mon histoire.
    À 8 ans : parathyphoïde. À 11 ans : hépatite A. À 26 ans : appendiccectomie. En toile de fond « crise de foie…sur crise de foie » .Puis on appelé ça  » colopathie fonctionnelle » ,intestin irritable ,diverticulite , insuffisance pancréatique , hernie hiatale , RGO … et j’en passe… Jusqu’à :  » Vous rentrez en clinique dans deux jours pour couper » . C’était il y a 16 mois , lors d’une gastro-duodéno-scopie  »
    J’ai choisi l’option  » prendre un peu de recul  » et j’ai consulté une naturopathe de bonne réputation. Elle a réorganisé entièrement mon alimentation. Je m’y suis conformée avec détermination et maintenant ça me semble FACILE.
    Lactose,gluten,mélanges inopportuns et nourriture industrielle bannis. Produits de la vache à minima. Préférence fruits et légumes BIO. Vin rouge BIO limité. Tisanes BIO. Quelques compléments alimentaires.
    Résultat rapide ,spectaculaire et DURABLE. Plus jamais de problème, plus aucun médicament, un état que je n’avais jamais connu. J’aurai bientôt 77 ans.
    Voilà mon expérience.
    Merci à vous pour votre excellent travail. Nous avons besoin de vous.
    Cordialement.

  • Beatrice Rauh dit :

    Ma petite fille de 7ans a était dépistée intolérante au gluten suite a un teste sanguin depuis elle souffre moin du ventre et croyait bien que pour elle se n est pas un effet de mode et de plus quand on voit le prix des aliments sans gluten cela fait reflechir car ce n’est pas avec les remboursements de la s.s que l’on va loin et de plus elle est diabétique

  • Céline MAGEN dit :

    En ce qui me concerne, j’ai de multiples intolérances alimentaires et j’ai fait 4 test immupro 300 à 1 an d’intervalle à chaque fois.
    J’allais très mal et de plus en plus mal : digestion difficile, fausses diarrhées chroniques, 12-15 fois à la selle par jour, douleurs au ventre, stress à outrance, crises d’angoisse, fatigue générale (endormissements non contrôlés partout et tout le temps), etc.
    L’horreur. J’ai galéré, longtemps avant de trouver une réponse et peut-être, je l’espère LA solution. On verra sur le long terme.
    Après des années de recherche et de visites chez différents spécialistes, et de nombreuses analyses plus tard me disant que j’allais moyennement bien mais que je n’avais rien de grave, j’ai entendu parler d’intolérances alimentaires. J’ai débuter toute seule et puis j’ai consulté Roger MUSSI qui a refait le point et m’a guidé dans la méthode. 4 ans après le premier régime, et un changement de vie professionnel après, je vais enfin mieux même s’il me reste encore du chemin à parcourir pour aller vraiment bien.
    J’ai 36 ans et j’ai galéré pendant 15 ans environ. Je pense avoir toujours eu mal au ventre, d’aussi loin que puisse aller mes souvenirs.
    Sur la première analyse, j’avais une trentaine d’intolérances alimentaire et une infection au candida albicans. Sur la seconde, quelques aliments avaient cédé la place à d’autre mais globalement les plus réactifs étaient toujours présents. Je suis monté à 63 intolérances alimentaires de type 3 en 2016 et enfin sur ma dernière analyse je suis redescendue à 15. Je suis toujours intolérante à la gomme de guar, la vanille, et d’autres. Curieusement, en ce qui me concerne, je n’ai pas de souci avec les œufs, le lait, le gluten. Cela dit, je continue de limiter au maximum le gluten et le lait de vache.
    Dans ma famille, nous sommes plusieurs à avoir des intolérances alimentaires mais les symptômes sont tellement variés d’une personne à une autre (digestives pour moi, fatigue et peau pour ma sœur, urticaire et dépression pour ma mère). Par ailleurs, le test d’éviction est impossible lorsqu’on souffre constamment ou que l’on a plusieurs intolérances avec des aliments qui sont présents un peu partout (gluten, lactose, sulfites). Seuls les tests permettent de savoir ce qui nous est néfaste.
    Je les recommande vivement, et je recommande aussi à ceux qui ont de gros souci de se faire aider car tout seul c’est vraiment démoralisant. Dans tous les cas, la « guérison » est longue mais vaut le coup !
    Céline M.

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