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Avez-vous remarqué, comme moi, que ce sujet rendait… bête (et parfois méchant !).

Chez votre médecin, dans les médias, autour de vous : dès que le thème des intolérances alimentaires est abordé, des gens parfaitement raisonnables ne peuvent s’empêcher de dire n’importe quoi.

Le « sans gluten » ? Selon certains journalistes, ce serait… un « effet de mode ». Vous avez bien lu, un effet de mode… alors que c’est un régime extrêmement difficile à tenir !

Ne suffit-il pas d’un minimum de bon sens pour comprendre que ceux qui arrêtent le gluten n’ont pas décidé sur un coup de tête de se compliquer horriblement la vie… simplement parce qu’ils ont envie « d’être à la mode » ?

Ensuite, il y a des soi-disant « experts », qui vous disent que les régimes restrictifs sont « dangereux ». Attention, disent-ils, si vous supprimez des aliments comme le lait ou le gluten, vous pourriez avoir de graves carences alimentaires !

Là encore, c’est une idée bien étrange, quand on sait que beaucoup d’Asiatiques ne consomment ni l’un ni l’autre depuis des lustres et se portent plutôt mieux que les Occidentaux !

Êtes-vous touché vous aussi, sans le savoir ?

Certains médecins vont jusqu’à vous dire que l’intolérance alimentaire, « cela n’existe pas » ! Pour eux, soit on est allergique à un aliment, soit on peut le consommer sans problème.

L’allergie dont ils parlent, c’est l’allergie classique, de « type I », qui produit une réaction brutale et intense en quelques secondes (on connaît tous quelqu’un qui risque de se retrouver à l’hôpital s’il a le malheur d’avaler quelques grammes de crevettes).

Mais ils devraient relire leurs cours de médecine : il existe également une autre forme d’allergie, de « type III » !

C’est cela, l’intolérance alimentaire (appelé aussi hypersensibilité), et cela existe ! Le problème est qu’elle est moins connue et beaucoup plus difficile à détecter, car les symptômes peuvent apparaître longtemps après avoir avalé l’aliment non toléré (jusqu’à 3 jours plus tard !).

Résultat : les patients sont souvent laissés à eux-mêmes, seuls avec leurs souffrances physiques et psychologiques.  « Tout ça, c’est dans votre tête », leur dit-on.

Ce mépris est d’autant plus dramatique que le nombre de personnes intolérantes à certains aliments augmente de façon stupéfiante. Peut-être êtes-vous vous-même touché, sans le savoir !

Vos migraines, vos problèmes de peau, votre fatigue chronique, vos infections ORL à répétition vos troubles digestifs… Tout ceci pourrait être dû à des aliments qui ne vous conviennent pas… et qu’il suffirait de ne plus avaler pour aller mieux !

Pourquoi en suis-je autant persuadé, alors qu’on manque encore de recul sur le plan scientifique ?

Mais parce qu’il suffit d’avoir un minimum de jugeote pour comprendre que l’épidémie actuelle d’intolérances ne peut pas être une hallucination collective !

Regardez par exemple ce qui est arrivé à Gérard :

Intolérant aux œufs, à la tomate et au saumon…

Quand Gérard vient consulter le Dr Roger Mussi, spécialiste des intolérances alimentaires, il a déjà fait d’innombrables analyses médicales et consulté de nombreux médecins et nutritionnistes.

Mais rien n’y fait : il souffre toujours de grande fatigue, de ballonnements intestinaux, de flatulences, de diarrhées et de constipation et de douleurs abdominales. On lui a même diagnostiqué une « colopathie fonctionnelle », une maladie chronique du gros intestin.

Le Dr Mussi lui fait alors effectuer un test spécifique. Les résultats tombent, Gérard serait intolérant à de nombreux aliments, dont les œufs, le saumon, les tomates, le lapin et le citron.

Sans trop y croire, Gérard se décide alors à supprimer temporairement tous ces aliments de son alimentation… et l’extraordinaire se produit.

Le Dr Mussi raconte la suite : [1]

« Gérard m’annonce qu’il se sent en pleine forme, pratique de nouveau des activités physiques ; disparus, également, ses problèmes digestifs ! En outre, il a perdu 9 kg en deux mois et me signale une baisse de son cholestérol, qu’il vient de faire contrôler »

Évidemment, un seul exemple ne prouve rien. Mais on trouve partout des témoignages de guérison extraordinaire de ce type !

Un nombre stupéfiant de témoignages de patients et de thérapeutes

Dans son excellent livre sur les intolérances alimentaires, le Dr Mussi raconte l’histoire de nombreux patients qui souffraient de tous les maux (migraines, douleurs articulaires, fatigue, etc.) … jusqu’à ce qu’ils arrêtent de manger certains aliments.

Au total, la santé de plusieurs centaines de ses patients se serait nettement améliorée grâce à l’exclusion de certains aliments.

Faut-il le croire ? Oui, parce qu’il n’est pas le seul dans ce cas, loin de là !

Des médecins que je connais personnellement, comme l’excellent Dr Eric Ménat, qui collabore à la revue Santé Corps Esprit, témoignent des mêmes réussites.

Et si vous allez sur Internet, vous trouvez d’innombrables témoignages personnels de guérisons, tous plus étonnants les uns que les autres.

N’hésitez pas à visionner cette interview passionnante de Florence Arnaud, une mère de famille qui a bouleversé sa cuisine… lorsqu’elle s’est rendue compte que son mari et sa fille de 10 ans souffraient d’intolérances alimentaires.

Sa fille avait régulièrement des otites, bronchites, ainsi que de violentes migraines. Son mari, lui, était atteint de psoriasis, d’asthme et d’apnée du sommeil.

De simples changements alimentaires ont permis à son mari d’aller mieux… mais c’est l’état de sa fille qui a changé de façon spectaculaire : elle a immédiatement retrouvé une forme resplendissante !

Et pourtant, ce n’est vraiment pas par plaisir que cette petite fille s’est mise à arrêter le lait, le gluten et les œufs (entre autres). Et cela a été un véritable casse-tête pour sa maman au départ de cuisiner sans ces ingrédients ! Mais les résultats étaient tellement flagrants qu’elles ont tenu bon !

Vous me connaissez, j’ai un esprit scientifique, et je suis parfaitement conscient que chacune de ces histoires, prise isolément, ne signifie rien.

Mais lorsqu’elles sont aussi nombreuses et qu’elles vont toutes dans le même sens, elles doivent commencer à être prises au sérieux. La science n’exclut pas le bon sens !

Il y a simplement un « mystère » à élucider : si les intolérances ne sont pas un « effet de mode », comment se fait-il qu’elles soient aussi fréquentes aujourd’hui, alors qu’elles étaient rares il y a 50 ans ?

La raison est en réalité très simple à comprendre.

Une attaque sans précédent contre notre flore intestinale

Voici quelques éléments de notre mode de vie qui ont radicalement changé en 50 ans :

  • La consommation d’antibiotiques, notamment chez la femme enceinte ou chez l’enfant ;
  • Les accouchements par césarienne… et l’absence d’allaitement de l’enfant ;
  • La consommation d’anti-inflammatoires (ibuprofen, etc.) ou d’aspirine ;
  • L’explosion des toxiques et polluants du quotidien (pesticides, Bisphenol A, etc.) ;
  • La consommation de blé moderne, beaucoup plus riche en gluten que le blé ancien, dans le pain, les pâtes ou les biscuits ;
  • L’ingestion exponentielle de sucre et de fructose ajouté, ainsi que d’additifs alimentaires chimiques ;
  • Sans oublier l’épidémie de stress chronique.

En apparence, ces changements n’ont rien à voir les uns avec les autres. Et pourtant, ils ont un terrible point commun.

Ils ont tous la particularité de dégrader très sévèrement l’état de votre flore intestinale, d’agresser la paroi de votre intestin, voire de modifier votre réponse immunitaire… ce qui fait le lit des allergies classiques… et des intolérances alimentaires !

Par exemple, les chercheurs de l’INRA ont montré en 2014 qu’il suffisait d’être exposé au bisphénol A (BPA) pendant la grossesse et l’allaitement pour développer une intolérance alimentaire à l’âge adulte, en l’occurrence à l’ovalbumine (protéine du blanc d’œuf)! [2]

Inutile de vous dire qu’il n’y avait pas de bisphénol A dans les biberons des années 1950 !

Inflammation, perméabilité, dysbiose : la triade infernale

Au total, l’hypothèse la plus probable est que les intolérances alimentaires proviennent de l’interaction de trois phénomènes « irritants » pour votre intestin :

  • Un déséquilibre de la flore intestinale (dysbiose) – notamment provoqué par des antibiotiques à répétition, un excès de sucre ou… de stress ;
  • Un intestin « troué », perméable – notamment sous l’influence des protéines du gluten, qui agressent la paroi intestinale ;
  • Et une inflammation chronique de l’intestin, aggravée par l’ingestion d’irritants : toxines chimiques ou… aliments qu’on ne tolère plus.

Comme la poule et l’œuf, il est difficile de savoir « qui a commencé ». Mais ce qui est sûr, c’est que ces trois phénomènes s’aggravent mutuellement.

Résultat : votre intestin laisse passer dans sa muqueuse certaines protéines non digérées (qui n’ont rien à faire là !), ce qui provoque une réponse exagérée de votre système immunitaire,

Et voilà comment des aliments banals peuvent déclencher une intolérance (ou « hypersensibilité ») qui suscite de nombreux symptômes désagréables.

Certes, il faudra encore des années pour que les scientifiques fassent toute la lumière sur ces mécanismes.

Mais on en sait suffisamment pour aider ceux qui souffrent ! Car le premier « traitement » pour calmer ce cercle vicieux est simple et gratuit : exclure les aliments qui posent problème !

Et la meilleure preuve que cela fonctionne, ce sont les résultats très prometteurs obtenus par les patients lorsqu’ils modifient leur régime en fonction des résultats de tests de dépistage d’intolérance alimentaire.

Dépistage d’intolérance alimentaire : précieux indices ou « médecine magique » ?

Là encore, ces tests sont violemment contestés, voire ridiculisés.

Voici par quel dessin le magazine Que Choisir a illustré il y a quelques années son dossier intitulé « Intolérances alimentaires : des tests douteux » :

« Alors qu’une jeune femme, face à un écran d’ordinateur sur lequel « Tests intolérances alimentaires » est affiché, s’exclame, contente : « Yes ! Je vais enfin savoir ce qui me donne mal au ventre le matin ! », une autre, ricanante, regard en coin, plongée dans un livre, lui répond « ça m’a pas coûté 500 € pour savoir que c’est à cause de ta mère qui appelle de bonne heure ! »[3]

Et il est vrai qu’ils ont de nombreux défauts, à commencer par leur prix très élevé.

J’ai moi-même été longtemps sceptique sur leur utilité, à cause de leurs limitations sur le plan scientifique.

D’abord, ils n’ont fait l’objet d’aucune validation internationale – mais en même temps, personne ne se bouscule au portillon pour réaliser les études qui permettraient de le faire.

Ensuite, ils ne sont clairement pas fiables à 100 %, loin de là.

Par exemple, lorsqu’ils repèrent une intolérance à la tomate, cela signifie que votre système immunitaire réagit… au type de tomate qu’ils ont utilisé pour faire le test. Mais la tomate a beaucoup de variétés différentes ! Il se pourrait même que votre organisme réagisse différemment selon qu’elle est consommée crue ou cuite !

Au total, il est clair qu’il ne faut pas prendre le résultat de ces tests au pied de la lettre. Mieux vaut être accompagné par un thérapeute qui a l’habitude de les prescrire et de les décrypter.

Mais une chose est sûre : même s’ils ne sont pas totalement fiables, il est manifeste qu’ils ont aidé des milliers de patients à travers le monde !

Là encore, il me suffit d’observer le retour d’expérience très positif des thérapeutes de confiance qui les utilisent… ainsi que les témoignages dithyrambiques de certains patients sur Internet.

Et si cela ne parvient pas à vous convaincre (ce qui serait compréhensible), sachez que les études scientifiques qui ont été réalisées sont très encourageantes !

Oui, il existe des études scientifiques probantes !

On possède très peu d’études de bonne qualité, mais celles qui existent ont donné de bons résultats :

  • Contre l’intestin irritable : une étude contrôlée en double aveugle a montré une réduction des symptômes de 26 % après 12 semaines d’exclusion des aliments identifiés comme facteur d’intolérance par le test sanguin[4]; lorsque les aliments ont été réintroduits, les symptômes négatifs ont recommencé ;
  • Contre les migraines : une autre étude de même qualité méthodologique a montré une réduction significative du nombre de migraines grâce à l’exclusion des aliments non tolérés[5];
  • Et contre l’obésité : un groupe de 40 patients en surpoids qui a exclu des aliments pendant 6 mois sur la base de tests sanguins a perdu plus de poids que le groupe de contrôle. [6]

Ces résultats positifs, alliés aux témoignages de patients me suffisent à penser que ces tests peuvent réellement aider.

Mais ne cassez pas tout de suite votre tirelire si vous avez des problèmes de santé inexpliqués (douleurs digestives, migraines, eczéma, psoriasis, infections à répétition, fatigue, etc.).

Voici ce que je vous conseille d’abord de faire par vous-même :

Ce qu’il faut essayer avant de faire des tests !

À mon avis, tout le monde devrait essayer un régime « sans lait et sans gluten » pendant plusieurs semaines, et observer les réactions sur son organisme.

Non seulement parce que ce sont les aliments qui suscitent le plus d’intolérance… mais aussi parce qu’ils ont deux autres énormes défauts.

D’abord, ils sont globalement mauvais pour la santé en eux-mêmes, donc vous ne perdez absolument rien à les éliminer, à la différence des œufs et des amandes, qui sont aussi des sources fréquentes d’intolérance.

Surtout, le lait et le gluten augmentent fortement votre risque de développer des intolérances alimentaires à d’autres aliments : le gluten car il accroît la porosité de votre paroi intestinale (chez tout le monde), et le lait car il fragilise la flore intestinale de tous ceux n’ont pas l’enzyme qui permet de bien digérer le lactose (c’est le cas de 40 % des Français).

En supprimant le lait et le gluten, vous faites donc d’une pierre trois coups !

Mais ne vous arrêtez pas là. Réduisez également tous les autres aliments qui fragilisent votre flore intestinale : le sucre, le fructose ajouté, ainsi que les produits industriels riches en additifs chimiques. Et n’oubliez pas de stimuler les bonnes bactéries de votre microbiote en ingérant plus de légumes, ainsi que des aliments fermentés (probiotiques).

Si tout ceci ne suffit pas pour aller mieux, alors un test sanguin pourrait vous aider.

Comment pourriez-vous deviner, sans cela, que des aliments comme la vanille, l’agar-agar, la moutarde ou l’écrevisse (pour citer les plus courants) sont ceux qui vous empoisonnent l’existence ?

Les retirer de votre alimentation, au moins temporairement, sera alors le seul moyen de limiter l’inflammation de votre intestin, et lui permettre de se remettre peu à peu. Dans certains cas, vous pourrez les réintroduire à nouveau, sans problème, quelques mois plus tard !

Et vous, avez-vous vécu une amélioration spectaculaire ?

J’espère que tout ceci pourra vous aider, mais vous devez savoir que je n’ai fait qu’effleurer ce sujet passionnant mais complexe. Je ne vous ai même pas parlé des autres formes d’intolérances, comme celles aux aliments contenant de l’histamine, ou celles au FODMAPs (des sucres contenus dans beaucoup de fruits et légumes).

Si vous souhaitez en savoir plus, je vous recommande vivement la lecture du dossier complet du Dr Ménat sur les intolérances alimentaires. Pour avoir soigné des centaines de patients concernés, le Dr Ménat est un des médecins les mieux placés pour vous conseiller, notamment sur le type de test sanguin à réaliser (certains sont beaucoup plus fiables que d’autres !).

Mais je compte aussi sur vous pour faire progresser la connaissance sur ce sujet.

Si vous avez connu une amélioration de santé spectaculaire grâce à l’exclusion de certains aliments, j’aimerais vraiment que vous partagiez votre histoire sur cette page, en commentaire de cet article.

Et si vous avez fait des tests sanguins de dépistage de ces intolérances, je suis aussi particulièrement intéressé de savoir ce que cela a donné pour vous. N’hésitez pas à partager votre histoire ci-dessous !

Ensemble, nous pouvons aider énormément de personnes à aller mieux… des années avant que nos autorités de santé ne « valident » enfin ce que des thérapeutes et patients précurseurs ont découvert par eux-mêmes !

520 commentaires

  • Isabelle dit :

    Bonjour,
    Avant de faire des tests sanguins il est possible de détecter maintes intolérances alimentaires et autres allergies avec le système de bio-résonance !!

  • jubault dit :

    Bonjour, j’ai souffert d’inconfort digestifs, de flatulences et d’alternance de diarrhées et de constipation pendant de très nombreuses années (environ 30 ans). Donc pendant des années j’ai avalé bons nombres de médicaments qui en fait ne guérissait pas mais effaçaient tant bien que mal les symptômes. Quand j’osais parler de l’éventualité d’une intolérance alimentaire, que de ricanements provenant du monde médical! Après une conversation avec une intolérante au lactose me décrivant ses symptômes, cette similarité avec ce que je vivais m’a conduit à essayer d’arrêter les produits laitiers (grands mangeurs de fromage c’est dur). Je suis passé de 1litre de lait par jour à 0, les résultat ne se sont pas fait attendre, plus de ballonnement et beaucoup moins de flatulence et ce en moins de 2 semaines. Ce qui est étonnant c’est que les ricaneurs deviennent muets devant ces résultats et semblent ne pas savoir pourquoi ça a marché et pas la médecine moderne. Quand je pense que des milliards d’euros sont dépensés par notre sécurité sociale pour calmer les maux de ventre de nos concitoyens boulimiques d’une alimentation ultrachimique plébiscitée par nos gouvernants au nom de l’emploi.

  • Bigoin mjoe dit :

    Bonjour j aimerais avoir votre avis sur le complément alimentaire « reliv » merci
    Cordialement

  • Stymans dit :

    Bonjour,votre lettre est bien rédigée et pour moi je confirme que mon intolérance n’est pas tout à fait dompté.Cela fait 5ans que je joue avec de bons traitements homéopathiques et acuponcture : j ai une allergie aux fragrance mixe et allergènes croisés ,histamine et la molécule de parfum , donc sans gluten prudence avec les fruits rouges et les parfums de toutes sortes (parfumerie produits entretiens dans les rayons des grandes surfaces je passe en apnée de même dans rayons de bougies parfumées) voilà pas toujours facile.Le sans gluten fut strict au début car tout ensemble fesai beaucoup,j ai perdu 12 kilos en une année et demi (68 à 56) pour 1m55.

  • LEBRETON dit :

    VRAIMENT GENIAL!!!!
    QUAND PARLEREREZ VOUS DES GENS QUI VEULENT SORTIR DE L’ANGOISSE LA DEPRESSION….

  • Breuils dit :

    Bonjour. Moi. Aussi je me joints a vous
    Depuis quelques années. Je rentre en urgence a l hopital après avoir mangé
    1. Foix gras
    2 nutella
    3 chocolat. Suivis de jus d orange
    4. Jus d orange.
    Ce sont des vomissements. Avec des pertes de connaissances
    Je ressort de l hopital. Sans savoir ce que j ai eu
    Donc. Plus de chocolat. Plus d orange plus de Foix gras
    Ou va t on. Merci. D en savoir plus sylvana

  • Florent dit :

    Bonjour, Moi aussi j’ai fait la méthode JMV mais je ne suis pas guéri à 100% mais ca va beaucoup mieux et surtout je peux remanger du gluten parfois sans catastrophe ?
    Je mange sans sucre le plus possible sauf cas exceptionnels mais je ne suis plus dépendant du sucre ..!!

  • CHAUMET dit :

    Bonjour, on m’a détecté une intolérance à la vitamine C qui m’empêchait de manger des fruits et légumes crus depuis 8 ans, mais grâce à la méthode JMV utilisée on m’a retiré l’intolérance et je peux à nouveau manger ce que je veux. Donc je ne suis pas à 100% d’accord avec votre article, des méthodes énergétiques permettent non seulement de détecter mais d’enlever les intolérances et c’est merveilleux.

  • Laurence dit :

    Pour avoir fait des tests d’intolérances, ces tests ne sont valables qu’à un instant t.
    La méthode JMV®, naturelle et traitant les intolérances alimentaires m’a permis de déceler des intolérances à la vitamine C et au soufre qui sont liés aux ballonnements et aux inflammations.
    Depuis je la pratique en tant que thérapeute sur Paris 15ème.

  • Michel dit :

    Bonjour, Mon « coup de gueule »… Etant personnellement concerné avec une prise de poids de 16 kg en mangeant peu, des ballonnements intenses et de violentes douleurs abdominales, des cauchemars récurrents de nuit dus à mes non-digestions QUE J’AI SUBIS DURANT PLUS DE 6 ANS et que mon ancien médecin déplorait en me voyant dans cet état, me déclarant : « il doit bien y avoir une solution ! » (merci Docteur !) et pour lesquels j’ai dû DEMANDER à mon nouveau médecin qu’on me fasse une gastro-coloscopie après laquelle le spécialiste m’a déclaré « qu’il n’y avait rien de méchant, juste les intestins poreux et que je revienne le voir dans 5 ans » (merci Docteur !), en fait, « syndrome du côlon irritable », et qu’après l’avoir revu trois mois plus tard, il m’a déclaré « que chaque cas est un cas particulier » (merci Docteur !)… je suis allé voir une diététicienne (enfin sérieuse) qui m’a demandé de manger 3 yaourts par jour pour apporter à mes intestins la flore qui leur est nécessaire et qu’ils ne produisent plus, avec des purées de légumes « de couleurs » (eh oui!) midi et soir, de supprimer tous les aliments qui fermentent (lapin, viandes rouges, féculents, fromages autres que pâtes pressées cuites de plus de 8 mois, et nombre d’aliments qui fermentent, les graisses, le sucre et les sucreries que j’avais déjà supprimés, les farines, pâtisseries, croissanteries, glaces, etc., surtout industriels (sauf très occasionnellement… un tel régime, si je m’y suis habitué maintenant, il n’est pas évident de s’y accoutumer durant les 6 premiers mois), ainsi que les produits industriels élaborés qui contiennent tous des conservateurs chimiques (regardez les étiquettes au dos… quand il y en a !)… et à ce sujet, mais que fait donc le Ministère de la Santé (auquel j’ai bien envie d’adresser ce témoignage) quand les plus grandes marques de fromages suppriment l’indication du « pourcentage de matières grasses sur extrait sec » que je croyais innocemment obligatoire, pour le remplacer par le « pourcentage de matières grasses sur poids total » qui ne veut absolument rien dire, et qui ferme les yeux sur ces additifs toxiques à long terme pour l’organisme, maintenant généralisés ???… On a le droit de s’interroger et il est peut-être temps de réagir !!!… Où est donc l’époque où Jean-Pierre COFFE nous faisait tant rire en nous disant « mais c’est d’la merde qu’ils vous font bouffer »… ce n’est pas là de la nostalgie, c’est à mon avis une réalité pour les vins et les fruits et légumes traités 16 fois durant leur maturation avec des fongicides, pesticides et autres insecticides, ainsi que pour produits transformés !… les aliments (et boissons) excellents au goût (il faut vendre !) mais hyper sucrés qui contiennent souvent du sel ajouté… et ceux salés qui contiennent du sucre ajouté (eh oui !), tous deux en tant que « rehausteurs de goût »… c’est vachement bon et on en achète tous !… (regardez les étiquettes… quand il y en a !), le pain bien blanc qu’on demande « parce qu’il est tellement bon », maintenant trop raffiné, fait dans toutes les boulangeries avec des farines industrielles, lui-même avec ajout de sel et de sucre (eh oui !)…
    J’ai pu enfin, après 6 mois de ce régime assez draconien, perdre 5 des 16 kilos qui m’avaient mis en surpoids avec les réels risques cardiaques qu’il provoque (voyez aux Etats-Unis le taux de mortalité par crises cardiaques des personnes hyper-obèses dues à la « malbouffe »), j’ai pu donc, enfin, diminuer de façon notable mes trop violentes douleurs abdominales et mes cauchemars nocturnes à répétition dus à mes non-digestions…
    Certes, je ne prétendrai pas que je suis totalement guéri, car le mal que m’ont fait les trop nombreux antibiotiques, anti-inflammatoires et anti-douleurs qui m’ont été trop souvent prescrits et pour lesquels j’interrogeais mon médecin qui me répondait « il n’y a rien de mauvais dans ce que je vous prescrit »… une liste, certaines fois de plus d’une page de médicaments !… (merci Docteur !), ainsi que les trop nombreux produits alimentaires industriels élaborés extrêmement nocifs à long terme pour l’organisme, que j’ai mangés trop longtemps, comme nous tous, en toute confiance… Le mal qui est fait est irréversible, mais mes trop nombreux et trop fréquents problèmes de santé ont enfin diminué d’environ 50 % avec un régime draconien, ce qui est déjà pas mal !… Une précision toutefois : j’ai aussi consulté, de ma propre initiative (merci Docteur !), le Chef de Service de gastro-hépato-entéro-cancérologie digestive du CHU de mon Département, un homme très compétent, qui a précisé, dans son compte-rendu, qu’il déconseille la suppression TOTALE du gluten et du lactose, précisant qu’un minimum est vital pour l’organisme (pains « paysans » complets par petites quantités… quand on en trouve encore… yaourts nature, etc.).
    Maintenant, le stress qui nous fait tant de mal dans notre société actuelle, où on nous rabâche depuis trop longtemps les oreilles avec le déficit de la Sécurité Sociale, c’est peut-être encore le plus difficile à combattre, et il serait peut-être temps que la HAS (Haute Autorité de Santé) et notre Ministère de la Santé étudient en priorité, si ce n’est le cas en ce moment, ceci dans notre propre intérêt et dans celui de de Sécurité Sociale.
    Je ne demande pas à qui que ce soit de cautionner ce que je viens d’écrire, j’espère seulement que mon témoignage permette aux lecteurs qui souffrent (beaucoup) de ces douloureux problèmes, non seulement physiologiquement mais aussi psychologiquement trouvent, dans les lignes qui précèdent, matière à réflexion qui les aide à réduire, plus rapidement que moi, les nombreux problèmes de santé irréversibles souvent liés à cette « malbouffe » qu’on nous vend fort chère dans de trop nombreux hypermarchés… Mais à ce sujet, que sont donc devenus nos petits commerçants de quartier qui s’attachaient à vendre de la qualité ???… ce n’est pas là non plus de la nostalgie, c’est, j’en suis convaincu, une vraie question…
    Il me semble qu’il fallait le dire, et quoi qu’il arrive, je signe et je persiste !

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