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Avez-vous remarqué, comme moi, que ce sujet rendait… bête (et parfois méchant !).

Chez votre médecin, dans les médias, autour de vous : dès que le thème des intolérances alimentaires est abordé, des gens parfaitement raisonnables ne peuvent s’empêcher de dire n’importe quoi.

Le « sans gluten » ? Selon certains journalistes, ce serait… un « effet de mode ». Vous avez bien lu, un effet de mode… alors que c’est un régime extrêmement difficile à tenir !

Ne suffit-il pas d’un minimum de bon sens pour comprendre que ceux qui arrêtent le gluten n’ont pas décidé sur un coup de tête de se compliquer horriblement la vie… simplement parce qu’ils ont envie « d’être à la mode » ?

Ensuite, il y a des soi-disant « experts », qui vous disent que les régimes restrictifs sont « dangereux ». Attention, disent-ils, si vous supprimez des aliments comme le lait ou le gluten, vous pourriez avoir de graves carences alimentaires !

Là encore, c’est une idée bien étrange, quand on sait que beaucoup d’Asiatiques ne consomment ni l’un ni l’autre depuis des lustres et se portent plutôt mieux que les Occidentaux !

Êtes-vous touché vous aussi, sans le savoir ?

Certains médecins vont jusqu’à vous dire que l’intolérance alimentaire, « cela n’existe pas » ! Pour eux, soit on est allergique à un aliment, soit on peut le consommer sans problème.

L’allergie dont ils parlent, c’est l’allergie classique, de « type I », qui produit une réaction brutale et intense en quelques secondes (on connaît tous quelqu’un qui risque de se retrouver à l’hôpital s’il a le malheur d’avaler quelques grammes de crevettes).

Mais ils devraient relire leurs cours de médecine : il existe également une autre forme d’allergie, de « type III » !

C’est cela, l’intolérance alimentaire (appelé aussi hypersensibilité), et cela existe ! Le problème est qu’elle est moins connue et beaucoup plus difficile à détecter, car les symptômes peuvent apparaître longtemps après avoir avalé l’aliment non toléré (jusqu’à 3 jours plus tard !).

Résultat : les patients sont souvent laissés à eux-mêmes, seuls avec leurs souffrances physiques et psychologiques.  « Tout ça, c’est dans votre tête », leur dit-on.

Ce mépris est d’autant plus dramatique que le nombre de personnes intolérantes à certains aliments augmente de façon stupéfiante. Peut-être êtes-vous vous-même touché, sans le savoir !

Vos migraines, vos problèmes de peau, votre fatigue chronique, vos infections ORL à répétition vos troubles digestifs… Tout ceci pourrait être dû à des aliments qui ne vous conviennent pas… et qu’il suffirait de ne plus avaler pour aller mieux !

Pourquoi en suis-je autant persuadé, alors qu’on manque encore de recul sur le plan scientifique ?

Mais parce qu’il suffit d’avoir un minimum de jugeote pour comprendre que l’épidémie actuelle d’intolérances ne peut pas être une hallucination collective !

Regardez par exemple ce qui est arrivé à Gérard :

Intolérant aux œufs, à la tomate et au saumon…

Quand Gérard vient consulter le Dr Roger Mussi, spécialiste des intolérances alimentaires, il a déjà fait d’innombrables analyses médicales et consulté de nombreux médecins et nutritionnistes.

Mais rien n’y fait : il souffre toujours de grande fatigue, de ballonnements intestinaux, de flatulences, de diarrhées et de constipation et de douleurs abdominales. On lui a même diagnostiqué une « colopathie fonctionnelle », une maladie chronique du gros intestin.

Le Dr Mussi lui fait alors effectuer un test spécifique. Les résultats tombent, Gérard serait intolérant à de nombreux aliments, dont les œufs, le saumon, les tomates, le lapin et le citron.

Sans trop y croire, Gérard se décide alors à supprimer temporairement tous ces aliments de son alimentation… et l’extraordinaire se produit.

Le Dr Mussi raconte la suite : [1]

« Gérard m’annonce qu’il se sent en pleine forme, pratique de nouveau des activités physiques ; disparus, également, ses problèmes digestifs ! En outre, il a perdu 9 kg en deux mois et me signale une baisse de son cholestérol, qu’il vient de faire contrôler »

Évidemment, un seul exemple ne prouve rien. Mais on trouve partout des témoignages de guérison extraordinaire de ce type !

Un nombre stupéfiant de témoignages de patients et de thérapeutes

Dans son excellent livre sur les intolérances alimentaires, le Dr Mussi raconte l’histoire de nombreux patients qui souffraient de tous les maux (migraines, douleurs articulaires, fatigue, etc.) … jusqu’à ce qu’ils arrêtent de manger certains aliments.

Au total, la santé de plusieurs centaines de ses patients se serait nettement améliorée grâce à l’exclusion de certains aliments.

Faut-il le croire ? Oui, parce qu’il n’est pas le seul dans ce cas, loin de là !

Des médecins que je connais personnellement, comme l’excellent Dr Eric Ménat, qui collabore à la revue Santé Corps Esprit, témoignent des mêmes réussites.

Et si vous allez sur Internet, vous trouvez d’innombrables témoignages personnels de guérisons, tous plus étonnants les uns que les autres.

N’hésitez pas à visionner cette interview passionnante de Florence Arnaud, une mère de famille qui a bouleversé sa cuisine… lorsqu’elle s’est rendue compte que son mari et sa fille de 10 ans souffraient d’intolérances alimentaires.

Sa fille avait régulièrement des otites, bronchites, ainsi que de violentes migraines. Son mari, lui, était atteint de psoriasis, d’asthme et d’apnée du sommeil.

De simples changements alimentaires ont permis à son mari d’aller mieux… mais c’est l’état de sa fille qui a changé de façon spectaculaire : elle a immédiatement retrouvé une forme resplendissante !

Et pourtant, ce n’est vraiment pas par plaisir que cette petite fille s’est mise à arrêter le lait, le gluten et les œufs (entre autres). Et cela a été un véritable casse-tête pour sa maman au départ de cuisiner sans ces ingrédients ! Mais les résultats étaient tellement flagrants qu’elles ont tenu bon !

Vous me connaissez, j’ai un esprit scientifique, et je suis parfaitement conscient que chacune de ces histoires, prise isolément, ne signifie rien.

Mais lorsqu’elles sont aussi nombreuses et qu’elles vont toutes dans le même sens, elles doivent commencer à être prises au sérieux. La science n’exclut pas le bon sens !

Il y a simplement un « mystère » à élucider : si les intolérances ne sont pas un « effet de mode », comment se fait-il qu’elles soient aussi fréquentes aujourd’hui, alors qu’elles étaient rares il y a 50 ans ?

La raison est en réalité très simple à comprendre.

Une attaque sans précédent contre notre flore intestinale

Voici quelques éléments de notre mode de vie qui ont radicalement changé en 50 ans :

  • La consommation d’antibiotiques, notamment chez la femme enceinte ou chez l’enfant ;
  • Les accouchements par césarienne… et l’absence d’allaitement de l’enfant ;
  • La consommation d’anti-inflammatoires (ibuprofen, etc.) ou d’aspirine ;
  • L’explosion des toxiques et polluants du quotidien (pesticides, Bisphenol A, etc.) ;
  • La consommation de blé moderne, beaucoup plus riche en gluten que le blé ancien, dans le pain, les pâtes ou les biscuits ;
  • L’ingestion exponentielle de sucre et de fructose ajouté, ainsi que d’additifs alimentaires chimiques ;
  • Sans oublier l’épidémie de stress chronique.

En apparence, ces changements n’ont rien à voir les uns avec les autres. Et pourtant, ils ont un terrible point commun.

Ils ont tous la particularité de dégrader très sévèrement l’état de votre flore intestinale, d’agresser la paroi de votre intestin, voire de modifier votre réponse immunitaire… ce qui fait le lit des allergies classiques… et des intolérances alimentaires !

Par exemple, les chercheurs de l’INRA ont montré en 2014 qu’il suffisait d’être exposé au bisphénol A (BPA) pendant la grossesse et l’allaitement pour développer une intolérance alimentaire à l’âge adulte, en l’occurrence à l’ovalbumine (protéine du blanc d’œuf)! [2]

Inutile de vous dire qu’il n’y avait pas de bisphénol A dans les biberons des années 1950 !

Inflammation, perméabilité, dysbiose : la triade infernale

Au total, l’hypothèse la plus probable est que les intolérances alimentaires proviennent de l’interaction de trois phénomènes « irritants » pour votre intestin :

  • Un déséquilibre de la flore intestinale (dysbiose) – notamment provoqué par des antibiotiques à répétition, un excès de sucre ou… de stress ;
  • Un intestin « troué », perméable – notamment sous l’influence des protéines du gluten, qui agressent la paroi intestinale ;
  • Et une inflammation chronique de l’intestin, aggravée par l’ingestion d’irritants : toxines chimiques ou… aliments qu’on ne tolère plus.

Comme la poule et l’œuf, il est difficile de savoir « qui a commencé ». Mais ce qui est sûr, c’est que ces trois phénomènes s’aggravent mutuellement.

Résultat : votre intestin laisse passer dans sa muqueuse certaines protéines non digérées (qui n’ont rien à faire là !), ce qui provoque une réponse exagérée de votre système immunitaire,

Et voilà comment des aliments banals peuvent déclencher une intolérance (ou « hypersensibilité ») qui suscite de nombreux symptômes désagréables.

Certes, il faudra encore des années pour que les scientifiques fassent toute la lumière sur ces mécanismes.

Mais on en sait suffisamment pour aider ceux qui souffrent ! Car le premier « traitement » pour calmer ce cercle vicieux est simple et gratuit : exclure les aliments qui posent problème !

Et la meilleure preuve que cela fonctionne, ce sont les résultats très prometteurs obtenus par les patients lorsqu’ils modifient leur régime en fonction des résultats de tests de dépistage d’intolérance alimentaire.

Dépistage d’intolérance alimentaire : précieux indices ou « médecine magique » ?

Là encore, ces tests sont violemment contestés, voire ridiculisés.

Voici par quel dessin le magazine Que Choisir a illustré il y a quelques années son dossier intitulé « Intolérances alimentaires : des tests douteux » :

« Alors qu’une jeune femme, face à un écran d’ordinateur sur lequel « Tests intolérances alimentaires » est affiché, s’exclame, contente : « Yes ! Je vais enfin savoir ce qui me donne mal au ventre le matin ! », une autre, ricanante, regard en coin, plongée dans un livre, lui répond « ça m’a pas coûté 500 € pour savoir que c’est à cause de ta mère qui appelle de bonne heure ! »[3]

Et il est vrai qu’ils ont de nombreux défauts, à commencer par leur prix très élevé.

J’ai moi-même été longtemps sceptique sur leur utilité, à cause de leurs limitations sur le plan scientifique.

D’abord, ils n’ont fait l’objet d’aucune validation internationale – mais en même temps, personne ne se bouscule au portillon pour réaliser les études qui permettraient de le faire.

Ensuite, ils ne sont clairement pas fiables à 100 %, loin de là.

Par exemple, lorsqu’ils repèrent une intolérance à la tomate, cela signifie que votre système immunitaire réagit… au type de tomate qu’ils ont utilisé pour faire le test. Mais la tomate a beaucoup de variétés différentes ! Il se pourrait même que votre organisme réagisse différemment selon qu’elle est consommée crue ou cuite !

Au total, il est clair qu’il ne faut pas prendre le résultat de ces tests au pied de la lettre. Mieux vaut être accompagné par un thérapeute qui a l’habitude de les prescrire et de les décrypter.

Mais une chose est sûre : même s’ils ne sont pas totalement fiables, il est manifeste qu’ils ont aidé des milliers de patients à travers le monde !

Là encore, il me suffit d’observer le retour d’expérience très positif des thérapeutes de confiance qui les utilisent… ainsi que les témoignages dithyrambiques de certains patients sur Internet.

Et si cela ne parvient pas à vous convaincre (ce qui serait compréhensible), sachez que les études scientifiques qui ont été réalisées sont très encourageantes !

Oui, il existe des études scientifiques probantes !

On possède très peu d’études de bonne qualité, mais celles qui existent ont donné de bons résultats :

  • Contre l’intestin irritable : une étude contrôlée en double aveugle a montré une réduction des symptômes de 26 % après 12 semaines d’exclusion des aliments identifiés comme facteur d’intolérance par le test sanguin[4]; lorsque les aliments ont été réintroduits, les symptômes négatifs ont recommencé ;
  • Contre les migraines : une autre étude de même qualité méthodologique a montré une réduction significative du nombre de migraines grâce à l’exclusion des aliments non tolérés[5];
  • Et contre l’obésité : un groupe de 40 patients en surpoids qui a exclu des aliments pendant 6 mois sur la base de tests sanguins a perdu plus de poids que le groupe de contrôle. [6]

Ces résultats positifs, alliés aux témoignages de patients me suffisent à penser que ces tests peuvent réellement aider.

Mais ne cassez pas tout de suite votre tirelire si vous avez des problèmes de santé inexpliqués (douleurs digestives, migraines, eczéma, psoriasis, infections à répétition, fatigue, etc.).

Voici ce que je vous conseille d’abord de faire par vous-même :

Ce qu’il faut essayer avant de faire des tests !

À mon avis, tout le monde devrait essayer un régime « sans lait et sans gluten » pendant plusieurs semaines, et observer les réactions sur son organisme.

Non seulement parce que ce sont les aliments qui suscitent le plus d’intolérance… mais aussi parce qu’ils ont deux autres énormes défauts.

D’abord, ils sont globalement mauvais pour la santé en eux-mêmes, donc vous ne perdez absolument rien à les éliminer, à la différence des œufs et des amandes, qui sont aussi des sources fréquentes d’intolérance.

Surtout, le lait et le gluten augmentent fortement votre risque de développer des intolérances alimentaires à d’autres aliments : le gluten car il accroît la porosité de votre paroi intestinale (chez tout le monde), et le lait car il fragilise la flore intestinale de tous ceux n’ont pas l’enzyme qui permet de bien digérer le lactose (c’est le cas de 40 % des Français).

En supprimant le lait et le gluten, vous faites donc d’une pierre trois coups !

Mais ne vous arrêtez pas là. Réduisez également tous les autres aliments qui fragilisent votre flore intestinale : le sucre, le fructose ajouté, ainsi que les produits industriels riches en additifs chimiques. Et n’oubliez pas de stimuler les bonnes bactéries de votre microbiote en ingérant plus de légumes, ainsi que des aliments fermentés (probiotiques).

Si tout ceci ne suffit pas pour aller mieux, alors un test sanguin pourrait vous aider.

Comment pourriez-vous deviner, sans cela, que des aliments comme la vanille, l’agar-agar, la moutarde ou l’écrevisse (pour citer les plus courants) sont ceux qui vous empoisonnent l’existence ?

Les retirer de votre alimentation, au moins temporairement, sera alors le seul moyen de limiter l’inflammation de votre intestin, et lui permettre de se remettre peu à peu. Dans certains cas, vous pourrez les réintroduire à nouveau, sans problème, quelques mois plus tard !

Et vous, avez-vous vécu une amélioration spectaculaire ?

J’espère que tout ceci pourra vous aider, mais vous devez savoir que je n’ai fait qu’effleurer ce sujet passionnant mais complexe. Je ne vous ai même pas parlé des autres formes d’intolérances, comme celles aux aliments contenant de l’histamine, ou celles au FODMAPs (des sucres contenus dans beaucoup de fruits et légumes).

Si vous souhaitez en savoir plus, je vous recommande vivement la lecture du dossier complet du Dr Ménat sur les intolérances alimentaires. Pour avoir soigné des centaines de patients concernés, le Dr Ménat est un des médecins les mieux placés pour vous conseiller, notamment sur le type de test sanguin à réaliser (certains sont beaucoup plus fiables que d’autres !).

Mais je compte aussi sur vous pour faire progresser la connaissance sur ce sujet.

Si vous avez connu une amélioration de santé spectaculaire grâce à l’exclusion de certains aliments, j’aimerais vraiment que vous partagiez votre histoire sur cette page, en commentaire de cet article.

Et si vous avez fait des tests sanguins de dépistage de ces intolérances, je suis aussi particulièrement intéressé de savoir ce que cela a donné pour vous. N’hésitez pas à partager votre histoire ci-dessous !

Ensemble, nous pouvons aider énormément de personnes à aller mieux… des années avant que nos autorités de santé ne « valident » enfin ce que des thérapeutes et patients précurseurs ont découvert par eux-mêmes !

520 commentaires

  • Nathalie dit :

    Bonjour,
    Il y a approximativement 4 ans j’ai effectué une prise de sang afin de détecter mes intolérances alimentaires dû à de gros problèmes ORL, d’articulation et de douleurs abdominales.
    Un panel de 220 aliments ont été testés. Coût de la prise de sang non remboursée, 230 €.
    Résultat assez bluffant. 35 intolérances dont 5 importantes. Je liste :
    Lait, tangerine, blanc d’oeuf, nectarine et petits pois.
    En parallèle j’ai consulté un iridologue qui a complété mes informations.
    Aujourd’hui, mes problèmes ORL ont complétement disparu. Mes articulations vont beaucoup mieux, encore quelques douleurs abdominales mais le plus gros est passé.
    Je privilégie les aliments à IG BAS et je prends régulièrement des compléments alimentaire de type OMEGA 3 et Curcuma+piperine.
    J’ai constaté que la médecine occidentale, n’était pas du tout au courant de ce type de pratique de soins voir même la rejette. Cependant, les esprits commencent à s’ouvrir petit à petit comme une prise de conscience.
    Dans ma démarche j’ai été autodictate et je constate encore qu’il y a pas mal de boulot à faire pour une réelle prise de conscience !!
    Le but recherché est bien sûr le bien être. Arrêtons de penser que seuls les médecins ont le savoir et la connaissance. Ecoutons nous un peu !
    Pour des problèmes graves de santé je ne réfute pas la médecine occidentale, je suis pour une médecine fléxible. Je pense qu’avant de passer aux traitements lourds, je passerai personnellement par des naturophates reconnus.

  • TRANCHAND dit :

    Il y a longtemps que je me suis aperçue toute seule que je devais enlever de mon alimentation tous les laitages de vache (tous les aliments qui contiennent du lait de vaches me donnaient des mastoses en plus de tous les autres maux) et tous les aliments avec du blé ( pain, pates, gâteau, etc…. Les médecins ne sont jamais allés contre moi. Ils m’ont seulement dit d’éviter les aliments qui me contrariaient. Une nutritionniste m’a par contre parlé des FODMAPS et m’a donné une liste d’aliments à éviter.
    Les maux de ventre, les vomissements et les diarrhées c’est presque fini. Je dis presque, car quelque fois, je mange au restaurant ou chez des amis des aliments auxquels je ne pense pas. Mais les douleurs sont moins violentes et surtout ne durent pas.

  • Dominique dit :

    Je me suis intéressé d’avantage à l’alimentation depuis que l’on m’a diagnostiqué un cancer. Après opération, radiothérapie, chimio et immunothérapie j’ai rapidement laissé tomber les médicaments de big pharma et je me suis tournée vers le Naturel. Entres autres choses (phytothérapie, méditation et lithothérapie) j’ai supprimé le lactose et le gluten de mon alimentation et je n’ai plus aucun problème digestif. Fini les ballonnements, fini la constipation, et j’ai retrouvé de l’énergie. Quand je veux du pain j’en achète à la farine de châtaigne/quinoa/sorgho, c’est délicieux et il se conserve plus longtemps que le pain à base de blé. Et j’ai vaincu la maladie:)

  • Bahzaz Malika dit :

    Bonjour, j’ai 54 ans cela faisait des années que j’étais constipee avec des douleurs au ventre et toujours gonflée avec flatulences et souvent malade. Depuis que je me suis renseigné sur les causes et chercher sur la santé naturelle. Depuis je suis guérie et cela m’a appris à écouter mon intestin. Je ne mange plus de gluten, lait (a part fermenté ), plus de sucré. Et je sais que maintenant je ne peut plus manger de légumes crus et quelques fruits car cela m’irrite les intestins.(d’ailleurs il faudrait un sujet sur légumes et fruits cru). Je ne suis plus malade, ma peau est douce et 5 kilos en moins sans que je m’en rends compte. Merci pour votre sujet. Cela est véridique

  • Partiot dit :

    Bonjour,
    Je viens de lire avec grand intérêt le sujet sur les intolérances alimentaires. J’ai fait des tests sur le conseil d’un nutritioniste. Probant. Une autre personne a dit avoir fait les tests dans 2 laboratoires, les résultats étaient loin d’être identiques. Par ailleurs, les laboratoires faisant ces tests sont rares, et chers comme vous le dites, car non remboursés.
    Il y en a un dans l’est de la France, et un autre avenue de Versailles, à Paris. Avez-vous d’autres adresses à nous donner ?

  • Corbel dit :

    Bonjour
    J ai 69 ans
    Ma première réactionallergique date du 1 mai 1986 ou j ai été mise sous cortisone j ai su ensuite que le nuage de tchernobil était passé au dessus de Brest
    Ré identique à l explosion du japon étiquetée maladie hashimoto
    Ensuite diagnostic dermographisme physique
    Puis je me suis rendue compte aggravé par pain laitage …et amélioration par suppression gluten et lait sulfites …etc je ne mange que des produits fait maison
    aujourd hui je peux manger du pain avec farines anciennes une fois de temps en temps
    Mais des que je mange à l extérieur j ai des réactions cutanées avec démangeaisons surtout sous la poitrine sous les aisselles puis partout …

    Avec 2 kilos après une crise
    Des douleurs au ventre quelquefois mais surtout constipée
    Me soigne avec aerus quand c est trop dur ….
    J avais commence méthode naet depuis certains aliments passent mieux mais c est trop onéreux pour aller au bout …
    Je prend des compléments alimentaires vit c b6 zinc vit e vit a mais toute seule car je n ai trouvé personne pour une vraie prise en charge..
    On est les abandonnés de la médecine

  • Ségolène dit :

    Merci pour vos articles, et celui-ci en particulier qui me parle tout spécialement!
    Depuis bébé, alors que ma mère pour des raisons de santé n’a pas pu m’allaiter longtemps, je refusais de boire du lait. Ensuite, c’est tous les produits laitiers, à l’exception de certains fromages à pâte dure et cuits, que je «n’aimais pas». C’était une source d’angoisse pour mes parents, étant donné que l’idée que l’apport de calcium venait du lait était largement répandue. Je me rappelle de longues séances de torture avec mon yaourt que je devais absolument terminer! J’ai par contre toujours bien aimé les gratins au fromage, la béchamel ou la raclette.
    C’est à l’âge de 30 ans, habitant en Suisse, que l’évidence m’a sautée aux yeux. Alors que j’avais passé une semaine d’hiver à ne manger que des plats au fromage (raclette, fondue, tartiflette et gratins en tout genre), j’ai fait une poussée d’acné impressionnante, accompagnée de maux de ventre et de diarrhées aiguës. J’ai alors tout de suite fait le lien. Avant ça, j’avais bien quelques problèmes de peau et de problèmes intestinaux, mais je me disais que c’était normal !
    Depuis j’ai strictement arrêté tout produits laitiers, crus ou cuits, et je m’en porte très bien ! Les seuls écarts que je suis amenés à faire quand je mange à l’extérieur me le rappellent par un petit bouton ou un passage aux toilettes!
    J’ai appris depuis qu’il y avait du calcium dans de nombreux autres aliments, comme les choux que j’adore. J’ai toujours sur moi des compléments alimentaires de lactase quand je mange chez quelqu’un.
    Je n’ai pas fait les tests, mais mon expérience est tellement concluante que je n’en éprouve pas le besoin.

  • RAVAGLI dit :

    BJR VS AVAIS RECONS ,je sui parti de toutes cette consommation !je travaille bio mon enfant etend autisme a bien changer ce de mieux en mieux .MERCI EN CORE DE VS CONSEILLE

  • Maryse Shema dit :

    Bonjour, Après avoir lu votre article, j’ai décidé de témoigner. Voici mon expérience.
    J’ai 72 ans, atteinte du gène HLA B27, la spondylarthrite s’est développée à l’âge de 13 ans, immédiatement avec un gros handicap : impossibilité de courir, et j’aimais tellement le sport ! Je vous passe les dizaines d’années de galère d’examens, de faux diagnostics, de prise de médicaments me détruisant les voies digestives, de crises m’obligeant à rester couchée durant 1 an etc… Et vers 50 ans je suis allée en Autriche, chez des amis à Vienne qui ont dû me transporter d’urgence au CHU pour une uvéïte (très fréquente lors d’une crise de spondylartrite) . Le médecin m’a alors diagnostiquée cette maladie. Pourquoi pas la France ? Mais j’étais en préménopause, et mon généraliste me gavait de produits laitiers car j’avais une ostéoporose prononcée (environ 3 fractures par an). Donc parallèlement, les inflammations augmentaient, les douleurs et les handicaps aussi. Je refusais tout anti-inflammatoire, j’essayais des plantes, l’argile, mais au bout d’une année ce n’était pas concluant. Jusqu’au jour où un pharmacien m’a donné les coordonnées du Professeur Seignalet. Je lui ai aussitôt téléphoné, à Montpellier et celui-ci m’a dit “Supprimez les laitages et le gluten” Waouh ! je pensais que ce serait impossible … Mais grâce à un voyage dans un pays où l’on ne consomme aucun laitage, j’ai pu faire le pas. Mes problèmes de peaux ont disparu (eczéma). Mais 3 mois plus tard j’ai fait une énorme crise de spondylartrite. Le médecin m’a fait une piqure de morphine car la souffrance était insupportable. Sauf qu’après j’ai eu à supporter les conséquences de la morphine durant 6 mois. Alors je me suis dit : “plus jamais ça !” Et j’ai supprimé le gluten. Cela fait 12 ans ! Je n’ai plus jamais fait des grosses crises. Parfois je sens l’inflammation arriver je fais une séance d’ostéopathie et tout rentre dans l’ordre. Après une crise cardiaque, le médecin m’a conseillé de faire de la marche. Alors je pars en corse et je fais des randonnées de 30 kms dans le maquis. Si j’avais pu croire ça il y a 20 ans ! Mais le plus extraordinaire, c’est que je suis convoquée tous les 5 ans par la Sécurité sociale pour faire un bilan de santé au CHU de mon domicile. Et lorsqu’il me fait une scintigraphie osseuse, je refais de l’os !!!!! Incroyable à mon âge. Le médecin a pensé que mes examens antérieurs n’étaient pas les miens ! La preuve est qu’avant lorsque j’éternuais ou toussais je me fracturais une côte, et quelques années de régime sans caséine m’ont permis lors d’un accident en avion de recevoir une barre de fer sur les côtes et d’en ressortir avec un hématome, prouvé par une radio. Je n’ai plus jamais fait de fracture, depuis 12 ans ! Je fais des travaux chez moi, (maçonnerie, peinture, jardinage . La seule restriction : ne pas porter de poids lourds. (50 kilos) Eh oui ! J’ai quand même 72 ans !

  • Sabot Christiane dit :

    J’ai des problèmes d’intolérance alimentaire. Je m’en suis aperçu vers 70 ans, je ne digérais plus rien de ce que je mangeais et j’ai rencontré un magnétiseur qui m’a conseillé de me faire faire une prise de sang intolérances alimentaires aux IgG que j’ai envoyé au laboratoire Zamaria à Paris. Et là pas mal d’intolerances Dont la caseine (111), le lait de vache (98), le lait de brebi (65), le blanc d’oeuf (100), les champignons, le céleri, les graines de soja (70), le ginkgo (56), les amandes etc..j’ai perdu pas loin d’une dizaine de kilos. Je pensais reprendre du poids une fois écartés tous les aliments incriminés. J’ai repris seulement 2 kg. Je pèse actuellement 48 kg. Par contre je digère beaucoup mieux tout ce que je mange. Je me suis orientée vers le bio, pas complètement mais pas mal. Chez vous je suis abonnée à Alternatif bien être et plantes et bien être. Cela m’aide bien. Pour mes intolérances j’ai consulté plusieurs fois à Nantes et le médecin nutritionniste a voulu que je reintingre dans mon alimentation les aliments incriminés. J’ai essayé 15 jours et j’ai senti que les problèmes réapparaissaient. J’ai donc tout arrêté ainsi que mon rdv avec ce nutritionniste à l’hopital De Nantes. Depuis je fais ce qui me semble bon pour moi. Cela fait maintenant 2 ans. Le gastro entérologue que je j’ai vu plusieurs fois sur La Rochelle et qui m’a fait plusieurs examens fibroscopie, colloscopie, scanner etc,, me disait que je n’avais rien et ne m’a jamais parlé d’intolerances.

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