J’ai toujours été un peu dérouté par les thérapeutes convaincus que toutes les maladies ont un « sens » caché.
« Dis-moi où tu as mal : je te dirai pourquoi » [1], claironne par exemple Michel Odoul.
Selon lui, si vous avez mal à la gorge, c’est que vous avez du mal à exprimer un problème psychologique :
« Les maux de la gorge sont ceux de l’expression “qu’est-ce que j’ai en travers de la gorge” ou de l’acceptation “qu’est-ce que je n’arrive pas à avaler”. Extinction de voix, angine, avaler de travers, aérophagie sont les signes de notre difficulté à exprimer ce que nous pensons ou ressentons, souvent par peur des conséquences de cette expression »
De même, si vous avez mal au genou, c’est que vous auriez du mal à « plier », à accepter un vécu particulier. Si vous vous faites une entorse à la cheville, c’est parce que vous manqueriez de « souplesse » et de « stabilité » dans vos relations avec les autres.
Ce genre de « théorie » peut aller loin, très loin.
Certains médecins sont allés jusqu’à théoriser que tous les cancers sont causés par un stress psychologique violent ou un conflit intérieur non résolu.
Leur théorie est étonnamment précise : le cancer du sein serait lié à un stress puissant dans la relation mère-enfant. Le cancer du pancréas serait causé par une colère vis-à-vis des membres de la famille, celui des os à un manque d’estime de soi, etc.
Vous comprenez pourquoi c’est un sujet plus que délicat : inflammable.
Prise au pied de la lettre, ce type de théorie peut vous pousser à abandonner tous les traitements médicaux (conventionnels ET naturels) pour ne prendre soin que de votre mental – ce qui serait une catastrophe.
Attention danger
Voilà pourquoi, avant d’aller plus loin, je me dois donc de vous donner un avertissement clair.
Même si la cause principale de nos maladies venait effectivement de notre vie intérieure, cela ne signifierait absolument pas qu’on puisse les guérir uniquement par le pouvoir de l’esprit.
Pour une raison simple : les dégâts biologiques sont parfois trop avancés pour pouvoir être guéris sans intervention médicale.
Le grand médecin et philosophe Thierry Janssen en donne un exemple très parlant, dans son livre remarquable La maladie a-t-elle un sens ? :
« Je me souviens de Nadia, une infirmière qui m’appela un jour au téléphone pour me demander mon avis à propos d’un problème de calcul urinaire qui obstruait son uretère gauche.
J’ai compris l’origine (psychologique) de mon mal, me dit-elle avec enthousiasme. Je vais donc attendre que cette pierre se dissolve. Vous êtes d’accord avec moi, n’est-ce pas docteur ?
Je lui répondis que l’obstruction de son uretère mettait son rein en danger. L’obstacle était mécanique ; il me paraissait donc logique d’utiliser des moyens mécaniques pour en venir à bout.
Elle se fâcha : Vous ne comprenez rien au mystère de la vie, cher Monsieur. La médecine que vous me proposez est grossière, obsolète, dépassée.
Deux semaines plus tard, j’appris que Nadia avait développé une infection urinaire. Son rein avait fini par s’infecter. La patiente avait dû être hospitalisée ».
Voilà ce qui peut arriver si vous prenez trop au pied de la lettre les théories des origines « psy » des maladies.
Mais une fois que je vous ai dit ça, je tiens aussi à vous dire que l’excès inverse est au moins aussi désastreux.
« Cancer : j’ai changé d’avis ! »
Tous les scientifiques sérieux reconnaissent aujourd’hui que le stress affaiblit le système immunitaire, bouleverse l’équilibre de vos hormones, accélère le vieillissement… et peut provoquer de lourds problèmes digestifs.
Le Pr. David Khayat, cancérologue et chef du plus grand service de cancérologie de France, a même reconnu la responsabilité des émotions négatives dans le cancer :
« Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j’ai été assez réfractaire à l’idée que le stress, le malheur, la tristesse puissent être à l’origine du cancer. Mais aujourd’hui, j’ai changé d’avis ».
Désormais, même les scientifiques les plus matérialistes reconnaissent que les pensées négatives peuvent nous rendre malade.
Des chercheurs ont par exemple montré que le lendemain de la perte d’un être cher, vous avez 21 fois plus de risques d’avoir une crise cardiaque. [2]
À l’inverse, on observe que les émotions positives renforcent les mécanismes réparateurs de notre organisme (souvenez-vous de ma toute première lettre, qui montrait les bienfaits du sentiment de gratitude contre l’hypertension, le stress ou la dépression !).
Ce qui reste toujours très polémique, en revanche c’est la question du sens des maladies.
Pourquoi moi ? Pourquoi cette maladie ?
Qu’on le veuille ou non, c’est un problème qui tenaille énormément de patients.
Lorsqu’il arrive un grand malheur, notre premier réflexe est de refuser d’y croire (« pas moi », « non », « c’est impossible »).
Puis, notre second mouvement, éminemment humain, est de ressentir de la colère et de l’incompréhension : « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ? », disait-on autrefois. « Pourquoi ? » « Pourquoi moi ? », dit-on plutôt aujourd’hui.
Tous ceux qui ont eu le terrible malheur de perdre un enfant se sont posés la question du « pourquoi » – même si leur enfant est mort dans un « banal » accident de la route.
Cette question du sens est aussi très fréquente à l’annonce d’une terrible maladie. Un patient ordinaire, Bruno, explique bien ce qu’il a ressenti :
« Quand l’annonce du cancer de la gorge est tombée, ma première réaction a été : “Pourquoi moi, pourquoi ça ?” Ce qui m’arrivait n’avait pas de sens. Or j’ai besoin de mettre du sens pour m’approprier les choses. L’hôpital ne m’apportait aucune explication cohérente, on me proposait seulement de m’immobiliser dans une machine pour subir une radiothérapie » [3]
Personnellement, je suis convaincu que cette quête de sens ne doit surtout pas être méprisée ou balayée d’un revers de main.
Car ce peut être au contraire un atout merveilleux pour guérir et mieux vivre.
Trouver le sens, d’Auschwitz au Laos
Toutes les civilisations humaines ont donné un sens « symbolique » aux évènements frappants – les intempéries, les calamités, les décès, les conflits…
C’est sans doute un besoin « impérieux » pour l’être humain – pour chacun d’entre nous.
Victor Frankl, un neuropsychiatre rescapé du camp d’Auschwitz, a montré à quel point le « sens » pouvait être précieux.
Parmi ses compagnons d’infortune, ceux qui avaient le mieux survécu étaient ceux qui avaient une vie intérieure riche, une forme de spiritualité qui leur avait permis d’échapper à l’horreur du quotidien.
« L’important n’était pas ce que nous attendions de la vie mais ce que nous apportions à la vie. Au lieu de se demander si la vie avait un sens, il fallait s’imaginer que c’était à nous de donner un sens à la vie chaque jour et chaque heure. »
La maladie, elle aussi, est une épreuve que la plupart des civilisations humaines accompagnent d’un sens symbolique.
Prenez cet exemple raconté également par Thierry Janssen :
« Je me souviens de l’histoire du jeune Taï Neua, au Laos, chez qui un médecin avait diagnostiqué une tuberculose pulmonaire. Peu convaincu par cette explication médicale, le jeune homme avait interrogé le guérisseur du village.
Ce dernier assura que le mal n’était pas dû à un microbe mais au fait que le grand-père du patient, décédé quelques mois auparavant, avait capturé son âme afin de pouvoir travailler dans les rizières célestes et s’acquitter d’une dette qu’il n’avait pas pu rembourser de son vivant.
Apaisé par les paroles du guérisseur, le jeune homme retourna auprès du médecin pour lui expliquer la « vraie raison » de son malheur. A défaut de soigner ses symptômes physiques, on peut imaginer que le fait de savoir comment, à cause de qui et pourquoi il crachait du sang fut pour ce jeune Taï Neua un grand soulagement psychologique.
Le sens de sa maladie dépassait l’intérêt pour sa propre personne ; il s’inscrivait dans la volonté de réparer le passé, de rétablir l’ordre dans la communauté et d’assurer le bon déroulement du futur. »
La croyance de Taï Neua vous paraît probablement un peu absurde.
Mais pourquoi essayer de la « démystifier », si cela peut lui apporter un apaisement de l’âme, précieux pour mieux guérir ?
Pourquoi priver les malades des formidables pouvoirs des pensées positives sur le corps, et de ses impacts bénéfiques sur sa santé ?
À partir du moment où vous ne rejetez pas la science et suivez vos traitements, pourquoi ne pas mettre « toutes les chances de votre côté » en s’ouvrant aux éventuelles « causes psychologiques » ou la symbolique de votre maladie ?
Ce peut être d’autant plus bénéfique que la maladie est le moment où jamais pour faire le point sur votre existence – et de voir ce que vous pouvez changer pour mieux vivre !
Ils remercient le ciel d’être tombés malade
Les maladies sont une occasion de changer en profondeur car elles nous donnent le temps propice à la réflexion, à la définition de vos priorités.
Là encore, des témoignages valent mieux que de longs discours. Prenez le cas de René, cadre à la retraite [4] :
« Avec le recul, je considère mon infarctus comme un cadeau de la vie. J’ai passé ma vie à me battre contre la vie. Il fallait agir, produire, créer, réaliser ; toujours plus, toujours plus vite. Deux fois par an, épuisé, je prenais des vacances. Puis je reprenais le cours infernal de mon existence, en déclarant que c’était de la folie, que j’allais y laisser ma peau, mais qu’il n’était pas possible de faire autrement. Lorsque la pression était difficile à supporter, je disais assurer ma retraite, je prétendais préparer un futur plus doux, je me promettais un repos bien mérité ; toujours plus tard. Jusqu’au jour où j’ai ressenti une horrible douleur dans la poitrine. J’ai cru mourir. Il s’en est fallu de peu. Aujourd’hui, je réalise que ma peur et mes croyances dirigeaient mon existence. Si ma santé ne m’y avait pas obligé, je n’aurais sans doute jamais adopté un autre mode de vie. Mon cœur m’a rappelé à l’ordre ».
La maladie de Sophie, par exemple, lui fait toucher du doigt un décalage entre la vie qu’elle menait et ses aspirations profondes :
« Depuis que j’ai la sclérose en plaques, j’éprouve le besoin de me ressourcer dans la nature. J’avais oublié à quel point la nature est importante pour moi. Enfant, je vivais à la campagne. J’étais heureuse. Puis je suis allé vivre à Paris. Je croyais y être heureuse. Je réalise que j’y étais simplement contente. Ce n’est pas si mal me direz-vous. Je vous répondrai que ce n’est pas assez. J’ai besoin de la nature, de sa simplicité, de sa paix, de sa violence aussi, de son équilibre, de sa beauté. J’ignore si ma maladie provient d’un « manque de nature », mais je sais que ma guérison ne sera possible que grâce à un « apport de nature ». Et même si cet apport ne me permet pas de me débarrasser définitivement de ma sclérose en plaques, au moins je me serai reconnectée à ce qui est essentiel pour moi ».
Alors n’hésitez pas à faire le point sur votre vie, à chercher le sens (sans attendre la maladie, d’ailleurs !).
Écoutez la maladie
Mon conseil, toutefois, est de ne pas forcément chercher à tout prix le sens de votre maladie dans un « manuel » ou dans une théorie « toute faite ».
Ce qui compte, c’est que le sens vous corresponde vraiment.
Guy Corneau, récemment décédé, quelques années après avoir surmonté victorieusement son cancer, l’a exprimé avec sagesse :
« Il importe de se mettre à l’écoute du sens de ce qui nous arrive, car ce sens aide à vivre. Toutefois, si vous êtes malade et cherchez le sens de ce qui vous arrive, ne vous acharnez pas pour savoir si c’est « exactement » ce que la maladie a voulu vous signifier, comme j’ai vu plusieurs personnes le faire, demeurant ainsi prisonnières d’une opération mentale. Je dirais qu’il n’est pas nécessaire que ce sens soit absolument juste ou relativement juste. L’important est d’en trouver un qui réponde à nos tripes, d’en découvrir un que nous sentons pertinent au plus profond de nous-même ».
L’avantage est de ressentir que vous êtes bien aux commandes de votre vie – et non pas malmené par des événements sur lesquels vous n’avez aucun contrôle.
C’est aussi l’occasion d’essayer de retrouver l’équilibre que votre santé réclame.
Au total, la maladie n’est pas seulement un « adversaire à abattre ». C’est aussi un messager à écouter.
Si vous aussi vous avez un témoignage en ce sens, surtout ne le gardez pas pour vous, partagez-le en commentaire de cet article.
J’attends impatiemment vos réactions, vos expériences et votre sagesse.
En attendant, je voudrais laisser les derniers mots à Thierry Janssen :
« Si nous considérons la maladie comme l’ennemi de la bonne santé, inévitablement nous nous sentons impuissants face au danger, nous nous positionnons en victimes, et nous dépensons tous nos efforts à trouver des moyens de nous défendre ou de nous battre.
En revanche, si nous acceptons l’idée que la maladie est une manifestation de la santé, automatiquement nous comprenons qu’elle n’est pas inévitable, nous sommes obligés d’assumer notre responsabilité dans les processus qui l’ont créée, et nous pouvons tenter de prévenir son apparition.
De la « maladie ennemie » à la « maladie amie ». De la « maladie à soigner » à la « maladie à écouter ». De la « maladie à subir » à la « maladie à prévenir ».»
Ma philosophie est une parole de l’Abbe Pierre qui dit « .. la vie n’est que le reflet des couleurs qu’on lui donne .. »
Santé à tous Mi
Merci Dr BAZIN,
en résumé vous dites qu’il faut être à l’écoute de son corps, comprendre pourquoi un jour vous apprenez qu’un cancer s’est déclaré, j’aime beaucoup votre lettre, si je pouvais faire comprendre à ma soeur jumelle que dans la vie rien n’est jamais perdu, il faut se battre et arrêter de voir tout en noir, arrêter de voir en nous sa famille des ennemis qui lui veulent du mal, je vais lui envoyer votre lettre avec l’espoir de la faire se “réveiller”.
Confrontée à la dure réalité d’une vie parmi des membres de ma famille psychopathes, je m’en suis sortie grâce à ma confiance irréductible en un avenir plus sain, puis ensuite j’ai été confronté seule à une vie de mère travaillant en élevant deux enfants pour lesquels j’étais constamment soucieuse pour leur bien-être et leur avenir, libéré à la retraite des contraintes d’une activité prenante je me suis retrouvée sur une table d’opération pour une bicuspide en urgence, depuis je prends le temps de vivre et de penser à moi avant autrui contrairement au passé et je relativise sur tous les sujets contrariants d’aujourd’hui, je suis mieux! Cordialement.
La maladie c’est aussi une sanction, quand vous restez persuadés que vous n’avez pas pris la bonne décision, que vous êtes constamment rangés par les remords et que vous ne faites rien pour réparer votre tord. Vous le payez sur votre santé. Quand vous êtes en mauvaise compagnie et que vous n’osez pas vous en défaire par retenue ou manque de caractère, vous vivez une situation de contrainte intérieure et, évidemment, vous le payez sur votre santé. Ça se produit à chaque fois que vous manquez d’être épanoui, dans toutes les situations où vous vous trahissez, vous épuiséz votre capital santé, qui hélas – le plus souvent – est érodé d’une manière irrémédiable.
Je suis tout a fait d ‘accord avec M Bazin
Tout au long de ma vie (76 ans)
J’ai toujours positivé meme et surtout dans les épreuves de la vie et cela m’a beaucoup servie
Je fuis les gens négatifs , ils pompent mon énergie
La vie est belle à tous les âges il faut en profiter
Se tourner vers les autres ,communiquer, échanger est enrichissant
On peut apprendre de la vie à tout âge
Par contre j’aime me retrouver entourée de jeunes,cela me fais du bien de voir notre belle jeunesse
J’aime aussi être avec mes amis qui malheureusement partent petit à petit
Alors je me cramponne, je pense être gâtée par la vie ayant une bonne santé et j’essaie de la préserver
Quand on est jeune on n’y pense pas mais en prenant de l’age cela devient une évidence
Soyons optimiste cela rend la vie plus belle
Juste Merci. Je me relève d’une péricardite, merci pour votre article. Il est nécessaire de s’appuyer sur la médecine pour guérir le corps physique et la guérison pleine et entière comporte le soin à apporter aux différents autres corps: les émotions, l’esprit, l’âme. Il est juste de trouver le sens des maladies qui viennent nous réveiller afin de poursuivre notre chemin en santé sans se tromper de route. Reconnaissance, Gratitudes à l’auteur et aux lecteurs avec qui nous sommes reliés.
super ce que dit Victor Frankl, cela me semble etre l’essentiel: il faut des projets porteurs de sens pour avoir envie de vivre
Notre corps nous parle souvent en nous donnant les symptômes afin de nous prévenir de quelque chose (qui ne va pas ou qui ne va plus)…beaucoup d’entres nous n’écoutons pas ce que nous explique notre corps car nous seuls (Notre corps avec notre esprit) sommes censés nous connaître !
J ai discuté du sens de la maladie avec ma soeur jumelle atteinte d’ un cancer (myélome multiple) à l ‘ âge de 48ans…elle a pris conscience qu’ elle s’autoculpabilisait sur les choix de sa vie : refus 3 fois d un enfant I.V.G…donc à 40ans elle a eu recours à son dernier IVG ( interruption volontaire de grossesse) et vers 48ans et un parcours de vie très changeant, se sentait sans énergie…plus de but de vivre …mal au dos…boitait…c est grâce à un ami que j ai vu et qui est allé voir ma soeur qui faisait des infections des reins depuis 3 ou 4 ans systématiquement à la même période qu il a eu un rdv chez un urologue très rapidement qu elle a eu le diagnostic…d abord refus…puis déni..etc…on a parlé de sa maladie : c est comme un mini suicide involontaire ( le subconscient agit a 80 ou 90 % ) sa maladie est AUTO IMMUNE…comme la sclérose en plaque. Il est certain que les infections des reins répétitives ont affaibli son système et qu elle perdait le goût de vivre car elle a réalisé a 48ans ce qu elle avait fait …en voyant un beau petit garçon de 8 ans …elle s en est voulue…mais la maladie lui a redonné cette chance de se dire : que la vie vaut la peine d être vécue et que le premier pas a faire est de se pardonner et de s occuper du petit enfant intérieur qui est en nous..
De le nourrir correctement ; de lui donner de l amour car nous cherchons tous ailleurs ce qui est profondément caché au fond de nous : l’ Amour ! Peu d’ humain se respecte au fond ( alcool . Drogue…cigarettes…sexe …travail en excès…maltraitance par les mots = maux ( suis je bête ! Quel connard je fais ! Idiote que je suis ! Etc)
Notre corps a ce pouvoir de se rétablir et de guérir…beaucoup de cas de guérison sont inexpliquée…l effet placebo (faux médicaments) le démontre …donc : OUI , NOUS SOMMES NOTRE PROPRE DIEU MAIS NOUS L AVONS OUBLIÉ ! NOTRE CORPS EST FANTASTIQUE ET NOUS POUVONS LE REMERCIER PAR LA GRATITUDE…car quand vous vous coupez, regarder la blessure se guérir sans rien faire…une vidéo sur le plus GRAND miracle de Dieu (MEMORUNDUM DE DIEU) nous démontre sur YOU TUBE le pouvoir extraordinaire des cellules de notre corps et de son incroyable pouvoir de se régénérer…si on lui en donne le temps et tout ses nutriments essentiels…nous sommes programmés pour vivre centenaire mais ce que nous faisons de notre vie l’ influence ! Nous – humains- sommes les seuls êtres au monde a s’autodétruire pour et par le plaisir de se faire du mal ! NOTRE esprit donc ce que nous pensons… ça aussi… est déterminant pour nous ! To be or not To be !
tout est bien dit excellemment rédigé dans ces circonvolutions borderline médico psychologiques toujours très difficiles à cerner et exprimer
et de plus inédit et original
je constate aussi que le rédacteur est très prolixe
Par pitié arrêtez de terroriser tous ceux qui sont confrontés à un problème grave, comme un deuil très douloureux ! Si le stress est un des responsables de l’apparition d’un cancer en quoi est-il justifiable de les stresser davantage par ce genre d’allégations ? Quel est le bénéfice de savoir que puisque l’on est malheureux on risque en plus de développer un cancer? Plutôt un risque puisqu’on ajoute le stress à la douleur!