J’ai toujours été un peu dérouté par les thérapeutes convaincus que toutes les maladies ont un « sens » caché.
« Dis-moi où tu as mal : je te dirai pourquoi » [1], claironne par exemple Michel Odoul.
Selon lui, si vous avez mal à la gorge, c’est que vous avez du mal à exprimer un problème psychologique :
« Les maux de la gorge sont ceux de l’expression “qu’est-ce que j’ai en travers de la gorge” ou de l’acceptation “qu’est-ce que je n’arrive pas à avaler”. Extinction de voix, angine, avaler de travers, aérophagie sont les signes de notre difficulté à exprimer ce que nous pensons ou ressentons, souvent par peur des conséquences de cette expression »
De même, si vous avez mal au genou, c’est que vous auriez du mal à « plier », à accepter un vécu particulier. Si vous vous faites une entorse à la cheville, c’est parce que vous manqueriez de « souplesse » et de « stabilité » dans vos relations avec les autres.
Ce genre de « théorie » peut aller loin, très loin.
Certains médecins sont allés jusqu’à théoriser que tous les cancers sont causés par un stress psychologique violent ou un conflit intérieur non résolu.
Leur théorie est étonnamment précise : le cancer du sein serait lié à un stress puissant dans la relation mère-enfant. Le cancer du pancréas serait causé par une colère vis-à-vis des membres de la famille, celui des os à un manque d’estime de soi, etc.
Vous comprenez pourquoi c’est un sujet plus que délicat : inflammable.
Prise au pied de la lettre, ce type de théorie peut vous pousser à abandonner tous les traitements médicaux (conventionnels ET naturels) pour ne prendre soin que de votre mental – ce qui serait une catastrophe.
Attention danger
Voilà pourquoi, avant d’aller plus loin, je me dois donc de vous donner un avertissement clair.
Même si la cause principale de nos maladies venait effectivement de notre vie intérieure, cela ne signifierait absolument pas qu’on puisse les guérir uniquement par le pouvoir de l’esprit.
Pour une raison simple : les dégâts biologiques sont parfois trop avancés pour pouvoir être guéris sans intervention médicale.
Le grand médecin et philosophe Thierry Janssen en donne un exemple très parlant, dans son livre remarquable La maladie a-t-elle un sens ? :
« Je me souviens de Nadia, une infirmière qui m’appela un jour au téléphone pour me demander mon avis à propos d’un problème de calcul urinaire qui obstruait son uretère gauche.
J’ai compris l’origine (psychologique) de mon mal, me dit-elle avec enthousiasme. Je vais donc attendre que cette pierre se dissolve. Vous êtes d’accord avec moi, n’est-ce pas docteur ?
Je lui répondis que l’obstruction de son uretère mettait son rein en danger. L’obstacle était mécanique ; il me paraissait donc logique d’utiliser des moyens mécaniques pour en venir à bout.
Elle se fâcha : Vous ne comprenez rien au mystère de la vie, cher Monsieur. La médecine que vous me proposez est grossière, obsolète, dépassée.
Deux semaines plus tard, j’appris que Nadia avait développé une infection urinaire. Son rein avait fini par s’infecter. La patiente avait dû être hospitalisée ».
Voilà ce qui peut arriver si vous prenez trop au pied de la lettre les théories des origines « psy » des maladies.
Mais une fois que je vous ai dit ça, je tiens aussi à vous dire que l’excès inverse est au moins aussi désastreux.
« Cancer : j’ai changé d’avis ! »
Tous les scientifiques sérieux reconnaissent aujourd’hui que le stress affaiblit le système immunitaire, bouleverse l’équilibre de vos hormones, accélère le vieillissement… et peut provoquer de lourds problèmes digestifs.
Le Pr. David Khayat, cancérologue et chef du plus grand service de cancérologie de France, a même reconnu la responsabilité des émotions négatives dans le cancer :
« Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j’ai été assez réfractaire à l’idée que le stress, le malheur, la tristesse puissent être à l’origine du cancer. Mais aujourd’hui, j’ai changé d’avis ».
Désormais, même les scientifiques les plus matérialistes reconnaissent que les pensées négatives peuvent nous rendre malade.
Des chercheurs ont par exemple montré que le lendemain de la perte d’un être cher, vous avez 21 fois plus de risques d’avoir une crise cardiaque. [2]
À l’inverse, on observe que les émotions positives renforcent les mécanismes réparateurs de notre organisme (souvenez-vous de ma toute première lettre, qui montrait les bienfaits du sentiment de gratitude contre l’hypertension, le stress ou la dépression !).
Ce qui reste toujours très polémique, en revanche c’est la question du sens des maladies.
Pourquoi moi ? Pourquoi cette maladie ?
Qu’on le veuille ou non, c’est un problème qui tenaille énormément de patients.
Lorsqu’il arrive un grand malheur, notre premier réflexe est de refuser d’y croire (« pas moi », « non », « c’est impossible »).
Puis, notre second mouvement, éminemment humain, est de ressentir de la colère et de l’incompréhension : « Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ? », disait-on autrefois. « Pourquoi ? » « Pourquoi moi ? », dit-on plutôt aujourd’hui.
Tous ceux qui ont eu le terrible malheur de perdre un enfant se sont posés la question du « pourquoi » – même si leur enfant est mort dans un « banal » accident de la route.
Cette question du sens est aussi très fréquente à l’annonce d’une terrible maladie. Un patient ordinaire, Bruno, explique bien ce qu’il a ressenti :
« Quand l’annonce du cancer de la gorge est tombée, ma première réaction a été : “Pourquoi moi, pourquoi ça ?” Ce qui m’arrivait n’avait pas de sens. Or j’ai besoin de mettre du sens pour m’approprier les choses. L’hôpital ne m’apportait aucune explication cohérente, on me proposait seulement de m’immobiliser dans une machine pour subir une radiothérapie » [3]
Personnellement, je suis convaincu que cette quête de sens ne doit surtout pas être méprisée ou balayée d’un revers de main.
Car ce peut être au contraire un atout merveilleux pour guérir et mieux vivre.
Trouver le sens, d’Auschwitz au Laos
Toutes les civilisations humaines ont donné un sens « symbolique » aux évènements frappants – les intempéries, les calamités, les décès, les conflits…
C’est sans doute un besoin « impérieux » pour l’être humain – pour chacun d’entre nous.
Victor Frankl, un neuropsychiatre rescapé du camp d’Auschwitz, a montré à quel point le « sens » pouvait être précieux.
Parmi ses compagnons d’infortune, ceux qui avaient le mieux survécu étaient ceux qui avaient une vie intérieure riche, une forme de spiritualité qui leur avait permis d’échapper à l’horreur du quotidien.
« L’important n’était pas ce que nous attendions de la vie mais ce que nous apportions à la vie. Au lieu de se demander si la vie avait un sens, il fallait s’imaginer que c’était à nous de donner un sens à la vie chaque jour et chaque heure. »
La maladie, elle aussi, est une épreuve que la plupart des civilisations humaines accompagnent d’un sens symbolique.
Prenez cet exemple raconté également par Thierry Janssen :
« Je me souviens de l’histoire du jeune Taï Neua, au Laos, chez qui un médecin avait diagnostiqué une tuberculose pulmonaire. Peu convaincu par cette explication médicale, le jeune homme avait interrogé le guérisseur du village.
Ce dernier assura que le mal n’était pas dû à un microbe mais au fait que le grand-père du patient, décédé quelques mois auparavant, avait capturé son âme afin de pouvoir travailler dans les rizières célestes et s’acquitter d’une dette qu’il n’avait pas pu rembourser de son vivant.
Apaisé par les paroles du guérisseur, le jeune homme retourna auprès du médecin pour lui expliquer la « vraie raison » de son malheur. A défaut de soigner ses symptômes physiques, on peut imaginer que le fait de savoir comment, à cause de qui et pourquoi il crachait du sang fut pour ce jeune Taï Neua un grand soulagement psychologique.
Le sens de sa maladie dépassait l’intérêt pour sa propre personne ; il s’inscrivait dans la volonté de réparer le passé, de rétablir l’ordre dans la communauté et d’assurer le bon déroulement du futur. »
La croyance de Taï Neua vous paraît probablement un peu absurde.
Mais pourquoi essayer de la « démystifier », si cela peut lui apporter un apaisement de l’âme, précieux pour mieux guérir ?
Pourquoi priver les malades des formidables pouvoirs des pensées positives sur le corps, et de ses impacts bénéfiques sur sa santé ?
À partir du moment où vous ne rejetez pas la science et suivez vos traitements, pourquoi ne pas mettre « toutes les chances de votre côté » en s’ouvrant aux éventuelles « causes psychologiques » ou la symbolique de votre maladie ?
Ce peut être d’autant plus bénéfique que la maladie est le moment où jamais pour faire le point sur votre existence – et de voir ce que vous pouvez changer pour mieux vivre !
Ils remercient le ciel d’être tombés malade
Les maladies sont une occasion de changer en profondeur car elles nous donnent le temps propice à la réflexion, à la définition de vos priorités.
Là encore, des témoignages valent mieux que de longs discours. Prenez le cas de René, cadre à la retraite [4] :
« Avec le recul, je considère mon infarctus comme un cadeau de la vie. J’ai passé ma vie à me battre contre la vie. Il fallait agir, produire, créer, réaliser ; toujours plus, toujours plus vite. Deux fois par an, épuisé, je prenais des vacances. Puis je reprenais le cours infernal de mon existence, en déclarant que c’était de la folie, que j’allais y laisser ma peau, mais qu’il n’était pas possible de faire autrement. Lorsque la pression était difficile à supporter, je disais assurer ma retraite, je prétendais préparer un futur plus doux, je me promettais un repos bien mérité ; toujours plus tard. Jusqu’au jour où j’ai ressenti une horrible douleur dans la poitrine. J’ai cru mourir. Il s’en est fallu de peu. Aujourd’hui, je réalise que ma peur et mes croyances dirigeaient mon existence. Si ma santé ne m’y avait pas obligé, je n’aurais sans doute jamais adopté un autre mode de vie. Mon cœur m’a rappelé à l’ordre ».
La maladie de Sophie, par exemple, lui fait toucher du doigt un décalage entre la vie qu’elle menait et ses aspirations profondes :
« Depuis que j’ai la sclérose en plaques, j’éprouve le besoin de me ressourcer dans la nature. J’avais oublié à quel point la nature est importante pour moi. Enfant, je vivais à la campagne. J’étais heureuse. Puis je suis allé vivre à Paris. Je croyais y être heureuse. Je réalise que j’y étais simplement contente. Ce n’est pas si mal me direz-vous. Je vous répondrai que ce n’est pas assez. J’ai besoin de la nature, de sa simplicité, de sa paix, de sa violence aussi, de son équilibre, de sa beauté. J’ignore si ma maladie provient d’un « manque de nature », mais je sais que ma guérison ne sera possible que grâce à un « apport de nature ». Et même si cet apport ne me permet pas de me débarrasser définitivement de ma sclérose en plaques, au moins je me serai reconnectée à ce qui est essentiel pour moi ».
Alors n’hésitez pas à faire le point sur votre vie, à chercher le sens (sans attendre la maladie, d’ailleurs !).
Écoutez la maladie
Mon conseil, toutefois, est de ne pas forcément chercher à tout prix le sens de votre maladie dans un « manuel » ou dans une théorie « toute faite ».
Ce qui compte, c’est que le sens vous corresponde vraiment.
Guy Corneau, récemment décédé, quelques années après avoir surmonté victorieusement son cancer, l’a exprimé avec sagesse :
« Il importe de se mettre à l’écoute du sens de ce qui nous arrive, car ce sens aide à vivre. Toutefois, si vous êtes malade et cherchez le sens de ce qui vous arrive, ne vous acharnez pas pour savoir si c’est « exactement » ce que la maladie a voulu vous signifier, comme j’ai vu plusieurs personnes le faire, demeurant ainsi prisonnières d’une opération mentale. Je dirais qu’il n’est pas nécessaire que ce sens soit absolument juste ou relativement juste. L’important est d’en trouver un qui réponde à nos tripes, d’en découvrir un que nous sentons pertinent au plus profond de nous-même ».
L’avantage est de ressentir que vous êtes bien aux commandes de votre vie – et non pas malmené par des événements sur lesquels vous n’avez aucun contrôle.
C’est aussi l’occasion d’essayer de retrouver l’équilibre que votre santé réclame.
Au total, la maladie n’est pas seulement un « adversaire à abattre ». C’est aussi un messager à écouter.
Si vous aussi vous avez un témoignage en ce sens, surtout ne le gardez pas pour vous, partagez-le en commentaire de cet article.
J’attends impatiemment vos réactions, vos expériences et votre sagesse.
En attendant, je voudrais laisser les derniers mots à Thierry Janssen :
« Si nous considérons la maladie comme l’ennemi de la bonne santé, inévitablement nous nous sentons impuissants face au danger, nous nous positionnons en victimes, et nous dépensons tous nos efforts à trouver des moyens de nous défendre ou de nous battre.
En revanche, si nous acceptons l’idée que la maladie est une manifestation de la santé, automatiquement nous comprenons qu’elle n’est pas inévitable, nous sommes obligés d’assumer notre responsabilité dans les processus qui l’ont créée, et nous pouvons tenter de prévenir son apparition.
De la « maladie ennemie » à la « maladie amie ». De la « maladie à soigner » à la « maladie à écouter ». De la « maladie à subir » à la « maladie à prévenir ».»
Chers Tous,
Ravi de vous écrire pour la première fois. En ce qui me concerne, j’ai plusieurs maladies associées: SPA, Cardiopath-Steinté, Hypertendu et Diabétique Insuliné. Pour l’ensemble de ces maladies, je prends quotidiennement 17 médicaments “Fraîchement” produit par les ‘Puissances Industries Pharmaceutiques Internationales’ et je suis, relativement, jeune (59 ans). La SPA était première maladie que j’ai contracté, j’avais 23 ans à l’époque, quant à la dernière maladie (j’espère) c’est le Diabète, il y a de cela 3 ans, j’avais 56 ans.
Quelles sont les enseignements que j’ai pu tirer de ces 35 années d’épreuves:
-1°) Ne chercher pas qui en est le coupable.
-2°) Surtout, ne vous culpabiliser pas.
-3°) Faites en sorte de bien connaitre vos problèmes de santé afin de mieux les gérer.
– 4°) Parler à chaque fois que c’est nécessaire avec chacune de vos maladies en utilisant des mots d’apaisement et de sérénité au moment des douleurs, essayer de ne dégager aucune angoisse.
A titre d’exemple: s’il vous arrive de vous faire réveiller par une douleur, ne lui résister surtout pas, s’il faut gémir faites-le, et commencer à lui parler comme si vous avez à faire à un être cher et de lui dire:”OK, tu ne veux dormir, moi aussi je ne vais dormir, aller on va se tenir compagnie… Et maintenant de quoi veux-tu qu’en parle? …Qu’est-ce-qui se passe encore, je n’ai pas prie, suffisamment, soin de toi aujourd’hui ? Si c’est le cas tu me désolé…, allons…, ça va…, plus d’inquiétude à ce faire, je suis, là, maintenant, avec toi et je vais y remédier a cela… Mais non, arrête de te prendre la tête, ne me dis pas que tu es jalouse de l’autre (maladie)…, si j’ai fais ce que j’ai fait alors, tu es bien placée pour le savoir…etc.
En d’autres termes, ‘Cajoler’ Mentalement la douleur, si besoin est, bien-sur, comme si vous le faites avec VOTRE propre bébé qui vous réveille au milieu de la nuit, vous le faites avec fatigue mais avec beaucoup d’Amour de Conviction dans la pensée et dans l’acte parceque ces choses-là ça se ressent par l’autre à travers le Conscient, l’Inconscient et le Subconscient.
-5°) Ce qui nous amène à reconsidérer son propre ‘Soi’ et faire un travail en profondeur sur soi-même. Ce qui exige, d’abord et en premier lieu, de bien prendre conscience de ses problèmes de santé afin de renforcer son Mental au bénéfice de développer et d’entretenir sa PATIENCE qui est, en soit, le Pilier, l’Ossature, la Force pour entreprendre à bien et à mieux gérer sa ou ses maladies.
-6°) Travailler aussi et en permanence sur sa bonne Humeur, ceci, quelque soit la douleur ou la fatigue de la journée. Toujours s’accompagner du Mental et de la Patience. S’entourer de ses amis et faire les choses qu’on aime et, surtout, qu’on les fasse avec Plaisir et à sa Guise.
Très important ce dernier point: Faire les choses avec Plaisir et à sa Guise, pour la simple raison que c’est Toi le ‘Malade’ et en tant que tel, sensibilisé avec tact et gentillesse ses proches afin de les solidarisés à soi par Amour, Conviction et plaisir dans l’aide et l’assistance.
-7°) Etre Humble et Sage devant la Maladie comme le serait un Brillant Savant face à la Science.
En conclusion;
a)- Ce n’est pas toujours la joie, certes, mais voila, si on est vraiment fatigué essayé de voir un film du genre que vous aimez, ou essayez de lire ou juste de vous allonger en essayant de contenir la fatigue ou la douleur ou, voir même, le coup-de-barre du moment .
b)- Si vous vous sentez, à un moment donné, que vous êtes énervés ou angoissés, chercher les raisons au fond de vous-mêmes et essayer d’en connaitre les causes et d’en évaluer leur importance, s’il y en a, bien-sur, parceque, dans la majeur partie des cas, on s’en rend-compte que ce n’est qu’un coup de barre et qu’il faut juste un peu de temps pour que ça passe. D’ou l’Importance de prendre, Vraiment, Conscience quant on est dans ces états-là.
c)- Faites de votre mieux, tant que votre capacité dans l’effort vous le permet, afin de contribuer à aider sur les lieux ou vous trouver. Essayer de rester autonome autant que possible pour les choses que vous pouvez faire au quotidien. Faites-vous aider, si besoin-est, mais, seulement par les personnes qui le feront avec Plaisir et à votre Guise afin, que ce moment d’aide, soit bien apprécier et d’impacter positivement sur votre Bien-être, sans regret aucun ni Déprime.
d)- Méditer ou apprenez à Méditer dans le sens de positiver l’état de santé dans lequel vous vous trouvez et de vous éloigner, le plus-possible, de la pensée Négative qui est à l’origine des complications et la source-même, de la Déprime et des moments difficiles.
e)- Faites l’effort, dont vous pouvez faire, pour que vous dégagiez des Ondes Positives afin que votre entourage les ressente et adhère avec Amour et sincérité à apprécier d’être en votre compagnie ce qui Impactera, Positivement, sur votre Mental et Améliorera, par la même occasion, votre Bien-être quelque soit l’état de votre santé à ce moment.
f)- Ayez souvent le sourire, discuter avec les personnes qui vous entoure et avec ceux qui vous rende visite. Faites pour qu’ils reviennent, montrer-leurs à eux et vos proches de la Reconnaissance parcequ’elle est importante pour toute les parties concernées et, surtout pour vous, vu qu’elle Impactera Positivement sur votre Bien-être.
g)- Éloignez toute Ingratitude, Mécontentement et Ondes Négatives, parceque dans ce genre de rapport et de relation, qui relève du stricte-personnel, sachez que, quelque soit, l’humeur de chacun, vous verrez, que tout le monde, met du sien pour que le moment-présent soit apprécié par tous et sans aucun regret. Je pense que c’est ça le but escompté; c’est de mettre pour un moment, long ou pas, la maladie de coté afin de mieux, une fois revenue à travers la douleur, l’apprivoisée et de la gérée au quotidien ou un tant soi peu, avec plus d’«Acceptance» et de Patience et de moins en moins de Déni.
Bien à vous et Bonne Santé à tous.
Abdel Kacem.
Alger le 02 Septembre 2018.
Bonjour,
Votre article ne fait que confirmer mes convictions. Il y a 6 ans j’ai été touchée par un cancer du sein. Je suis passée en effet par toutes les étapes que vous évoquez. J’étais en fin de formation de professeur de yoga à ce moment là et c’est vrai que cela m’a beaucoup aidé à comprendre ce qu’il m’arrivait. Les textes philosophiques indiens mais aussi un naturopathe m’ont permis mentalement et physiquement de revoir ma façon d’être et de vivre tout simplement. J’ai compris que moi seule étais actrice de ma guérison et que la solution se trouvait tout au fond de moi. J’ai pu grâce au yoga et au mémoire que je devais écrire pour clôturer ma formation mettre des mots sur des maux. Aujourd’hui j’enseigne à différents publics et mon crédo est de transmettre cet enseignement que j’ai reçu avec mon coeur. Je pense qu’ouvrir son coeur aux autres permet de connaitre le vrai bonheur.
Merci la vie !!!!!
Tres bien, vous etes une femme courageuse et ouverte aux autres.
Votre Bla-bla-bla m’a fait perdre du temps c’est ce que je résume de votre lettre , un résumé aurait été plus agréable et j’aurais conclu plus facilement. C’est le reproche que je pourrais vous faire ds tout votre courrier, il faut savoir aller droit au but …
J’ai une fibromyalgie depuis 12 ans. J’avais 46 ans. Depuis mon enfance, je savais que quelque chose n’allait pas, mais impossible de savoir quoi. Le fait d’avoir toutes ces douleurs m’a fait (entre autre) rencontrer une psychogénéalogiste et tous les détails de la vie qui n’allaient pas ont pris du sens. J’ai pu parler de tout cela en famille … cela a cré des tensions, des maladies pour certains, mais finalement, chacun a évacué des “non-dits”, est revenu sur des drames “non-digérés”. Je suis maintenant vraiment moi-même (toute ma famille avait fait un transfert sur moi, à ma naissance, suite à un décès inaccepté ) et chacun s’est autorisé à reparler de ce décès, à l’accepter, à pleurer, à vivre ce deuil et à passer à autre chose et moi à vivre MA vie et non celle de quelqu’un d’autre.
DONC OUI, cette maladie a permis de “guérir” plusieurs personnes et moi de voir la vie autrement.
Bonjour,
Je suis d’accord avec cet exposé et convaincue qu’il est important de chercher un sens à la maladie afin de mieux la combattre. Mais comment faire quand il s’agit d’un enfant ? Trouver un sens en tant que parent ? “Que représente sa maladie pour moi ?” Ou aider l’enfant à mettre des mots sur ce qui lui arrive ? Ce qui est une tâche très délicate. Merci
Je suis montée sur un tabouret pour changer mes rideaux et je suis tombée
Fracture complexe du plateau tibiale et du tibia, immobilisation 2mois 1/2 avec interdiction de poser le pied enfermée chez moi car 30 escaliers à monter le sens que j’ai trouvé à cette épreuve c’est qu’en fin on sait occupée de moi car depuis toujours je m’étais oubliée vu que j’avais soignée les autres toute ma vie, j’ai également appris à ne plus avoir honte de mon corps et à comprendre que c’est une si belle machine mais quand elle se casse il faut tout réapprendre même ce qui paraît naturel et inné
Je suis entièrement d’accord avec tout
Ce que je viens de lire
Mon témoignage la médecine traditionnelle
Ok à condition d’accorDer une bonne
Relation de confiance avec le médecin traitant
Avoir toujours et toujours être mettre de
Ses choix de notre propre intuition
D’apprendre la connaissance de soi
Oser s’approfondir
La méditation nous en permet facilement
L’acces
Apprendre la sophrologie pour savoir utiliser
La respiration
Trouver tout ce qui peut nous permettre
Le bien-être intérieur le confort de notre âme
Pour vivre au mieux notre connaissance
Vivre une alimentation équilibrée
Adaptée à nos besoins non aux espérances des
Autres ni pour la mode du courant qui passe
Respectez les saisons les vivre
Je propose une petite visite de temps avec
Une naturopathe pour nous conseiller sur nos
De préventions où de guérison
Bonjour,
C’est certain, au début, je me sentais totalement victime de dépressions chroniques. Je me suis alors rapprochée de Dieu. Et je me suis remise en question par rapport à la vie “active et par rapport à ma relation avec l’argent. (Mon couple a tjrs été instable du fait de mon époux qui a une dépendance au jeu). Je suis heureuse maintenant, je m’occupe de moi (je me rapproche de la nature en faisant beaucoup de randonnées avec des amis j’essaie d’aider mon prochain dans la mesure du possible. En somme j’ai privilégié le savoir être par rapport à l’avoir (biens matériaux)
En fait, je pense simplement que si je n’avais pas eu cette maladie, j’aurais continué à subir ma vie, maintenant, je ressens la sérénité et je n’éprouve plus le besoin de posséder.
Mon époux passe à côté du bonheur car il a tout pour être heureux er il ne s’en pas compte à cause de sa dépendance ! Merci à vous !
Merci pour cet article tellement vrai. J’ai pu surmonter un cancer , il y a qq années, grâce à la compréhension de son origine.
A propos du cancer du sein, il s’agirait bien de la relation avec la mère, si il s’agit du sein droit, mais plutôt de la relation avec le père, ou le mari, s’il s’agit du sein gauche. A ressentir par vous même.
Bonjour Xavier,
Cela fait un moment, que je souhaite laisser un commentaire, mais voici encore – des difficultés- j’ai deux mails.
Bon, je ne souhaite pas être trop bavarde…
Au sujet: le sens d’une maladie et comment s’y prendre? Je vis ma troisième vie – très bien d’ailleurs – depuis une première opération “à coeur ouvert” en 11/84 (“mixome” au ventricule droit – opéré à Paris hôpital Bichat). Deuxième intervention: en 2007 (Marie Lanelongue, Plessis-Robinson. Prof. Dartevelle Philippe – arthérectomie…arthère pulmonaire). diagnostic: défaut de coagulation (dysfibrinogénémie) connu dans les suites de la 1ère opération! Lors d’une visite après la première opération, mon médecin Dr.Bergeret Claude, Paris réponds à ma question “existentielle” du pourquoi:
Arrêtez-de vous faire du “mauvais sang” – il me connaissait probablement mieux que moi à l’époque et son expérience de médecin (s’inscrivant dans la “lignée” de ce que nous recherchons plus globalement aujourd’hui) voyait dans ce qui m’arrivait le signal à ne pas oublier. J’ai depuis longuement réfléchie à ce qui aurait pu déclencher ces deux “accidents” (mes deux parents examinés par le laboratoire de la Tranfusion sanguine à
Paris n’avaient pas de dysfibrinogénémie!).
Le choc subi lors de la première intervention était extrêmement difficile à surmonter (ma petite fille venait juste entrer en CP) et j’ai découvert ce qui m’était arrivé après l’intervention (les médecins était très discrets). Aujourd’hui, je prête une attention particulière à ne pas me faire “trop de mauvais sang”. Ce qui m’a d’ailleurs un peu aider une autre épreuve: le décès de ma fille à 35 ans au Caire…et permis de soutenir son frère de 8 ans son cadet. Peut-être est-ce aussi une raison d’expliquer ma reconversion professionnelle vers le secteur social – associatif dans le cadre de la Protection de l’Enfance – mesures éducatives TGI Bobigny? Doris