Souffrirez-vous un jour d’une maladie du cœur, avec des artères à moitié bouchées ?
Je ne vous le souhaite pas, bien sûr !
Mais vous devez savoir que ce problème touche plus de 15 % des plus de 85 ans[1].
Le cas typique, c’est l’angine de poitrine, ou angor. Au moindre effort, vous avez mal à la poitrine, votre cœur se « serre », vous avez l’impression d’étouffer.
Dans ce cas, beaucoup de cardiologues vous proposent de passer sur le billard pour vous poser un « stent » (je vais vous expliquer dans un instant comment ça fonctionne).
Si cela vous arrive, attention : c’est le moment ou jamais de résister (intelligemment) !
Prenez vite un deuxième avis médical, et un troisième s’il le faut.
Car la pose de « stents » en dehors des cas d’urgence (crise cardiaque) est inutile et dangereuse !
La preuve en a été donnée récemment dans plusieurs études parues dans les journaux médicaux les plus reconnus au monde[2].
Mais avant de vous parler de ces études sidérantes, je voudrais d’abord répondre à la question qui vous brûle sans doute les lèvres :
Pourquoi diable mon cardiologue – un homme intelligent et responsable – me proposerait-il une opération inutile et risquée ???
La face cachée de la cardiologie moderne
Connaître la réponse à cette question est d’une importance capitale.
Si vous voulez prendre votre santé en main, vous devez absolument connaître les deux faces de la médecine moderne :
- Sa face lumineuse : les millions de vies sauvées grâce à la médecine d’urgence (SAMU, réanimation cardiaque, transfusion en cas d’accident de la route, etc.) ;
- Mais aussi sa face sombre : les dizaines de médicaments et d’opérations chirurgicales inutiles et dangereux, dictés par la soif du prestige et l’appât du gain.
Même notre ministre de la Santé l’a reconnu publiquement : 30 % des dépenses de santé en France sont inutiles[3].
Cela représente jusqu’à 50 milliards de dépenses par an, qui plombent la Sécurité Sociale !
Mais attention : ces milliards ne sont pas perdus pour tout le monde.
C’est malheureux à dire, mais la médecine moderne est aussi un véritable business.
Et la cardiologie est sans doute le domaine le plus abîmé par l’argent.
Ce (riche) cardiologue qui posait 30 stents par demi-journée
Il faut bien comprendre que poser un stent rapporte beaucoup d’argent.
Récemment, les « Paradise Papers », ces documents secrets sur les « paradis fiscaux », ont révélé que l’un des plus grands pontes de la cardiologie mondiale, le Dr Ashok Seth, possédait depuis 2013 des intérêts financiers dans une entreprise de fabrication de stents !
Plus cette entreprise vendait des stents, plus le Dr Seth s’enrichissait !
Vous voyez le « conflit d’intérêts » ?
Pas étonnant que ce « ponte » ait fait la promotion des stents dans tous ses articles scientifiques !
Les stents rapportent à ceux qui les fabriquent… mais aussi à ceux qui les posent !
Au début des années 2010, le cardiologue américain Marc Midei, a été radié pour avoir posé 30 stents en une seule après-midi.
Il posait des stents à tour de bras, et cela lui rapportait de dizaines de milliers dollars en quelques heures ![4]
Au total, le « marché » mondial des stents représente environ 7 milliards d’euros par an.
Et pourtant, la majorité des stents posés chaque année sont parfaitement inutiles… et dangereux.
Cela paraît fou, mais c’est la stricte vérité.
Comme souvent avec la médecine moderne, une invention formidable pour les situations d’urgence a été détournée, dévoyée, pour être appliquée à des problèmes chroniques.
Un progrès médical magnifique, détournée de son but
Tout a commencé par une invention salvatrice, affinée en 1977 : l’angioplastie.
Elle consiste à insérer un petit ballon dans une artère dans le but de la déboucher !
L’angioplastie consiste à insérer un petit ballon dans l’artère et de le gonfler pour écraser la plaque d’athérome (ici en jaune) contre la paroi – regardez cette vidéo si vous voulez voir comment cela fonctionne précisément.
Pratiquée en cas d’urgence, de situation de vie ou de mort, l’angioplastie sauve des vies.
Le problème, c’est que, comme toute opération chirurgicale, elle comporte aussi de vrais risques.
A tout moment, la circulation sanguine peut être stoppée par le petit ballon, et vous risquez l’arrêt cardiaque… Des morceaux de la « plaque » qui obstruait votre artère peuvent se détacher et provoquer un infarctus ou un AVC…. L’opération peut causer de graves hémorragies.
Et comme pour toute opération pratiquée dans un hôpital, vous courrez le risque d’attraper une infection mortelle.
Bien sûr, quand vous avez une crise cardiaque, il ne fait aucun doute que les bienfaits de l’opération l’emportent nettement sur ses risques.
MAIS ce n’est pas du tout aussi évident lorsque vos artères bouchées se contentent de vous faire « souffrir », comme en cas d’angine de poitrine.
Au contraire, le principe de précaution (« d’abord ne pas nuire ») doit être appliqué.
Mais ce n’est pas ce qu’ont décidé les cardiologues, qui se sont mis à faire des angioplasties à tour de bras, sans la moindre validation scientifique !
Dès que vous aviez une artère à moitié bouchée, ils vous proposaient cette opération « miracle » (et pourtant très risquée !).
Mais ils ont vite déchanté.
Ce petit « grillage » qui a transformé la cardiologie
Car l’opération s’attaque à l’effet, mais pas à la cause.
Elle soulage le symptôme, mais ne change rien à la raison pour laquelle votre artère est bouchée.
Résultat : les cardiologues ont vite constaté que les artères de leurs patients se rebouchaient rapidement après l’opération ! La chirurgie n’avait servi à rien !
Mais les cardiologues ne se sont pas démontés pour « si peu ».
Contre ce problème, ils ont cru trouver une « solution miracle » dans les années 1980.
C’est l’invention du « stent », un petit grillage en fer.
Au moment de l’angioplastie, les cardiologues insèrent un petit grillage dans l’artère, dans l’espoir de la maintenir bien ouverte :
Cela semblait répondre parfaitement au problème de l’angioplastie…
…et du coup, la pose du stent s’est très vite généralisée, sans étude scientifique.
Et là encore, les cardiologues ont vite déchanté :
Le cycle infernal du « progrès médical » et de ses complications
Le gros problème du stent, c’est que ce petit morceau de métal peut causer des crises cardiaques !
Tout simplement parce qu’un caillot de sang peut se former à l’endroit même où a été posé le stent, à cause de la structure métallique. C’est ce qu’on appelle une « thrombose de stent ».
Et puis, pour de nombreux patients, cette opération était inutile : malgré le stent, leur artère se rebouchait en quelques mois !
Mais croyez-vous que les cardiologues allaient en conclure qu’il fallait réserver cette opération aux cas d’urgence ?
Pas du tout !
Contre ce « problème », ils ont inventé le « stent actif » dans les années 1990 !
Ce nouveau « stent » a un enrobage perfectionné, qui libère un médicament « anti-caillot » pendant plusieurs mois.
L’avantage, c’est que les patients avaient moins de récidives : leur artère restait débouchée plus longtemps.
Mais ces stents-là causaient aussi beaucoup plus de « thromboses de stent » et donc d’infarctus, parce que les fameux médicaments libérés par le stent empêchent l’artère de cicatriser rapidement !
Qu’à cela ne tienne, les cardiologues avaient la « solution » (encore !).
Pour compenser ce risque d’infarctus, ils ont donné à leurs patients de très grosses doses de médicaments « anti-caillots ».
Mais ce qui devait arriver arriva : ces surdoses ont aussi causé davantage de saignements graves et d’AVC hémorragiques ! (c’est ce qui arrive toujours quand vous empêchez votre sang de coaguler correctement).
Malgré cela, les cardiologues n’ont toujours pas arrêté leurs opérations risquées.
Au début des années 2010, ils ont placé leurs espoirs dans l’invention de stents « biodégradables ».
Ces stents ont l’avantage de s’éliminer progressivement, naturellement, après 3 mois.
Résultat : on peut réduire la dose de médicaments anti-caillots, et donc diminuer le risque d’hémorragie !
Mais l’espoir a été de courte durée.
Une étude récente menée par des chercheurs suisses a montré que ces stents augmentent le risque d’infarctus[5] !
Car lorsque ce stent biodégradable se dissout, des fragments peuvent s’agglomérer, provoquer un caillot, boucher votre artère… et causer une crise cardiaque.
Vous voyez comment ça fonctionne ?
Dès le début, le simple bon sens et la prudence élémentaire disaient que ce type d’opération invasive et risquée devait être réservée aux situations critiques.
Et ce que le bon sens dit depuis le début, la science vient de le confirmer de manière éclatante !
Malgré les preuves scientifiques, ils continuent à faire comme si de rien n’était !
En 2012, des chercheurs ont examiné près de 8 000 patients soignés soit par la pose d’un stent, soit par des médicaments anti-caillots uniquement[6].
Les résultats sont éloquents.
Après 4 ans, le taux de mortalité était de 8,9 % pour le groupe « stent + médicaments », contre 8,1 % pour le groupe « médicaments seulement ».
Bref : aucune différence réelle – et même un léger avantage pour ceux qui n’ont pas eu de stent.
Conclusion du Dr Harlan Krumholz, un des plus grands cardiologues au monde[7] :
« Quand les patients doivent prendre une décision, il est important de leur révéler que cette procédure – hors urgence – n’est pas connue pour sauver des vies ou éviter des crises cardiaques.
La grande majorité des patients qui subissent cette opération s’attendent à vivre plus longtemps. Ce n’est pas ce que dit la science. »
Depuis 2012, pourtant, rien n’a changé.
Les cardiologues ont continué sans sourciller à poser des millions de stents « de routine ».
En France, on compte un peu moins de 200 000 poses de stents par an… alors qu’il n’y a « que » 55 000 infarctus !
La science, elle, n’a pas cessé de confirmer leur inutilité en dehors des cas d’urgence.
Une étude de novembre 2017, publiée dans The Lancet, a définitivement enfoncé le clou[8].
Non seulement la pose d’un stent ne sauve pas la vie… mais elle ne soulage pas d’un iota la souffrance de ceux qui ont une angine de poitrine !
Pour le prouver avec certitude, les chercheurs ont fait quelque chose d’assez « osé ».
Ils ont sélectionné un groupe de 200 patients ayant une artère coronaire quasi-bouchée, avec de réelles douleurs à la poitrine en cas d’effort.
Puis ils ont fait subir à chacun de ces 200 patients une opération chirurgicale…
…mais seuls la moitié d’entre eux se sont vus poser un stent !
Pour l’autre moitié, l’opération était purement « placebo ». Ils ont reçu les mêmes gestes chirurgicaux, mais sans avoir de stent !
Bien sûr, les patients ne savaient pas s’ils avaient eu la « vraie » ou la « fausse » opération.
Et au bout de 6 semaines, on leur a demandé de courir sur un tapis de course.
Résultat : ceux qui avaient un stent n’avaient pas moins de douleur que les autres !
Cela a beaucoup surpris les cardiologues, qui auraient juré que la pose d’un stent soulageait leurs patients… mais c’était uniquement dû à l’effet placebo de l’opération !
Conclusion logique du Dr. Rita Redberg, qui a écrit l’éditorial accompagnant l’étude :
« Comme la pose d’un stent comporte des risques, allant jusqu’à la mort du patient, cette procédure ne devrait être utilisée que pour les patients ayant une crise cardiaque »[9].
C’est clair, c’est net…
…et pourtant, ne vous attendez pas à ce que les choses changent du jour au lendemain !
Il faut toujours des années avant que ce genre « d’habitudes » ne changent, surtout lorsqu’elles rapportent de l’argent !
Voilà pourquoi ce que vous dit votre cardiologue n’est pas parole d’évangile.
Voilà pourquoi vous devez toujours demander un autre avis médical quand il vous prescrit un médicament ou une opération chirurgicale (en dehors des urgences bien sûr).
Et voilà pourquoi il est important de s’informer par soi-même, auprès de sources fiables et indépendantes.
PS : cette affaire de stents est franchement très éclairante sur notre système de santé :
- La médecine moderne fait des miracles en cas d’urgence… mais elle ne peut presque rien contre les maladies chroniques, liées au mode de vie ;
- Contre les artères bouchées, par exemple il n’y a qu’une solution efficace dans la durée : arrêter de fumer, adopter une alimentation méditerranéenne et pratiquer de l’activité physique ;
- Pourtant, par « fierté mal placée » et par « intérêt financier », la médecine moderne continue de prétendre pouvoir « soigner » cette maladie, à coups d’opérations chirurgicales et de médicaments risqués ;
- Et c’est exactement la même chose pour la plupart des maladies chroniques, comme l’arthrose, l’hypertension ou le diabète de type 2 : dans la durée, les solutions naturelles sont toujours plus efficaces et moins risquées que les réponses médicales.
À chaque fois, c’est la même histoire.
On découvre un médicament ou une opération très utile en cas d’urgence…
…et puis, progressivement, sans la moindre preuve scientifique, on étend son utilisation à tout le monde, dans la durée :
- Les anti-inflammatoires comme l’Ibuprofen devaient calmer une douleur aiguë et passagère… et puis on a commencé à en donner aux patients tous les jours, avec d’énormes risques de crise cardiaque et d’hémorragie grave pour les patients[10] ;
- Les médicaments anti-acides (IPP) étaient conçus pour être utilisés quelques semaines au maximum, le temps que la paroi de l’œsophage cicatrise… et maintenant, ils sont consommés pendant des années par des millions de patients, produisant des dégâts épouvantables sur le cœur, le cerveau et les reins[11] ;
- Les anti-dépresseurs étaient censés être utilisés en « dernier recours », en cas de risque de suicide avéré… puis ils ont été donnés à tout le monde au moindre « coup de déprime »… et même à des enfants, sans la moindre utilité et avec d’effrayants effets secondaires[12] !
Je pourrais aussi vous parler des antibiotiques utilisés à tort et à travers, ou des procédures de dépistage trop systématiques (prostate, mammographies, etc.).
À chaque fois, des interventions utiles dans des cas précis ont été abusivement généralisées, sans se préoccuper de savoir si cela en valait la peine !
Comme pour le stent, on a joué aux « apprentis sorciers » : on a minimisé les risques de la procédure ou du médicament, et on en a exagéré les bienfaits.
Heureusement, la science finit toujours par « siffler la fin de la récréation », et mettre les points sur les « i ».
Mais même quand les études scientifiques finissent par sortir, il faut attendre encore des années pour que les recommandations officielles soient modifiées, et que les médecins changent leur pratique.
Bonjour et vraiment merci pour ces articles même si les solutions ne sont pas faciles à trouver ( et à acheter).
J’ai été opéré il y a sept ans d’ un quadruple pontage coronarien. Une énorme douleur dans la rue et j’ai continué une dizaine de jours sans rien montrer avant d’aller voir mon cardiologue qui a aussitôt détecté la chose malgré une étonnante normalité par ailleurs ce qui a nécessité une coronographie au résultat sans appel .
Depuis toutes ces années le même traitement Kardégic 75 ( abaissé dans le temp) Bisoprolol2,5 Ramipril5 Atorvastatine 20 les noms des porduits chngent mais ce sont les mêmes.
Depuis plusieurs mois j’avais des pieds œdémateux surtout le gauche et de fortes douleurs souvent insupportable sur le côté des pieds et les chevilles , je ne suis pas douillet . Je suis un marcheur a la pratique quotidienne depuis mon opération et un grand plaisir à aller dans les hauts refuges des ÉCRINS ET DE LA VANOISE .Voyant les notices j’y ai trouvé toutes les descriptions de ce dont je souffrais. Je suis plutôt obéissant par rapport aux suivis d’un traitement de même que je ne suis pas un patient hospitalisé ennuyeux.
Il y a quinze jours j’ai tout arrêté , la statine face à l’impossibilité de savoir étant donné la complète opposition entre ma cardio qui dit “mais ça empêché des milliers de décès” et les recherches.
Depuis que j’ai arrêté mes pieds et le bas de mes jambes ont dégonflé ainsi que le douleurs et ne me reste plus que les bonnes vieilles douleurs dues à l’age j’ai 73 ans. Ma cardio surbookée ne me répond pas elle me semble pourtant une personne honnête et d’un abord facile et humain et un bon endroit pourtant à ce que j’ai expérimenté le CCN à Saint Denis où j’ai été opéré avant de partir pour un mois au centre de Tracy le Mont dans la la forêt de Compiègne où cela s’est merveilleusement bien passé. Ce que je veux exprimer c’est l’absence de fondement scientitifique ou rationnel dans la prise de ma décision et l’inquiétude rémanente qui en découle. Voila, je suis avec un intérêt passionné toutes les lettres , étant par toutes sortes d’anicroches d’existence après après avoir pourtant enseigné en fac et cherché j’ai une retraite ridicule en rapport avec toutes ces activités et les produits mentionnés sont très couteux.
Dans tous les cas merci pour toutes ces informations fondées que vous donnez afin qu’elle ne reste pas l’apanage de quelques sachants et non utilisées sur
une recherche scientifique qui communique directement aux bénéficiaires dans l’attente. Bonne journée à vous . Jean-Charles Berthier (je ne sais si ma lettre appelle un réponse c’était en tous cas une espèce de cri face à la solitude de cette prise de décision)
Merci pour cette lettre et ces informations judicieuses. J’aimerais bien vous lire aux sujet des médicaments anticoagulants de type oraux Comme Xarelto, un rivaroxaban qui empêche la formation de caillôt mais qui peuvent causer des hémorragies internes et qui en plus n’ont pas d’antidote. Je dois en prendre parce que je fais de la fibrillation auriculaire, mais je m’en passerais bien. Ne pourrais-je pas seulement fluidifier mon sang avec l’alimentation ( ail, etc ou des produits plus naturels. J’aimerais connaître les résultats de recherche sur les mortalité à cause d’hémorragie. Ce médicament ne me rassure pas
Merci
On m’a découverture insuffisance cardiaque pendant mon accouchement, depuis, je prend une dose non négligeable de médicaments, dont des anti coagulants et on m’a posé un défibrillateur sous cutané, en me disant que si je refusais, je mourrais entre 35 et 40 ans…. que puis je faire pour m’opposer aux cardiologues qui ne cessent de vouloir augmenter mes doses, sous prétexte que les médicaments ne sont efficaces qu’à haute dose?
que répondre à des médecins persuadés que l’implantation d’un défibrillateur est bénéfique pour moi, pour la science et pour leur carrière? Par quoi remplacer ces poisons? Je fais du sport, je mange sans sel et (presque) sans sucre, je fais attention à plein de paramètres mais je ne sais pas vers qui me tourner pour éviter de payer les conséquences de ce protocole médicamenteux qui n’est pas adapté à mon âge (37 ans).
merci de votre réponse
Mon conjoint a eu un stent après un infarctus le 21 sep 2018…bloqué à 99% et une autre a 50% sans stent??il prend 7 médicaments dont l,aspirine…pilule de pression, cholestérol. topicourt, nitro ..ect..en plus il doit faire partie de la recherche sur un médicament sans statine…(acide bempeboides).servir de cobaye…moi je suis enti`erement contre c,est du marketing selon moi..
jE PRENDS BONNE NOTE,mais ça ne dit pas ce qu’il faut faire, en cas hypertension arterielle a 23. je prends du cotriatec depuis le 13 fevrier dernier,merci de me donner votre avis D.M.
ayant des problemes de reflux , je dois subir une endoscopie , et je dois prendre inexium 20 , apres cette intervention je veux arreter inexium , par quel “remede” le remplacer ? J’ ai deja arrete tout remede pour la tension et remplacé par des gouttes de TENSIOFLOR avec succes , et pour le cholesterol quel remede naturel , merçi pour votre reponse
Bonjour, suite à votre lettre sur la cardiologie et la pose des stens j’ ai une question à vous poser.Mon mari a 79 ans , a subi une andoprothèse abdominale aortique il y a deux ans, suite à un important anévrisme, des stens sur l’artère poplité gauche , il faudrait faire la droite mais il réfléchit !!! et depuis 3 mois on lui parle de problèmes aux artère cérébrales ou là il n y aurait rien à faire même pas un traitement
est ce possible? Merci de votre réponse.
Merci beaucoup pour toutes les informations.. Pourriez vous m’indiquer les traitements naturels ( plantes huiles essentielles………) pour l’hyper tenions. Poitrine serré…….. D’avance merci merci
Bonjour
Jais été a l’hôpital pour la pose d’un stent
Suite a un infractus ma question est simple
La pose du stent a été un échec personne n’a répondu
A ma question ni l’hôpital ni mon cardio
Une question que je me pose et si jais été manipuler
Par une intervention bidon par cette hôpital
Et mon cardio jais l’impression d’avoir été un gain d’argent
Et non un malade la suite ni l’hôpital ni mon cardio on
Voulu me revoir les pompiers on jouer le rôle du médecin
Lorsque par la suite j’avais un pour très faible et de la tension
Les urgences après être sortie de cette hôpital
A été mon seule refuge aujourd’hui je vais mieux
L’arrêt du tabac ma beaucoup aider à avoir moin mal
A la poitrine la marche aussi j’arrive à monter 3 étages
Sans souffrir comme avant un miracle vu mon état désastreux a ma sortie de cette hôpital
C’était en 2019 conclusion vous devez seule maître
De votre corpsavec la volonté de réussir à vous sentir mieux
Avec le temps et de la chance vous irez mieux
Aujourd’hui je cour un peu des soins de 500 mètres
Une grande victoire pour moi vu que 4 pas me fatiguais
Mon avis est que trop d’hôpitaux profitent de votre état
Et en ne sachant pas pourquoi vous êtes en ambulatoire
Avec une sortie presque qu’à coup pompes dans le cul
Si exemple vous chercher à comprendre un échec
D’une pose d’un stent jammais un médecin
Vous répondras d’un coup sais le silence
Me conclusion soyer votre guide spirituel BET ne croyer
Qu’à votre pouvoir de guérison par la pensée et volonté
Dudier
super lettre d’information..;mais on ne parle pas des moyens pour contrer cet amas “graisseux” des artères…
bonjour Mr BAZIN ,
le lis vos lettres avec intérêt , méfiant de la médecine .
je souffre d’un diabète type 2 , que me conseillez-vous ?
codialemment