L’engrenage commence par une banale visite chez votre médecin, après 50 ans.
Peut-être avez-vous subi récemment une petite fracture, du poignet par exemple. Peut-être votre médecin apprend-il qu’un membre de votre famille s’est cassé le col du fémur. Ou peut-être vous juge-t-il simplement un peu trop maigre…
Il n’en faut pas plus, généralement, pour qu’il vous envoie faire une « mesure de la densité osseuse », une sorte de radio censée vérifier si vos os sont solides.
Vous vous exécutez de bonne grâce… Mais vous avez le malheur de ressortir de cet examen avec un « T-score » inférieur à – 2,5. Soudainement, vous tombez alors dans la catégorie des « malades » nécessitant un « traitement médicamenteux ».
Vous pensiez vous portez comme un charme ? Pas du tout : pour la médecine, vous êtes victime « d’ostéoporose » (ce qui signifie : « maladie des os poreux »).
Résultat : votre médecin commence par vous conseiller de manger plus de produits laitiers (« vos os ont besoin de calcium » !). Surtout, il vous place rapidement sous médicament. « Grâce à ces pilules, vous dit-il, vous aurez moins de risques de vous fracturer un membre ».
Vous vous sentez soulagé(e) ?
Eh bien vous ne devriez pas !!! Vous ne pouvez pas vous en douter, mais vous venez :
– D’accepter de prendre pour des années un médicament dangereux pour votre santé…
– Sur la base d’un examen (« la mesure de la densité osseuse ») tout sauf fiable…
– Tout cela, sans réduire réellement votre risque de vous fracturer un membre !
Et si votre médecin a le malheur de vous prescrire, en plus, un comprimé de calcium, c’est votre risque de crise cardiaque que vous pourriez augmenter !
Cela vous paraît fou ? Pourtant, comme vous allez le voir, tout ceci est scientifiquement établi.
Avoir des os solides, une question de vie ou de mort
Attention, je ne minimise pas les dangers de l’ostéoporose. Quand on est jeune, une fracture est généralement un « mauvais moment à passer ». Mais passé un certain âge, c’est une mésaventure qui peut… tuer !
Ce sont les statistiques qui le disent : si vous avez le malheur de vous fracturer la hanche après 65 ans, vous avez deux fois plus de risque de mourir prématurément ! Et je ne vous parle pas des conséquences sur votre qualité de vie : hospitalisation, handicap, dépendance, etc. [1]
Évidemment, votre risque de fracture ne dépend pas uniquement de la solidité de vos os. Si vous avez un bon équilibre, des muscles bien entretenus et une vue perçante, vous avez beaucoup moins de chances de faire une mauvaise chute… et donc de vous casser quelque chose.
Mais il est clair que vous mettez toutes les chances de votre côté si vos os sont suffisamment solides pour résister à une chute malchanceuse.
Malheureusement, ce n’est pas en suivant les recommandations officielles que vous renforcerez vos os… Bien au contraire !
Contre l’ostéoporose, boire du lait ne sert à rien
Contrairement à ce qu’on vous a répété pendant des décennies, boire du lait en quantité est inutile pour la santé de vos os.
Les chercheurs sans conflit d’intérêt avec l’industrie du lait le disent depuis des années. En 2010, l’un des nutritionnistes les plus reconnus au monde, le Pr Walter Willet, patron de l’Ecole de santé publique de Harvard, résumait ainsi ses recherches :
« Nous n’avons trouvé aucune relation entre la qualité de l’os chez la personne âgée et la consommation de laitages. L’ostéoporose devient un problème de plus en plus préoccupant avec le vieillissement de la population, mais quoi que dise l’industrie laitière, boire du lait n’est pas la solution. » [2]
Les études parues depuis n’ont fait que confirmer cette analyse. En 2015, le prestigieux British Medical Journal a publié une large revue d’études, dont la conclusion clôt définitivement le débat :
« La prise de calcium alimentaire n’est pas associée à un risque de fracture moins élevé, et il n’existe pas d’essai clinique prouvant qu’augmenter le calcium alimentaire prévient les fractures. » [3]
Je prends bien soin de citer les chercheurs, car je sais bien que beaucoup d’entre vous, chers lecteurs, auront du mal à me croire.
Car l’idée que le lait est bon pour les os est incrustée dans nos cerveaux depuis notre plus tendre enfance. Et ce n’est pas les grands médias qui vous sortiront cette idée de la tête : ils sont trop dépendants des pressions de l’industrie laitière (avez-vous remarqué le nombre de pubs pour les produits laitiers à la télévision ?).
La vérité scientifique ne fait vraiment pas les affaires des industriels. Car non seulement le lait ne « sert à rien », mais il pourrait même être nocif pour la santé de vos os !
C’est ce que suggère une autre étude publiée dans le British Medical Journal : après avoir suivi plusieurs dizaines de milliers de Suédois pendant des années, des chercheurs ont découvert que les femmes qui consomment trois verres de lait par jour (ou plus) ont un risque de fracture de la hanche « de 60 % plus élevé » que celles qui se limitent à un verre par jour maximum ! [4]
Encore plus impressionnant : les grandes buveuses de lait ont aussi un risque de décès « de 90 % plus élevé ».
C’est un paradoxe en apparence… mais vous allez voir que cela n’a rien de mystérieux.
Vous n’avez pas besoin de tout ce calcium !
La réalité est simple : oui, vos os ont besoin de calcium, mais non, ils n’en n’ont pas besoin d’une quantité démesurée.
En fait, vous n’avez même pas besoin de produits laitiers pour ingérer la quantité journalière de calcium dont vos os ont besoin.
C’est une bonne nouvelle pour les milliards d’Asiatiques et d’Africains qui ne tolèrent pas le lactose : ils ne sont pas condamnés à finir avec des os de verre !
Notez d’ailleurs que les Japonais ont nettement moins d’ostéoporose que les Européens, alors qu’ils ne consomment pas une goutte de lait !
Car on oublie souvent que certains légumes sont extrêmement riches en calcium. C’est notamment le cas de toutes les variétés de choux, la palme revenant au chou chinois, qui en contient davantage que le lait [5]. On trouve aussi des bonnes doses de calcium dans les sardines ou les eaux minérales.
A l’inverse, consommer trop de calcium peut être dangereux pour votre santé, et même vous conduire à l’infarctus.
La raison est simple : votre calcium peut venir renforcer vos os (ce qui est une bonne chose !), mais il peut aussi venir se déposer… sur vos artères ! Dans ce cas, vos artères deviennent plus « rigides » et plus vulnérables au risque de caillot… et d’infarctus.
Voilà pourquoi des chercheurs d’Écosse et de Nouvelle Zélande ont découvert que ceux qui prennent régulièrement un complément alimentaire de calcium ont presque deux fois plus de chances d’avoir une attaque cardiaque que ceux qui n’en prennent pas. [6]
Retenez donc trois choses :
– Vous n’avez pas besoin de lait pour protéger vos os – vous pouvez trouver suffisamment de calcium dans votre alimentation ;
– Consommer trop de lait pourrait même être contre-productif pour vos os, (vraisemblablement par son effet acidifiant et pro-inflammatoire) ;
– Et en dehors de carence avérée en calcium (très rare), il est dangereux pour le cœur d’augmenter sa dose quotidienne de calcium, surtout si vous en prenez sous forme de complément alimentaire.
Malheureusement, le Ministère de la Santé continue de soutenir les fameux « trois produits laitiers par jour » et la supplémentation de calcium.
Et ce n’est que le début de la scandaleuse désinformation médicale sur l’ostéoporose.
A savoir avant de passer cet examen médical
Quand on vous prescrit une « mesure de densité osseuse », ce qu’on se garde bien de vous dire, c’est que cet examen est spectaculairement peu fiable.
Une chose devrait toutefois vous mettre la puce à l’oreille : si vous êtes amené à faire le test une deuxième fois, votre thérapeute vous demandera de le faire impérativement sur le même appareil que la première fois.
Pourquoi ? Parce que vous pouvez obtenir des résultats très différents selon l’appareil que vous utilisez ! Pas très « scientifique », n’est-ce pas ?
Autre problème de taille : cet examen est incapable de déceler si vous avez des os larges ou des os fins. Pourtant, comme vous pouvez l’imaginez, plus vos os sont larges, moins vous avez de risques de fractures.
Encore plus grave : cette mesure ne dit rien de la flexibilité de vos os. C’est bien d’avoir des os « denses » et donc bien rigides, mais pour absorber un choc et éviter la fracture, il faut également qu’ils soient malléables (essayez donc de casser un roseau !). Or cela, l’examen ne vous le dit pas. [7]
Au total, la Haute Autorité de Santé elle-même reconnaît que ce test échoue à repérer la moitié (!) des patients ayant de l’ostéoporose [8]. Ne comptez donc pas sur cet examen pour vous prédire avec précision votre risque de fracture !
Certes, tout cela ne serait pas très grave si ce test n’était qu’une indication, un petit signal d’alerte vous encourageant à mieux prendre soin de vos os.
Mais la réalité est que c’est un critère « diagnostic » qui conduit le médecin à vous déclarer comme « malade » et à vous prescrire des médicaments… effrayants !
Des médicaments qui augmentent votre risque de certaines fractures !!!
Les médicaments anti-ostéoporose sont l’exemple le plus caricatural de l’incroyable arrogance de la « médecine » moderne – et de la cupidité sans limite des laboratoires pharmaceutiques.
Car ils viennent perturber de façon grossière un processus naturel et complexe, le « remodelage osseux », ce processus qui permet à vos os de se régénérer.
Comme un chantier en travaux, vos os se renouvellent en permanence : vous avez des ouvriers spécialisés qui s’occupent de détruire les parties du bâtiment qui partent en ruine et de retirer les gravats (vos cellules « ostéoclastes ») et puis vous avez d’autres ouvriers chargés de la construction des murs neufs (vos cellules « ostéoblastes »).
C’est un processus naturel bien huilé dans lequel les « destructeurs » et « constructeurs » fonctionnent dans une belle harmonie pour améliorer la santé de vos os.
Et ils travaillent si bien qu’ils renouvellent entièrement votre squelette tous les 10 ans !
Malheureusement, à mesure que vous vieillissez, les pertes osseuses l’emportent sur le renouvellement – les ostéoclastes deviennent plus actifs que les ostéoblastes.
Vous pouvez ralentir ce processus avec une bonne hygiène de vie, mais vous ne pouvez pas l’empêcher totalement. Et empêcher les ostéoclastes de faire leur travail n’est pas une bonne idée, car vous ne pouvez pas construire du neuf sans détruire l’ancien au préalable… ou alors vous déséquilibrez gravement votre ouvrage.
De fait, les ostéoclastes (destructeurs) sont utiles, car ils empêchent l’os trop vieux et usé de s’accumuler dans votre squelette.
Mais l’industrie pharmaceutique ne s’embarrasse pas de ce genre de subtilité. Lorsqu’elle a découvert par hasard une molécule ralentissant l’action de ces ostéoclastes, elle s’est dit que l’occasion était trop belle pour créer un médicament contre l’ostéoporose !
Pour obtenir le feu vert des autorités, il lui suffisait de montrer que ces médicaments (les « bisphosphonates ») réduisaient modestement le risque de fracture à court terme.
C’est effectivement le cas. Mais l’effet est plus que limité : d’après une toute récente étude du British Medical Journal, publiée en 2015, il faudrait traiter 175 femmes ayant une fragilité osseuse pendant 3 ans pour éviter une seule fracture de la hanche ! [9]
Et le problème est que ces médicaments ne se contentent pas d’être inefficaces. Comme toujours lorsqu’on interfère de façon aussi brutale avec un processus complexe et naturel, les effets indésirables finissent par apparaître.
Et le plus ironique d’entre eux est que ces médicaments finissent par rendre les os plus fragiles, en empêchant la destruction (et donc le renouvellement) des parties les plus abîmées et les plus usées.
Au départ, ces médicaments rendent vos os plus denses, plus rigides… mais ils finissent par nuire à leur qualité, et probablement à leur souplesse, indispensable pour absorber les chocs. [10]
Résultat : une étude publiée en 2012 dans Archives of Internal Medicine (JAMA) a découvert que ceux qui prenaient ces médicaments avaient plus de risques d’être victimes de « fractures fémorales atypiques ». Plus ces médicaments étaient pris sur longue durée, plus le risque était élevé, même si le nombre total de ces fractures restait limité. [11]
Ce serait déjà une bonne raison de se méfier de ces médicaments. Mais si l’on ajoute à cela leurs autres effets indésirables, il est clair qu’il faut les fuir !
Risque de cancer, toxicité pour les reins, le cœur et les yeux…
Voici les dangers répertoriés à ce jour. La liste est déjà longue, mais je suis persuadé, hélas, qu’elle continuera de grandir dans les années qui viennent :
– Maladie du cœur : une association statistique claire a été trouvée entre la prise de ces médicaments et la « fibrillation auriculaire » , un trouble du rythme cardiaque ; [12]
– Cancer : la prise de ces médicaments au long cours double le risque du cancer de œsophage ; [13]
– Reins : ces médicaments peuvent causer des dysfonctions rénales, raisons pour laquelle ils sont contre-indiqués à ceux qui ont des reins en mauvaise santé ; [14]
– Yeux : la prise de ces médicaments peut causer des maladies inflammatoires des yeux comme l’uvéite ou la sclérite ; [15]
Et je ne vous parle pas des troubles intestinaux que ces médicaments provoquent chez la plupart des patients (nausées, brûlures d’estomac, indigestion, etc.), ni des cas de nécrose de la mâchoire, rares mais horriblement douloureux.
Et tout ça pour quoi ?
Pour des effets au mieux modestes (et au pire totalement inexistants à long terme) sur votre risque de fracture. C’est un gâchis insensé !
Car ces traitements « officiels » ont en plus le grave défaut d’éclipser les stratégies les plus efficaces pour avoir des os en bonne santé, 100 % naturelles et 100 % sans effets secondaires !
J’y reviendrai, mais sachez déjà que les deux meilleurs « médicaments » pour avoir des os solides sont… l’activité physique et le soleil !
Bonjour.
Je me reconnais tout à fait dans ce que je viens de lire au sujet des traitements contre l’ostéoporose.
Mon médecin m’a effectivement prescrit un traitement (raloxifene plus du cacit) .
Vous venez de lever un doute que j’avais au sujet de ce traitement.
Mon médecin m’a dit qu’il faudra que j’arrête celui ci d’ici deux et en prendre un autre. Il m’a dit qu’à long terme on ne connaissais pas vraiment les effets indésirables.
Je pensais arrêter ce traitement, mais puis je le faire sans avis médical ?
bjr bien sûr vous êtes libre de ne pas accepter des cochonneries à prendre pour avoir pire! et des effets secondaires horribles! Comme les gens qui écoutent les docteurs de big pharma et prennent des anti bio et d’autres les mettent à la poubelle et soignent par ex une sinusite avec des infusions de thym , etc… après chacun son choix de croire en son médecin! D’ailleurs le votre il est honnête il dit bien qu’on ne connait pas les effets secondaires, il suit big pharma car formé à la fac pour donner des produits des labos chimiques, mais certains médecins qui ont une ouverture soignent avec des produits naturels sans effets secondaires et avec des résultats probants!!
Merci pour votre bon sens et votre capacité à communiquer votre savoir. En un mot merci à vous et aux autres d’être là pour nous. Votre approche du patient « dans sa globalité » et de sa »pathologie » me paraissent intéressantes et prometteuses, ça nous redonne espoir . Je vous remercie pour votre engagement et votre devouement afin d’aider votre prochain. Je reconnais en vous l’ âme du » soignant « . Ça me fait vraiment chaud au coeur! Bien à vous.
Merci pour cet article fort intéressant.
Ainsi les laboratoires pharmaceutiques font feu de tout bois pour faire du fric même si c’est au détriment de notre santé.
Merci beaucoup pour cette information qui confirme ce que je sais depuis longtemps. J’adore ce genre d’article bourré d’information précieuse. Aucun animal adulte dans la nature ne boit de lait… de plus le lait est maintenant dénaturé, dégraissé, pasteurisé et surtout exempt de l’excellent glutathion qui en faisait un aliment de qualité qui agissait comme protecteur de notre organisme naturellement. Lorsque le lait a commencé à être pasteurisé au Québec dans les années ’50, il a été remarqué dans les orphelinats que ceux qui avaient opté pour le pasteurisé avaient un taux élevé de bronchite, de pneumonie, de grippe et de tuberculose contrairement à ceux qui avaient continué avec le lait cru, donc avec glutathion.
Bonjour,
merci pour vos informations, elles me sont précieuses, vos revue j’en ai fait ma lecture journalière
je prends personnellement en cure d’1 an
de la Chondroïtine sulfate 1200 mg
de la Glucosamine sulfate 1500 mg
de de la vitamine C 12 mg
tout cela dans deux tablettes, car j’ai lu que pour être efficace il fallait cette soit au mois sur 1 an à renouveler
Je fais des cures d’harpagophytum et de sicile en plus à l’approche du printemps pendant 3 mois
Je suis très active (jardinage+marche…)
j’aimerai savoir si ma façon de faire est très judicieuse et efficace
merci pour tout
par ailleurs , j’aimerai pouvoir vous contacter sur le lévothyrox nouvelle génération
Comment puis je procéder ?
Bonjour, cet article m a plu ; manipulatrice en radiologie conventionnelle je fais passer des ostéodensitométries aux patientes et patients ; je me suis renseignée sur les médicaments prescrits pour cette maladie silencieuse comme on l appelle et j ai vite compris qu ils ne servaient non seulement à rien mais entrainaient des effets secondaires que moi meme j ai refusé de prendre Optruma car j ai une DO faible ; dans les excipients il y a du dioxyde titane et encre a imprimer c est de la folie respectueusement
bsr Ravir de lire quelqu’un qui n’est pas un mouton, et qui a une ouverture et qui prend conscience qu’on nous empoisonne….
Et puis l’ostéodensitométrie n’est pas fiable, ils ne tiennent pas compte des petits , moyens et larges squelettes ce qui fausse tout!!
Je connais quelqu’un qui est tombée plusieurs fois qui ne s’est jamais rien cassé de sa vie, avec des os bien costauds, et du fait qu’elle a un petit squelette en passant l’ostéodensitométrie, on lui révèle une ostéoporose bien avancée!! La personne heureusement a un bon médecin qui lui a donné par précaution de la vitamine K2 de la D3 car elle en manquait dans ses analyses du magnésium et elle va très bien et toujours rien cassé!! elle va repasser ailleurs une ostéo et je suis sure que le résultat ne sera même pas le même! Mais elle va s’amuser à en repasser une autre pour voir….
bonjour, vos articles sont interressant et plein de bon sens. Je n’y connais absolument rien mais il me semble que pour garder de bons os il faut se depenser physiquement, c’est comme pour les dents à force de manger « mou » les dents se dechaussent, alors que si l’on mache ses aliments les dents restent plus longtemps accrochées à votre machoire. Il est vrai que les lobbies, quels qu’ils soient sont devastateurs pour la santé et pour l’economie, bien entendu pas pour tous. Je lis vos commentaires avec plaisir mais par ailleurs ce n’est evident de prendre le temps de prendre soin de soi avec la pression quotidienne que chacun doit supporter. L’Etat le sait bien et en profite.
Excellente rubrique ! Etant instructeur Moto Camion et Sportif A.d.e.p.s. ( Belge) je recommande vos avis ! ?
Bonjour,
je comprends que vous cherchiez à vendre votre publication mais trop de laius est contre productif : dommage car vous avez probablement raison sur le fond : les généralistes ne sont pas bons médecins : ils semblent ignorer que la vitamine D fixe le Ca sur les os par ex et il est nécessaire de vérfier cette teneur en vitamine D (FACILE)
MAIS vous n’en parlez pas non plus
faudra attendre un autre « laius » ?
bien cordialement
LA VITAMINE D EST ESSENTIELLE OUI SANS ELLE LE CALCIUM SE FIXE NON PAS DANS LES OS MAIS DANS LES ARTERES DONC FAUT VERIFIER LA VITAMINE D ET SE SUPPLEMENTER SI BESOIN
BEAUCOUP DE MEDECINS NE VERIFIENT MEME PAS LA VITAMINE D
DE PLUS LES GENS QUI ONT BEAUCOUP DE VITAMINE D SONT CEUX LA QUI N’ONT PAS LE CANCER CETTE VITAMINE D EST TRES TRES IMPORTANTE JE NE FERAIS PAS ETALAGE ICI DE SES QUALITES MAIS CE QUE VOUS DITES EST VRAI
Bonjour, oui ce que vous dites est juste. Mais aujourd’hui au sujet de la densitometrie ils ne la font plus aussi facilement. Pour y avoir droit il faut répondre à plusieurs critères :
– avez-vous été ménopausée très tôt ?
– avez-vous des entécédents de fractures de la hanche ? Et autre….
Merci, cordialement ,
Sarah..