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Aujourd’hui, je vais me mettre « tout nu » devant vous.

Pas par goût de l’exhibitionnisme… mais parce que mon « cas » et les erreurs que j’ai commises vous permettront peut-être d’améliorer votre santé à vous !

Et puis, depuis le temps que je vous écris, vous avez bien le droit d’en savoir un peu plus sur moi.

Jusqu’à l’âge de 30 ans, je n’ai pas vraiment ménagé ma santé.

Déjà, je fumais tous les jours.

Oh, pas comme un pompier, mais tout de même 4 à 5 cigarettes par jour… qui montaient vite à 10-20 en cas de soirées entre amis (bien arrosées, avouons-le).

J’ai commencé à fumer le jour où j’ai partagé ma vie avec une vraie fumeuse. Et j’ai arrêté d’un coup, des années plus tard – lorsque j’ai rencontré mon épouse Jade qui n’a jamais fumé.

(Je suis l’illustration parfaite de la théorie d’une de mes amies spécialistes des statistiques de santé, qui a montré que fumer – et arrêter de fumer – dépend beaucoup de votre entourage : c’est « contagieux » !).

Mais au moins, je savais que fumer n’était pas bon pour moi.

Ce qui était plus ennuyeux, c’est le mal que je me faisais en toute bonne conscience.

Ces glucides qui rendent gros et malade

Cela peut paraître fou, mais je n’avais pas la moindre idée du danger que représentent les glucides à indice glycémique élevé.

Pommes de terre, pain, riz blanc, pâtes : je les dévorais d’autant plus fréquemment que c’est la nourriture de base de l’étudiant – et j’ai été étudiant (trop) longtemps !

Je ne savais pas encore que ces aliments rendent obèses, abîment le cerveau, et sont le carburant de graves maladies comme le cancer.

Il faut dire que mes parents n’étaient pas particulièrement en pointe sur la nutrition.

Ma mère, que j’adore, me pardonnera de vous confier cette petite anecdote. Un jour où elle avait préparé un poulet au riz basmati et que je lui demandais si elle avait fait des légumes, elle m’a répondu « eh bien oui, il y a du riz ! ».

Aujourd’hui encore, je suis encore éberlué du nombre d’amis et collègues qui ne voient pas du tout le « problème » de ce type de féculent…

…mais quand, sur mes conseils, ils se décident à les écarter de leur assiette… ils perdent en quelques mois 4, 8, voire 10 kilos sans le moindre régime ni effort particulier !

Jusqu’à mes 30 ans, je n’imaginais pas non plus que le sucre « pur » était l’ennemi absolu.
Je sucrais mon café avec plaisir et sans arrière-pensée (alors qu’aujourd’hui le goût du café sucré m’est abominable !). Je prenais des desserts sans mauvaise conscience.

Je pensais que le seul « problème » du sucre ajouté était le risque de grossir – et comme mon métabolisme de garçon de 25 ans en bonne santé me permettait d’absorber cet excès de sucre sans accumuler trop de graisse, je ne me faisais pas de « bile ».

Ah, et puis mon petit-déjeuner était du grand n’importe quoi : j’avalais des petits pains au lait industriels sur lesquels j’étalais une bonne dose de confiture, tout cela accompagné d’un bon jus d’orange.

Bref : une bombe à sucre, tartinée d’une bombe à sucre, et arrosée d’une bombe à sucre !
Difficile de faire pire, n’est-ce pas ?

C’était un petit-déjeuner sans gras ni protéine, qui fait grimper le sucre sanguin, fatigue le pancréas, augmente l’inflammation de l’organisme et provoque une hypoglycémie 2 à 3 heures après – le fameux « coup de barre » de 10-11h.

(Remarquez, je ne sais pas ce qui est pire entre ça et le petit-déjeuner que je prenais quand j’étais lycéen : lait chaud pasteurisé non bio mélangé avec des céréales industrielles ultra-sucrées).

Et pourtant, je suis aujourd’hui convaincu que ce n’est même pas ce que j’ai fait de pire pour ma santé.

Jusqu’à 30 ans, un corps en bonne santé peut absorber beaucoup d’excès sans trop de problèmes.

Bien sûr, avec mes cigarettes et tout ce sucre, j’étais la cible idéale pour les infections en tout genre : gros rhumes l’hiver causés par l’humidité, gros rhumes l’été causés par la « clim ».

J’avais donc de bonnes « crèves » 3 à 4 fois par an – que je soignais à coup de Doliprane, sans réaliser le mal que je faisais à mon foie, inutilement.

Mais il n’y avait rien d’insurmontable : dès que j’ai adopté de meilleures habitudes, j’ai effacé ce « passif » en quelques mois.

En revanche, il y a des choses que l’on surmonte plus difficilement.

La boisson qu’il ne faut JAMAIS consommer

Cela va peut-être vous paraître bénin, mais pendant toutes ces années de jeunesse, j’ai bu du Coca Light tous les jours.

Pour profiter pleinement de mes cigarettes, j’avais besoin – allez savoir pourquoi – d’avaler une gorgée de certaines boissons entre chaque bouffée : café, boisson alcoolisée… ou Coca cola !

Pour mes cigarettes d’après-dîner (mes « meilleures »), j’avais donc un rituel bien établi de cigarettes accompagnées de Coca Light.

Sans le savoir, j’étais en train de ravager le « quasi-organe » le plus important de notre corps : la flore intestinale

C’est « l’organe » que vous ne devez jamais endommager, à aucun prix (voir ma lettre à ce sujet).

Depuis quelques années, les preuves sont claires : malgré les dégâts causés par le sucre, l’aspartame du Coca Light est encore pire que du Coca sucré !

L’édulcorant qui détruit le microbiote et donne le diabète

Évidemment, pour protéger leurs business, les industriels ont toujours balayé d’un revers de main les dangers possibles de l’aspartame.

Mais en 2014, la plus prestigieuse revue au monde (Nature) a fini par révéler le pot aux roses.

Des chercheurs ont abreuvé des souris en sucre « normal » et en édulcorants artificiels (saccharine, sucralose… et aspartame)[1].

Et ils ont obtenu un résultat clair et net : les souris nourries aux sucres chimiques ont vu leur flore intestinale encore plus ravagée que celles nourries aux sucres naturels.

Résultat : ces souris victimes de l’aspartame étaient devenues incapables d’assimiler correctement le vrai sucre… ce qui est la première étape vers le diabète… et toutes sortes de graves problèmes de santé !

L’effet a été confirmé chez les êtres humains par des chercheurs de l’Inserm.

En analysant les dossiers de 66 000 femmes sur 20 ans, ils ont découvert que celles qui buvaient des boissons contenant des édulcorants (typiquement, le Coca light) avaient deux fois plus de diabète que celles qui prenaient des boissons sucrées[2] !

Et comme si cela ne suffisait pas, on sait aujourd’hui que l’aspartame se convertit dans le corps en glutamate – un autre additif industriel qui cause de vrais dégâts… au cerveau !

Serait-ce un des « ingrédients » qui a contribué à dégrader mon état de santé ?

Mystère : qu’est-ce qui m’a fait « plonger » ?

Mes problèmes de santé ont vraiment commencé à l’âge de 23 ans.

Soudainement, j’ai eu de plus grandes difficultés à me concentrer. Je me réveillais nettement moins « régénéré » qu’avant.

J’ai ensuite commencé à avoir des vertiges, des malaises vagaux, et de vrais troubles du sommeil (un médecin m’a même diagnostiqué une narcolepsie, avant de faire marche arrière).

Puis, ce fut la descente aux enfers, avec de fortes fluctuations hormonales, une irritabilité démesurée et surtout, surtout : un brouillard cérébral, intermittent mais très handicapant.

Certains jours, c’était comme si j’avais perdu 30 points de QI d’un coup : je mettais 30 minutes pour accomplir un travail que j’expédiais en 5 minutes en temps normal.

La médecine n’a jamais trouvé ce que j’avais – et ce ne fut pas faute de chercher !

Aujourd’hui, tout n’est pas parfait, mais je vais beaucoup mieux, grâce à ma nouvelle hygiène de vie et mes remèdes naturels.

Mais je continue à me demander quelles autres erreurs j’ai pu commettre, quels poisons peuvent produire un état pareil.

Il est possible que les amalgames dentaires au mercure que j’ai dans la bouche ne m’aient pas aidé.

Je vous renvoie à ma lettre détaillée sur le sujet : chez une petite proportion de gens « malchanceux » génétiquement, les « plombages » peuvent produire très exactement les symptômes dont je suis affecté.

C’est rare, mais cela arrive – alors choisissez toujours d’autres matériaux pour réparer vos caries !

Une autre erreur que j’ai commise, c’est d’avoir fait le rappel d’un vaccin contenant de l’aluminium.

Un rappel vaccinal pas totalement anodin

Je vous ai déjà parlé de l’incroyable parcours du Pr Gherardi, de l’hôpital Henri Mondor.

Ce grand médecin a prouvé par A + B que l’aluminium des vaccins pouvait créer de toutes pièces une maladie nommée myofasciite à macrophage.

Cela arrive très très rarement, heureusement… mais quand ça tombe sur vous, cela fait très mal.

Et il se trouve que cette maladie cause exactement les mêmes symptômes que les miens… généralement en beaucoup plus grave.

Ceux qui ont été diagnostiqués ont généralement dû arrêter de travailler, et vivent d’allocations liées à un handicap.

Se pourrait-il que mon problème soit une forme atténuée de cette maladie ?

Peu avant que mon état de santé ne se dégrade, mon médecin m’a diagnostiqué d’une petite « virose », une infection indéterminée.

Et savez-vous quelle « bonne idée » ce médecin a eu, alors que mon système immunitaire était déjà bien « occupé » à combattre ce virus ?

Elle a décidé de m’injecter un rappel du vaccin DTP ! Et pas n’importe quel vaccin : le Revaxis, qui contient de l’aluminium !

Alors je sais bien qu’il y a 1 chance sur 10 que ce soit ça la source de mes problèmes… mais je suis quand même troublé par la chronologie des évènements : c’est juste après ce vaccin que tout a commencé !

Pas de sentiment de « revanche », juste de l’analyse !

Je précise que je n’ai aucun sentiment « hostile » vis-à-vis du corps médical, qui m’a toujours très bien traité (même s’il n’a pas trouvé ce que j’avais).

Malgré ma santé imparfaite, je remercie le ciel tous les jours de la chance que j’ai.

J’ai une famille formidable, des amis incroyables, une « mission de vie » qui me passionne – celle de vous informer…

…Et cette mission m’est venue « grâce » à mes propres problèmes de santé ! Il m’arrive même de leur dire « merci » !

Alors soyez donc rassuré sur un point : tout ce que je vous écris vient de recherches approfondies et d’analyses rationnelles, et non pas de « comptes à régler » avec qui que ce soit.

Mon vœu le plus cher, c’est de vous être utile.

PS : si jamais mes lettres vous ont apporté un petit « mieux » dans votre vie, si jamais j’ai pu contribuer à améliorer votre santé, auriez-vous la gentillesse de me le dire en commentaire de cet article? Il n’y a pas plus belle récompense du travail que je fournis.

437 commentaires

  • otraga dit :

    Merci beaucoup pour cette mine d’infos.
    Dieu vous garde.
    Cordialement

  • Valou dit :

    Merci pour vos informations utiles au quotidien

  • Titouah dit :

    Merci infiniment pour vos lettres et vos recherches qui nous aident à nous protéger ainsi que nos enfants des maladies dites de civilisation. Je souhaiterais m’abonner mais ma situation actuelle est trop précaire pour supporter cette nouvelle charge, bien que son prix soit très raisonnable. Je travaille à l’améliorer pour pouvoir continuer à m’informer et approfondir ces connaissances essentielles. Merci mille fois de m’avoir insufflé votre passion pour les médecines alternatives !

  • Aurélie Rousseau dit :

    Bonjour,
    Je tiens à vous remercier pour vos lettres qui m’ont beaucoup apporté tant sur le plan physique que mental.
    Je me suis également rendu compte que mon hygiène de vie était déplorable, j’ai entrepris par la suite un changement radical grâce à vos nombreux conseils ainsi que vos revues que je recommande à tous ceux qui souhaitent retrouver une santé optimale tout en prenant conscience que le recours à l’allopathie n’est pas systématique.
    Encore merci à vous pour votre travail de qualité,
    en vous souhaitant une bonne continuation,
    Amicalement,
    Aurélie

  • Anne St Leonard dit :

    Bonjour M. Bazin,
    je lis toujours avec intérêt vos lettres d’information. Toujours intéressantes, tant au niveau du fond que de la forme. Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le courage avec lequel vous dites les choses. C’est tellement exceptionnel dans votre profession ! Et vous n’hésitez pas non plus à faire votre mea culpa, en parlant des erreurs que vous avez vous-même commises. Cette honnêteté intellectuelle, ce courage et cette lucidité vous honorent.

  • Frédérique GALERON dit :

    Bonjour, je bois du coca zero tous les jours, est ce qu il est bien different du coca light ou pas? merci

  • Stéphane Kassian dit :

    Bonjour Xavier, je suis toujours étonné de vous lire sans avoir au bout de la lettre une démarche commerciale. Vous êtes donc pour moi un précieux conseillé, parfois même in lanceur d’alerte ! Les personnes comme vous sont rare et je le répète, précieux !
    Je serais donc toujours fidèle et avide de vos lettrres !!
    MERCI ENCORE ET MÊME SI ON NE L’ENTEND PAS SUR CE POST JE VOUS APPLAUDIS DEBOUT.
    Prenez soin de vous

  • Liza dit :

    bonjour Xavier
    je lis votre lettre sur votre vie et je vous plain et puis j’avance dans ma lecture et je vous comprend , je continue de vous lire et je souris ! je suis complétement dans la même optique que vous ! mon parcours est très chaotique aussi , j’ai une fibromyalgie ! je vous passe le parcours du combattant et les visites successives chez les médecins pour finalement arriver au bout de 10 ans a ce diagnostique qui ne change rien car c’est une maladie incurable ! mais le fait de savoir et de poser un nom sur des maux rassure et enlève un gros poids de sur les épaules ! et on peu même dire que je vais mieux rien que de savoir que je ne suis pas folle ! car les médecins ont vite fait de vous dire ” c’est dans la tête ” !!! c’est pas honteux pour eux de se cacher derrière cette phrase si facile pour dire ” je ne sais pas ” et s’ils disaient plutôt ” je ne sais pas , mais je vais chercher et ensemble on va trouver ” on ne sortirait pas plus rassurés de chez notre medecin ?
    bon tout ça pour dire que la fin de votre lettre me plais car vous finissez en disant ” merci ” quel joli mot !!!
    cet état d’esprit vous empêche d’avoir d’autres maux ! car la rancœur , la colère et la haine font plus de mal a celui qui l’éprouve qu’a ceux a qui elles sont destinées !
    merci pour vos lettres elles font du bien !!
    et nous sommes sur la même longueur d’onde !

  • FIVET dit :

    Bonjour Monsieur,
    malgré le manque de temps, je prends toujours plaisir de vous lire. Votre revue me permets de rester au courant des nouveautés, des recherches et autres. Je me retrouve totalement dans votre description mais pour moi, cela a commencé vers 45 ans. Vous avez totalement raison sur tous les produits sucrés et le coca zéro. J’en suis bien consciente mais je n’arrive pas à trouver de solution. On dirait que je suis en manque, dépendante. Je suis terriblement fatiguée. J’ai déjà fait un gros burn-out en 2011. En mai 2019, j’ai à nouveau rechuté mais pas de la même manière. J’ai l’impression que la fatigue me ronge de l’intérieur. Depuis juin 2020, j’ai pu reprendre un mi-temps médical mais je suis toujours très faible. Ici, je viens de terminer mes 3 semaines de maladie pour COVID-19. Malgré la prise de vitamine D3 liposome 3000 et du Vinalac. J’ai 51 ans. Bien entendu, je l’ai transmis à mon mari âgé de 67 ans et diabétique de type 2. Donc, plus sujet à risque que moi. Ses symptômes ont duré 3 jours et moi, 3 semaines. Je ne comprends plus rien. Et comme vous, j’ai fait tous les examens possibles et imaginables. J’ai juste une Cipap pour les apnées du sommeil. Cela fait 2 ans, et je ne vois toujours pas d’amélioration à mon réveil. Sommeil pas du tout réparateur. Je suis maintenant suivie par une neuropsychologue mais il faut tout recommencer à zéro car avec le Covid, je suis toujours très faible et fatiguée. Je vais essayer du Glutathion Liposome. Si vous pouviez m’aider sur votre processus de guérison. Avez-vous eu une aide pour arrêter le sucre ? J’ai essayé la Berberine mais sans succès. Si vous pouviez donner une suite à mon mail, j’en serais ravi. N’abandonnez pas cette revue. Je suis certaine que vous avez beaucoup de lecteurs et ne faites pas attention aux détracteurs. Au plaisir de vous lire

  • CANAT dit :

    Bonjour,
    Merci Xavier de tout ce que vous faites pour aider les personnes en souffrance. personnellement cela m’a aidé dans ma lutte contre une Borréliose de Lyme chronique qui m’a ravagé la santé bien malgré moi depuis plus de 16 ans malgré mes efforts de diététique à l’époque. Mais par la faute d’un médecin non formé à cette maladie et qui n’a pas voulu la reconnaître, j’ai basculé dans l’enfer. Si j’en sort péniblement aujourd’hui, c’est un peu grâce à vous que je le dois.
    Merci encore de vos efforts à nous donner les bonnes informations alternatives à la médecine officielle uniquement commerciale et non humaine.
    Bien cordialement

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