Un médecin indépendant de l’industrie pharmaceutique a découvert une autre voie que les vaccins pour combattre les maladies infectieuses et protéger nos enfants.
Une voie respectueuse des équilibres de notre corps, sans effet indésirable… et redoutablement efficace !
Le Dr Panigrahi, ce héros des temps modernes
Retenez-bien ce nom : Dr Pinaki Panigrahi.
Peut-être remplacera-t-il Louis Pasteur dans les manuels de médecine de l’an 2050.
Le Dr Panigrahi a grandi en Inde, où il a décroché son diplôme de médecin pédiatre. Puis il est parti aux États-Unis pour compléter ses études et faire de la recherche scientifique.
Mais il n’a jamais oublié d’où il venait.
Il est resté traumatisé par le niveau dramatique de la mortalité infantile en Inde : sur 1 000 bébés qui naissent, 40 trouvent la mort.
Et l’un des principaux « coupables » de toutes ces morts, c’est la dangereuse septicémie.
La septicémie, c’est une « banale » infection qui tourne mal. La bactérie passe dans le sang et menace d’infection généralisée.
Quand cela touche un nourrisson, c’est particulièrement grave, car son organisme est encore très fragile.
Même dans les pays occidentaux, des dizaines de bébés (souvent prématurés) meurent chaque année de septicémie.
Mais en Inde, le nombre de morts s’élève à plusieurs centaines de milliers !
Voilà pourquoi le Dr Panigrahi a tout fait pour trouver une solution.
Mais plutôt que de chercher un « vaccin miracle », il a choisi une autre voie beaucoup plus prometteuse.
Il a puisé son inspiration dans la médecine traditionnelle de son pays, l’ayurvéda, qui remonte jusqu’à l’an 6 000 avant notre ère.
Dans l’ayurvéda, on valorise depuis des millénaires la consommation d’aliments fermentés. Ce serait la « meilleure protection contre les maladies ».
Récemment, la science moderne a compris pourquoi : parce que ces aliments contiennent des « bonnes bactéries », capitales pour la santé de notre flore intestinale.
Et si vous avez une bonne flore intestinale, riche en bactéries issus d’aliments fermentés, c’est presque toujours la garantie d’une santé éclatante !
Ces « bonnes bactéries » qui guérissent, on les appelle aujourd’hui des « probiotiques ».
Et le Dr Panigrahi était convaincu qu’il pourrait sauver des milliers de vies si seulement on donnait aux bébés le « bon » probiotique.
Il a surmonté tous les obstacles pour faire sa découverte révolutionnaire
Mais il lui a fallu énormément de courage, d’intelligence et de détermination pour réussir à le prouver.
Car les probiotiques ce sont des médicaments 100 % « naturels », qui ne peuvent pas être brevetés.
Cela veut dire que l’industrie pharmaceutique ne dépensera jamais un centime pour faire des recherches sur leur efficacité.
C’est la conséquence de notre système concurrentiel : aucune entreprise privée n’a intérêt à dépenser des milliers d’euros de recherche pour découvrir un remède non brevetable.
Pourquoi ? Parce qu’elle ne pourra jamais récupérer l’argent investi dans la recherche. Dès que le remède non brevetable est découvert, n’importe quelle firme a le droit de le commercialiser !
L’entreprise qui fait la découverte est terriblement endettée, tandis que ses concurrents n’ont rien dépensé.
Voilà pourquoi les remèdes naturels n’intéressent absolument pas les firmes pharmaceutiques.
Et voilà pourquoi la recherche médicale désintéressée est cruciale : seule la recherche publique (financée par l’État) ou caritative (financée par des fondations) peut découvrir de nouveaux remèdes naturels, non brevetables !
Malheureusement, les États et les fondations ont beaucoup moins d’argent que les géants du médicament.
Pour un chercheur de talent, travailler sur les remèdes naturels est donc un parcours du combattant :
- Non seulement il ne bénéficiera jamais des contrats « juteux » que les firmes pharmaceutiques accordent à leurs scientifiques « protégés » ;
- Mais en plus, il devra passer l’essentiel de son temps à se battre pour obtenir des bourses de recherche publique !
Mais le Dr Panigrahi était à la fois désintéressé et déterminé.
Et grâce à son travail acharné, il a fini par obtenir 10 millions de dollars de l’État américain pour mettre sur pied un essai clinique géant dans sa région natale d’Inde, la province d’Odisha… et prouver sa théorie !
Maladies et mortalité infantile : l’étude qui change tout
Les résultats viennent d’être publiés dans le plus prestigieux journal scientifique au monde, la revue Nature – et ils sont assez inouïs. [1]
Son équipe a sélectionné 4 500 nourrissons de 150 villages différents. Quelques jours après leur naissance, la moitié de ces nourrissons ont avalé un probiotique spécifique, Lactobacillus plantarum. [2]
Au bout de 60 jours, les résultats ont dépassé ses espérances.
Tenez-vous bien : parmi les bébés qui ont reçu le probiotique, seuls 5,4 % ont été victimes d’une septicémie… contre 9 % chez les bébés qui ont eu le placebo !
C’est une réduction de 40 %, ce qui est monumental !
Sur 600 000 bébés qui meurent de septicémie dans le monde, cela veut dire qu’on pourrait en sauver au moins 200 000 !
Et ce n’est pas tout.
Les bébés qui ont reçu le probiotique avaient aussi réduit de 75 % le taux d’infection aux bactéries à Gram-négatif, un groupe de bactéries difficiles à soigner, même avec des antibiotiques.
Encore plus fort : leur risque de pneumonie avait aussi été réduit de 34 % !
Une preuve de plus que ce qui se passe dans notre intestin est la clé de notre système immunitaire… et la voie royale pour nous protéger des infections !
Tout cela, pour un traitement qui coûte seulement 1 dollar par bébé !!!
Vous voyez la différence avec les vaccins ?
- Les probiotiques stimulent naturellement le système immunitaire, pour le rendre plus fort face à toutes les infections – et non à une maladie particulière ;
- Le traitement est composé d’une bactérie et d’un sucre naturellement présents dans l’organisme – plutôt que d’un germe infectieux enrobé d’adjuvants toxiques ;
- Il ne coûte quasiment rien, il est extrêmement efficace… et il n’a pas le moindre effet indésirable!
Les probiotiques sont bien LA voie la plus prometteuse pour protéger les nourrissons contre les maladies infantiles !
Mais ne vous faites pas d’illusion : il faudra attendre des années avant qu’on ne fasse les recherches dont on a besoin.
Les profils comme le Dr Panigrahi sont trop rares, tout comme les financements publics.
Et les firmes pharmaceutiques ne sont pas prêtes à renoncer aux milliards d’euros de profits qu’elles réalisent grâce aux vaccins.
Elles seront donc prêtes à tout pour influencer nos autorités… y compris si cela implique de vendre des vaccins potentiellement dangereux !
Ce matin je pense à la situation tragique que vit l’Inde.
Merci pour cette info.
Pouvons-nous avoir plus de détails : – où trouver ce médicaments – comment l’administrer – et en général comment choisir les probiotiques?
Merci de votre réponse
Bjr et vous remercie beaucoup pour toutes ces informations à prévenir pour notre santé. Et merci encore. Que le bon DIEU vous BÉNISSENT.
Il n’est pas possible de partager avec Facebook !
Il y a beaucoup de probiotiques et quand vous parlez de probiotique lequel conseillez-vous pour les bébés comme pour les adultes
bravo à ce docteur, comme tous ceux qui dénoncent le danger des vaccins, de certains médicaments; ce sont des gens honorables qui méritent leur titre et le droit d’être connu
Bonjour,
Article intéressant, mots grandiloquents, mais texte trop général : aliments fermentés, oui mais le(s)quel(s), quel probiotique en particulier ?
J’y retrouve la même structure que dans les lettres :
1- Vous risquer tout ceci … (la liste est très longue) ;
2- Je suis désireux de vous aider (avec au besoin quelques conseils généraux ou des formules accrocheuses mais totalement imprécises : buvez cette eau rouge miraculeuse ; mangez de l’ortie, du pissenlit, de telle herbe ; prenez telle huile (en latin et sans posologie ni détail, en général) ; faites du sport ; ne faites pas trop de sport ; ne faites pas n’importe quoi en sport : achetez ma méthode/la méthode de XXX que je vous conseille ; etc ;
3- Je vous fais plein de cadeaux ;
4- Abonner-vous ! C’est facile (c’est vrai) et pas cher (assez vrai aussi, même si à la longue cela fait une belle somme), juste parce que c’est vous, mais c’est très limité dans le temps.
Hormis les commentaires directs sur vos articles, je ne peux pas laisser de commentaire sur les lettres auxquelles je suis abonné : Pas d’accès à mon espace perso ou lorsque validé, pas d’accès au formulaire dédié (Pas de droits).
Malgré tout, c’est bien de lire que Bigpharma n’a pas raison sur tout. Et pas que pour eux, le but est de vendre…
BOnjour
il a été prescrit cet automne un vaccin contre les infections pulmonaires
vaccin effectué tous les 3 à 5ans
ce vaccin n à pas été disponible de tout l hyver
j en demande le remboursement
impossible me répond la pharmacie il a été pris en compte par la sécurité et elle m’ a prévenue que je ne l aurai jamais quel honteux gaspillage paiement par la sécurité d un médicament qui n existe plus,,,,,……