Cette fois, on le tient !
Ils ont été pris la main dans le sac.
C’est une belle prise, car ce sont les principaux coupables de l’épidémie actuelle :
- D’obésité et de surpoids ;
- De certains cancers et maladies cardio-vasculaires ;
- Et même de la maladie d’Alzheimer.
Des scientifiques viennent d’apporter la preuve définitive de leur culpabilité, dans une étude spectaculaire !
C’est une excellente nouvelle, car ces grands criminels étaient protégés par des gens « haut placés » :
- Protégés par l’industrie agroalimentaire (Big Food), qui a dépensé des milliards d’euros pour les innocenter ;
- Protégés par des pseudo-chercheurs ou scientifiques de mauvaise foi, bourrés de conflits d’intérêts ;
- Et protégés par les autorités de santé, qui ont eu le tort de faire la promotion de ces « criminels » pendant des années.
De qui s’agit-il ?
Des féculents « ultra-transformés » et autres aliments à indice glycémique élevé.
Ce sont les céréales industrielles du petit-déjeuner, les pâtes de supermarché, la plupart des pains, le riz blanc, les pommes de terre, surtout si elles sont frites, et bien sûr tous les biscuits sucrés à base de farines de blé ou de riz.
Sans doute savez-vous déjà, chers lecteurs, que ces aliments sont à éviter.
Mais vous devez savoir que la plupart des « diététiciens » ou « nutritionnistes » continuent de défendre ces « malfaiteurs ».
Ils continuent de dire qu’il est « dangereux » de supprimer totalement les féculents…
…ils continuent de dire qu’il est risqué d’adopter un régime « low carb », c’est-à-dire faible en glucide…
…alors que c’est l’un des meilleurs conseils qu’on peut vous donner si vous êtes en surpoids… et si vous voulez éviter la maladie d’Alzheimer (voir ci-dessous).
Le problème, c’est que ce conseil ne fait pas DU TOUT les affaires des lobbys de Big Food :
Ils vont jusqu’à FRAUDER pour diaboliser les régimes faibles en glucides
Dès les années 1960, l’industrie du sucre a payé des scientifiques pour qu’ils diabolisent le « gras » et le « cholestérol »[1].
L’objectif était de détourner l’attention pour continuer à faire des profits sur les aliments sucrés et transformés des supermarchés.
Et c’est ainsi que le « gras » est devenu l’ennemi juré… c’est ainsi que des produits « allégés en graisse » se sont multipliés… c’est ainsi qu’on a remplacé le beurre par de l’huile de tournesol…
…et voilà comment le surpoids, l’obésité, le diabète et les maladies du cœur ont explosé !!!
Depuis, la propagande a continué de plus belle.
Encore tout récemment, une étude menée par un cardiologue américain prétendait qu’un régime pauvre en sucre était « mauvais pour le cœur »[2].
Mais le 11 novembre dernier, cette étude a été retirée « à cause de doutes sur la véracité des données et la découverte de conflits d’intérêts de l’auteur principal ».
Autrement dit, le journal médical qui a publié l’étude pense que les chiffres ont été truqués – et a découvert que l’auteur principal a des liens financiers avec Big Food !
Au total, la désinformation menée depuis 50 ans a eu des effets désastreux pour notre santé, à commencer par l’obésité.
Car plutôt que de s’attaquer au sucre… on a préféré se focaliser sur les « calories » :
Impossible de réussir un régime minceur si vous croyez aux « calories »
Aujourd’hui, la plupart des gens croient qu’il suffit de réduire les calories pour maigrir.
C’est ce que les nutritionnistes leur ont rabâché depuis des années.
Le drame, c’est que cela ne marche quasiment jamais.
La plupart des gens qui se lancent dans un « régime » amincissant finissent par regagner tous leurs kilos perdus.
Pourquoi ? Parce que notre corps déteste qu’on le prive de nourriture brutalement.
Quand vous perdez du poids, votre corps résiste de deux façons :
- Il se plaint : vous avez faim, car votre corps estime que vous devez revenir à votre poids « initial » ;
- Et il s’adapte : votre métabolisme ralentit, ce qui fait que vous brûlez moins de calories !
Ce n’est pas pour vous « embêter » que votre corps réagit comme cela.
Votre corps a peur du manque : il cherche donc à économiser au maximum les calories que vous avalez. Il les brûle donc moins vite.
Ce ralentissement de votre métabolisme a des conséquences dramatiques.
Comme vous brûlez moins de calories, vous avez besoin de très peu de calories pour stabiliser votre poids.
Résultat : quand vous arrêtez votre régime amincissant et que vous mangez à nouveau « normalement »… eh bien vous grossissez !
Ce n’est pas une question de « volonté ». Votre métabolisme est plus fort que vous : votre corps brûle moins de calories et vous ne pouvez pas maigrir.
Voilà pourquoi il ne faut pas essayer de maigrir en comptant les calories bêtement.
La meilleure solution pour la plupart des gens, c’est de réduire drastiquement les glucides.
Ce n’est pas une découverte : des millions de personnes ont perdu 10, 20 voire 50 kilos grâce à cette méthode.
Cela fait des années que des grands précurseurs l’ont dit et répété, comme le Dr Robert Atkins aux États-Unis, ou Thierry Souccar en France.
Mais contre la puissance des « lobbys du sucre », il fallait des preuves scientifiques irréfutables.
L’étude RÉVOLUTIONNAIRE sur la perte de poids
Et c’est pourquoi l’étude qui vient d’être publiée dans le British Medical Journal est peut-être un tournant historique[3].
Je me permets de vous la décrire en quelques lignes, car ses résultats sont assez sensationnels.
Des scientifiques ont recruté 164 personnes en surpoids, qui ont accepté d’avaler uniquement la nourriture qu’on leur donnait pendant près d’un an.
Au départ de l’étude, les scientifiques leur ont fait perdre 10 kilos (en moyenne), en leur donnant moins de calories (oui, à court terme, ça marche !).
Puis, après quelques semaines de « stabilisation », ils ont réparti les 164 participants en trois groupes, au hasard :
- Un groupe avec un régime à haut niveau de glucides (60% de glucides, 20% de graisses, 20% de protéines) ;
- Un groupe à niveau moyen de glucides (40% de glucides, 40% de graisses, 20% de protéines) ;
- Et un groupe à faible niveau de glucides (20% de glucides, 60% de graisses, 20% de protéines).
Ces 3 groupes ont suivi ce régime alimentaire pendant près de 5 mois au total.
Et savez-vous ce qui s’est passé ?
Eh bien ceux qui ont suivi un régime faible en glucides (celui qui est déconseillé par nos autorités de santé, je le rappelle)…
…avaient la chance de brûler 250 calories de plus par jour que ceux qui suivaient un régime riche en glucides !
C’est un résultat assez extraordinaire !
Avec un régime faible en glucides, vous pouvez avaler exactement le même nombre de calories… mais en brûler davantage !
Sur plusieurs années, vous pouvez perdre 10 kilos comme ça ! Sans restrictions caloriques !
Au contraire, avec un régime riche en glucides, votre métabolisme se ralentit… vous brûlez moins de calories… et le moindre excès de nourriture vous fait grossir !
Pour le Dr Dariush Mozaffarian, doyen de l’École de Nutrition de l’Université de Tufts à Boston :
« Cette étude confirme remarquablement qu’un régime riche en sucre et en amidon ralentit le métabolisme après une perte de poids, ce qui explique l’effet yo-yo si souvent observé par ceux qui cherchent à perdre du poids ».
Et voilà.
On a la preuve ultime que les autorités de santé se trompent – et vous trompent affreusement – en vous déconseillant de limiter les glucides pour maigrir !
Alors bien sûr, je tiens à préciser que le régime faible en glucides n’est pas fait pour tout le monde… et ne marche pas avec tout le monde.
Chaque personne est différente. Certaines personnes ont besoin de beaucoup de glucides pour bien fonctionner.
Par ailleurs, il est évident qu’il existe des « bons féculents » : ceux qui ne sont pas transformés, à indice glycémique faible, comme le sarrasin ou les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots secs).
Mais il n’empêche : pour beaucoup de personnes « sensibles aux glucides », adopter ce type de régime peut vraiment changer leur vie !
Alors n’hésitez pas à l’essayer si vous avez des kilos en trop !
PS : une autre « trouvaille » de cette étude, c’est que les effets positifs du régime faible en glucides étaient particulièrement spectaculaires pour les participants qui avaient trop d’insuline.
C’est capital, car cela veut dire qu’on tient une solution crédible pour lutter contre un des plus graves phénomènes de notre temps : l’excès d’insuline ou la « résistance à l’insuline ».
Je rappelle que la « résistance à l’insuline » est connue pour provoquer du diabète, des cancers et des maladies du cœur[4].
Et on commence même à réaliser que c’est aussi une cause de la maladie d’Alzheimer !
Le mécanisme est très simple à comprendre :
Lutter contre Alzheimer avec un régime faible en glucides
Voici ce qui se passe dans votre corps si vous mangez trop de glucides[5] :
Lorsque vous avalez des glucides à indice glycémique élevé, le sucre de votre sang augmente brutalement.
Votre pancréas réagit en produisant plus d’insuline, pour faire baisser votre taux de sucre sanguin.
L’insuline est une sorte de « clé » qui ouvre la porte de vos cellules et permet d’y faire entrer le sucre, qui y est stocké comme graisse.
Le problème, c’est que les cellules n’acceptent pas des excès répétés d’insuline. On dit que leur « sensibilité » à l’insuline s’émousse.
Cela veut dire que votre pancréas doit produire encore plus d’insuline pour forcer le sucre de votre sang à entrer dans vos cellules.
La clé n’ouvre plus aussi bien la serrure qu’avant : il faut donc forcer la dose !
Mais cette dose excessive ne plaît pas à vos cellules, qui deviennent encore plus résistantes à l’insuline… c’est un cercle vicieux épouvantable !
Et voilà comment vous finissez par avoir trop de sucre dans le sang, en permanence, car l’insuline n’agit plus efficacement – c’est la définition du diabète de type 2.
Mais dans le cerveau, ce qui se passe est encore pire :
La grosse différence, c’est que les cellules du cerveau n’ont pas besoin d’insuline pour « gober » le sucre qui circule dans votre sang.
Donc plus vous avez de sucre dans le sang, plus vous en avez dans le cerveau.
Le problème, c’est que les cellules du cerveau ne peuvent pas utiliser correctement ce sucre sans insuline !
Donc si la « clé » insuline n’ouvre plus correctement les serrures… eh bien votre cerveau ne parvient pas à transformer le sucre en énergie !
C’est pourquoi la résistance à l’insuline est un drame : votre cerveau a beau baigner dans le sucre, il est en train de mourir de faim car il ne peut pas se nourrir de ce sucre !
Votre cerveau commence alors à dépérir… en commençant par la mémoire.
Voilà pourquoi 80 % des malades d’Alzheimer sont résistants à l’insuline ou diabétique de type 2[6] !
Et voilà pourquoi le régime cétogène, faible en glucides, est très prometteur contre Alzheimer !
Encore une fois, il est clair que cela ne marche pas forcément avec tout le monde.
Mais une chose est sûre : pour des millions de personnes, le régime faible en glucides est un « petit miracle » qui conduit à des pertes de poids spectaculaires… à l’inversion du diabète de type 2… à l’amélioration des chances de guérison du cancer… et même à l’inversion de la maladie d’Alzheimer !
Ce sont des résultats incroyables, qu’aucun médicament ne permet d’obtenir !
I l y a 60 ans déjà (j’en ai 70), mes parents disaient que le pain faisait grossir (ma mère a été pharmacienne) !! j’aurais dû mieux les écouter. Enfin bon, il n’est jamais trop tard pour bien faire.
MERCI
POUR TOUTES SES SOURCES INFORMATIONS
QUI VONT NOUS PERMETTRE DE RETROUVER UNE BONNE SANTÉ
JE MET EN PRATIQUE VOS CONSEILS ET VOUS DONNE DES NOUVELLES DANS UN MOIS
BIEN CORDIALEMENT
puis-je avoir les ref de cestt étude pour lire l’article complet
merci
On a vu sur Antenne 2 comment étaient mis u point les différentes stratégies pour maigrir alors s’il vous plait arrêtez vous aussi de nous matraquer l’esprit avec vos soi-disantes études
Monsieur
Sur la 2 on a vu comment les stratégies pour maigrir étaient mises au point par les scientifiques alors arrêtez vous aussi de nous assommer avec ces soi- disantes études !
Très intéressant mais en quoi consiste ce régime cétogène ???
Quel bon filon la perte de poids!!!!
Profiter des gens qui souffrent d’obésité….
Ils perdent de l’argent mais pas un gramme de graisse en achetant vos pilule miracle !!!!
C’est de la poudre de perlimpinpin.!!!!!
Merci de ne plus m’envÔter d’art Sur la perte de poids.!!!!!
Bonjour
Enfin un langage plein de bon sens! que ne l’avez vous pas dit plus tôt. Cela fait…..un certain temps que je cherchai comment faire pour perdre du poids , j’ai un problème de thyroïde et suis résistante à l’insuline et j’avais beau faire très attention à mon alimentation “recommandée” non seulement je ne perdais pas de poids mais insidieusement j”en prenais et après de multiples recherches sur le net j’ai trouvé ce qui me convenait à savoir le régime cétogène . Ce n’est pas facile surtout de se débarrasser de tout ce que l’on vous a “farci” de fausses info. Je me suis faite aidé par un programme qui calcule les nutriments de ce que vous mangez. J’ajoute que mes analyses n’ont jamais été aussi bonnes bien que mon médecin soit réticent à un tel régime et bien sur j’ai davantage la forme.
Petit détail j’ai 76 ans.J”apprécie beaucoup vos lettres et les lis avec intérêt. A bientôt
Merci pour vos excellents dossiers sur la
Santé naturelle que je m’empresse de
transférer à qui en a besoin.
Marck R. Herbaliste
Pour moi, ce n’est pas une découverte révolutionnaire.
C’est exactement ce que Montignac (et son régime qui n’est en fait qu’une autre façon de s’alimenter de manière équilibrée) dit depuis plus de trente ans.
De nombreux « praticiens » et « gourous » de tous poils ont depuis largement adopté sa méthode en lui donnant tout simplement d’autres noms.
Cela consiste à pousser le corps à aller rechercher les graisses stockées dans les cellules adipeuses pour les retransformer, à l’aide de l’insuline, en sucres dont le corps a besoin pour ses activités. Cela suppose de :
– Manger des glucides (car ils sont nécessaires) mais peu et uniquement ceux à indice glycémique le plus bas possible.
– Supprimer tous les sucres (si possible) car le corps fabrique de lui-même tout le sucre sont il a besoin. Pas besoin d’en rajouter car tout excédent est transformé en gras et stocké dans les cellules adipeuses. Donc, d’une manière génétrale, privilégier tous les aliments à indice glycémique bas.
– Ne jamais mélanger au cours d’un repas, les lipides et les glucides.
– privilégier les bonnes graisses (huile d’olive, tournesol … et pas de margarines).
La méthode Montignac (ou tout autre nom qu’on a pu lui donner par la suite) a largement fait ses preuves depuis plus de 30 ans.
Mais un rappel de ces principes est toujours utile car la méthode Montignac a toujours été vilipandée par l’industrie alimentaire et tous ceux qui la soutiennent.
Bien à vous,