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Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.

Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.

La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.

Prenez la terrible maladie de Parkinson.

Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.

C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.

A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.

Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !

Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !

Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !

La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.

Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.

C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).

Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.

Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !

Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement

la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]

Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement

La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.

Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.

La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).

En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.

Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.

Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.

Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.

C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.

Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe

Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.

L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.

Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.

Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !

C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]

Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.

Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.

Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.

Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.

Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.

Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.

En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».

Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]

C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !

Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?

Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?

Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.

La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson

Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.

Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]

Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.

D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]

La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson

Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.

Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]

Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.

L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :

Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.

Mais alors quel est le meilleurs sport ?

Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.

En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.

Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]

Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.

Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :

Un Tango contre Parkinson

Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !

Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.

Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]

Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]

Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]

Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.

A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !

Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?

Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.

Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.

Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.

Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.

Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?

il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.

Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]

Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?

Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.

Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.

Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.

Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?

Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.

Sources :

[1] The Magic Velvet Bean of Mucuna pruriens, Lucia Raffaella Lampariello et al. J Tradit Complement Med. 2012 Oct

[2] Mucuna pruriens in Parkinson’s disease: a double blind clinical and pharmacological study, R Katzenschlager et al. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2004 Dec

[3] Voir l’excellent livre Effets secondaires : le scandale français de Jean-Christophe Brisard et Antoine Béguin (Editions First, 2016).

[4] Frequency of New-Onset Pathologic Compulsive Gambling or Hypersexuality After Drug Treatment of Idiopathic Parkinson Disease, J. Michael Bostwick et al. Mayo Clinic

[5] Randomized, double-blind, placebo-controlled trial of vitamin D supplementation in Parkinson disease, Suzuki M et al., Am J Clin Nutr. 2013 May

[6] Caffeine for treatment of Parkinson disease: a randomized controlled trial,  Postuma RB, Neurology. 2012 Aug

[7] Cinnamon treatment upregulates neuroprotective proteins Parkin and DJ-1 and protects dopaminergic neurons in a mouse model of Parkinson’s disease, Khasnavis S, Pahan K, J Neuroimmune Pharmacol, 2014 Sep

[8] Intensive rehabilitation treatment in early Parkinson’s disease: a randomized pilot study with a 2-year follow-up, Frazzitta G et al. Neurorehabil Neural Repair, 2015 Feb and  The impact of high intensity physical training on motor and non-motor symptoms in patients with Parkinson’s disease (PIP): a preliminary study, Morberg BM, NeuroRehabilitation. 2014 Jan

[9] A comparison of Irish set dancing and exercises for people with Parkinson’s disease: a phase II feasibility study, Volpe D, BMC Geriatr. 2013 Jun

[10] Tango for treatment of motor and non-motor manifestations in Parkinson’s disease: A randomized control study, Silvia Rios Romenets, Complementary Therapies in Medicine

[11] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[12] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[13] Treatment of Parkinson disease with diet-induced hyperketonemia: a feasibility study, Vanitallie TB et al., Neurology, 2005 Feb

530 commentaires

  • Anna dit :

    Bonsoir,
    Je suis tellement contente de vous lire!!, vous et le professeur Joyeux. Je suis pharmacienne, assez « hétérodoxe » et nutritionniste. Je n’ai personne dans mon entourage avec la maladie de Parkinson, mais j’a trouvé que dans une page vous dites des choses sur lesquelles on pourrait écrire des tonnes de livres. Pour moi, Descartes est à l’origine de cette coupure entre corps et esprit, qui a conduit à la Médecine occidentale et officielle telle que nous la connaissons. Par exemple, beaucoup de cancerologues disent que c’est très important (avec études double placebo, etc. etc.) de garder le moral quand on a un cancer. Il faut des études pour dire ça? C’est du sens commun. Mais bienentendu, ce n’est pas le morale haut qui va nous guérir. Et mille et autres exemples.
    Quand j’avais fait le master en Nutrition en 2001 on disait déjà que 35% des cancers étaient dus à la mauvaise alimentation. On pourrait suivre, pollution, radioactivité, pesticides….stress…..
    Et où elles puisent les grandes corporations pharmaceutiques pour les nouveaux médicaments? Chez les tribus amazonnienes qui connaissent toutes les plantes.
    Et quoi dire sur la génétique qui domine encore tellement la Médecine, quand on sait par exemple qu seulement un 10% des cancers du sein sont d’origine génétique? Si on a un diagnostic, mais pas de traitement, on fait quoi?
    La majorité des maladies graves on ne peut pas les guérir avec la Médecine que nous avons, elles sont aux mieux chroniques! Mais on peut bien les soulager avec des traitements complémentaires, parfois alternatifs, avec une alimentation adéquate et un exercice précis dans la mesure du possible.
    Dans mon cas, j’avais une cholestase chronique sans calculs à l’origine, et reapparue après colecystechtomie due à calculs, apparemment il n’y avait pas de traitement, cela veut dire qu’on finit avec une cirrhose, et c’est la fin. Je suis allée à l’époque jusqu’aux Etats Unis pour essayer de diagnostiquer de quoi il s’agissait. Un grand hepatologue à Barcelona, m’avait donné de l’acide ursodeoxicolique, l’équivalent à une substance naturelle produite par la bile, et ça controlait la maladie. Un des hepatologues les mieux réputés des Etats Unis s’est moqué de moi, en me disant que c’était très cher et que l’effet c’était comme les vitamines!!! J’ai continue encore mon traitement depuis 25 ans et je n’ai pas de cirrhose.
    Je vous encourage à poursuivre avec ce bel projet!!!
    Anna

  • Maryse C. dit :

    Merci pour vos messages et vos conseils. Il y a une quarantaine d’années, j’ai fait l’objet de critiques sévères, voire de menaces quand j’ai dit naïvement au médecin qui suivait mes enfants que je souhaitais essayer l’homéopathie. Je l’ai fait quand même et ne l’ai jamais regretté.
    Quand je dois prendre par obligation un médicament allopathique, j’ai toujours beaucoup de craintes des effets secondaires.
    Oui, les médecines dites « douces » soignent et peuvent également prévenir de toutes sortes de maux. Je suis également d’accord avec vous sur le fait que la santé est une tout.

  • BEATRICE dit :

    Oui, moi aussi, je me soigne par homéopathie.
    Je laisse les personnes qui ne trouvent pas cela sérieux, un jour ,
    peut être…
    Je f

  • danielle dit :

    Merci pour vos recherches et votre diffusion
    pour ma part, comprendre la santé se trouve dans l’équilibre de nos 5 corps:de nourriture, de l’énergie, du mental, de la connaissance, de JOIE
    je propose la pratique du yoga, la correction de la nutrition(cellulaire active), l’équilibre émotionnel par les elixirs floraux du Dr bach, la thérapie BEMER qui ouvre la micro circulation sanguine….
    j’ai espoir que toutes les recherches et découvertes dans la sphère universitaire, hospitalière, médicale, vont se conjuguer avec les approches naturelles.

  • marie dit :

    bonjour,
    votre article m’a interesse au plus haut point.Mon Mari est atteint de
    cette maladie depuis 15ans.La L dopa(chimique) a été efficace durant 10 ans environ.Nous allons faire l’essai d’une molécule plus naturelle
    peut-être aussi une supplémentation en vitamine D.
    Un grand merci pour cet article,c’est un petit coin de ciel bleu au coeur
    de notre orage.
    Marie

  • Patricia dit :

    Bonsoir à tous, atteinte d’une polyarthrite rhumatoïde depuis 18 ans, soignée avec de lourds traitements que j’ai interrompus depuis quelques mois avec succès, je suis végétarienne et fais très attention a mon alimentation, je cultive mon jardin sans aucun pesticides, tous les espoirs sont permis. Merci pour tous vos témoignages.

  • Alain B. dit :

    Bonjour et merci pour ces informations très intéressantes. A mon sens ce que l’on appelle aujourd’hui remède de bonne femme est souvent la solution qui était employée par le passé pour soigner une pathologie connue, et il y en a des tas, certains encore connus , d’autres oubliés, et cet oubli profite surtout aux lobbys pharmaceutiques dont l’objectif principal, voire unique, est de faire de l’argent. Il est grand temps de redécouvrir et mettre en application tous ces procédés et techniques venus de la nuit des temps et qui ont prouvé leur efficacité. Je pense en particulier à tout ce que nous a légué l’Egypte antique, mais aussi aux indiens d’amérique, pour n’en citer que deux. Donc je suis client à 200% de ces orientations thérapeutiques, qui d’ailleurs ne remettent pas systématiquement en cause les solutions « modernes » de la médecine, et peuvent à mon avis très largement participer à l’ensemble des actions thérapeutiques. Je suis bien sûr étonné de ce que j’apprends concernant parkinson, et je serais heureux de lire des informations du même style concernant Alzheimer et les diverses dégénérescences cognitives qui m’ont causé beaucoup de souffrance et de mal-être dans l’accompagnement de mes parents. Mais c’est du passé. Continuez, je suis à 200% avec vous.

  • MI-LO dit :

    bonsoir,
    on m’appelle le microbe ou la ptite chose ou le cul g’lé !!!!
    je suis enfin écoutée par mon médecin généraliste depuis que ‘en ai changé il y a 15 mois et par un naturopathe qui me suit depuis fin juin 2015….Il était temps.
    J’ai 46 ans et mon corps est arrivé à l’épuisement total. Je suis en arrêt de travail depuis Juin 2015… mais je dois bien avouer que j’aurai dû me faire arrêter avant si j’avais eu le BON interlocuteur face à moi.
    Mes 1ers maux dont je me souvienne remontent à l’âge de 6 ans (douleurs de croissance dans les jambes et puis chaque année, installation de rhumes dès le mois d’octobre et jusqu’au printemps – opérée des amidales et végétations l’année de mes 6 ans, rien a changé.
    Puis ce sont mes premières cystites vers l’âge de 9 ans.
    Puis à 11 ans, me voici un petit bout de femme …. mais c’était sans compter sur une fatigue qui a commencé à s’installer et les migraines arrivées vers 15 ans.
    Acné depuis cet âge, jamais disparu.
    Début de l’hypo tension, qui oscillera avec des 12’8 (ca va encore)
    Et puis s’installent régulièrement des mycoses (vaginales) ET la constipation.
    A l’époque je pèse 42 kg pour 1m58
    Vers 20 ans je commence à souffrir du syndrome de Reynaud… et j’en souffre encore.
    2 grossesses entre 26 et 30 ans.
    Depuis mon corps de se relève pas…. (bien souvent 9’6 de tension) et mon mental non plus, avec des syndromes de déprime que je peux aujourd’hui appeler de dépression.
    Petit à petit, d’années en années, j’ai l’impression de m’être usées : douleurs d’arthroses vers l’âge de 30 ans, traitement des migraines sous ZOMIGORO durant 5 ans, stoppé d’urgence car 10 cachets par mois… soit 1 migraine tous les 3 mois…. attention : danger pour le foie.
    38 ans : cancer du sein, tri-négatif. 3 FEC + 3 TAXOTERE …. période très difficile + 29 scéances de rayons.
    Reprise du travail trop vite : 1 mois après la fin des rayons. A mi temps thérapeutique, je travaillais 4 heures et dormait 4 heures l’après midi.
    39 ans : les allergies décuplent, l’herpès apparaît ; plus de migraines car je suis sous aménorrhée mais des bouffées de chaleur horribles.
    40 ans : le rythme de travail passe à 70%. Je travaille à 10 mn de la maison mais là encore, les retours de journées sont parfois dangereuses au volant de ma voiture. Beaucoup de jours se sont terminés dans le canapé, sans pouvoir assumer mon rôle de mère, de maîtresse de maison.
    41 ans : je suis porteuse d’un BRCA2 (gêne du cancer du sein) : on me préconise l’ablation des seins et des ovaires.
    44 et 45 ans : 2 ou 3 arrêts d’une semaine par ci par là … je change de médecin et m’oriente vers une généralise, qui est aussi homéopathe, accuponcteur et auriculothérapeuthe. Elle veut comprendre. ouf !
    Le destin veut qu’une de mes amies m’oriente vers un naturopathe qui l’a guéri de migraines ophtalmiques.
    Je le rencontre.
    Il me prend en charge :
    ==> phyto (germanium, magnésium, Cu Au Ar,…) + homéo + gémothérapie (cassis, aubépine, ….) + pré biotiques + pro biotiques + desmodium + vitD (carence)
    ==> nettoyage des vaccins (dont 1 nettoyé 3 fois…. résistance !!!)
    ==> Recherche immédiate des intolérances alimentaires (laboratoire Barbier à Metz) :
    58 aliments dont la gliadine….. la maladie de Chrône est écartée. Intestin poreux, irritable ….. Le foie en vrac (gamma gt depuis mes chimios, or je ne bois pas une goûte d’alcool ?)
    ==> accompagnement homéo au jour le jour si besoin.

    Le parcours est dur.
    Je me teste.
    J’oscille, je vais mieux, je rechute, physiquement et moralement ; je ressens le lien entre intestins pleins, intestins vides et mon moral.
    Si vous me croisez dans la rue vous me direz : « tu as bonnes mine ! »
    Je ne mange plus grand chose ; je n’ai plus beaucoup de vie sociale : je suis regardée avec des grands points d’interrogations, je suis devenue une extra terrestre aux yeux de la majorité.
    Depuis 10 jours, café et chocolat très nettement diminués en vue d’une éradication totale : je sens un mieux. Celà va-t-il durer ?
    Des saignements inexpliqués : radio hépatho reinale et ovarienne ==> « vos organes sont parfaits, une vraie jeune fille »
    Comment lui expliquer à ce radiologue que je ne vis pas comme une personne lambda, que mes journées doivent être courtes car je me fatigue très vite, que mes migraines sont soudaines et que je ne peux rien planifier … Y comprendra pas ; c’est sûr.

    A côté de celà, ma vie est saine ; je tente d’introduire la méditation mais j’avoue ne pas m’y tenir. j’arrive enfin à faire soit 10 mn de marche ou de vélo elliptique, et encore, pas tous les jours …. je dois percéverer.
    Je cuisine tout ; plus de sucre ajouté, que des fruits. J’achète tout en frais, bio, local et équitable.
    Je pense être sur la bonne voie mais nous nous sentons esseulés ; plus de resto entre amis, plus d’invit. (ou très peu, je ramène ma gamelle …..)
    Oui je crois aux médecines douces.
    je pourrais vous en dire plus dans quelques mois. 1 an de régime d’intolérance alimentaires avant le prochain test.

  • Lucie dit :

    Cher Xavier,
    Je vous remercie aux noms de tous ces gens à qui vous avez apporté ces bons renseignements.
    J’aimerais beaucoup travailler avec vous dans la nutrition cellulaire qui deviendrait votre autre découverte qui apporterais une santé optimale à la planète entière et je pense que c’est ce que vous voulez……vous seriez le premier à en bénéficier. Toutes ces lettres qui précèdent seraient rempli de reconnaissance…..voulez-vous la santé véritable? Contactez-moi!

  • Sylvie HERLEDAN dit :

    Pour moi, tout est lié, notre corps n’est qu’un moyen de nous faciliter l’accès à ce que nous traversons sur le plan psychique, nos conflits intérieurs, nos émotions, la difficulté à gérer notre dualité intérieure. Aussi, le développement de l’écoute, de l’amour, de la complaisance et de la gratitude permettent souvent d’engager le processus de guérison. Par ailleurs, la Terre dans sa générosité a tout mis à notre disposition pour nous aider et nous accompagner dans notre évolution vers le mieux être. Apprenons à développer l’harmonie en nous et autour de nous et engageons la mutation de nos programmations inconscientes. Merci pour vos lettres et l’espoir et l’ouverture que vous apportez aux gens.

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