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Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.

Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.

La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.

Prenez la terrible maladie de Parkinson.

Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.

C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.

A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.

Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !

Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !

Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !

La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.

Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.

C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).

Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.

Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !

Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement

la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]

Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement

La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.

Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.

La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).

En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.

Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.

Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.

Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.

C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.

Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe

Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.

L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.

Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.

Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !

C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]

Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.

Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.

Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.

Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.

Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.

Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.

En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».

Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]

C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !

Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?

Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?

Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.

La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson

Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.

Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]

Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.

D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]

La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson

Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.

Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]

Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.

L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :

Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.

Mais alors quel est le meilleurs sport ?

Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.

En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.

Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]

Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.

Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :

Un Tango contre Parkinson

Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !

Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.

Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]

Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]

Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]

Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.

A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !

Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?

Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.

Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.

Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.

Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.

Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?

il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.

Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]

Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?

Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.

Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.

Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.

Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?

Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.

Sources :

[1] The Magic Velvet Bean of Mucuna pruriens, Lucia Raffaella Lampariello et al. J Tradit Complement Med. 2012 Oct

[2] Mucuna pruriens in Parkinson’s disease: a double blind clinical and pharmacological study, R Katzenschlager et al. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2004 Dec

[3] Voir l’excellent livre Effets secondaires : le scandale français de Jean-Christophe Brisard et Antoine Béguin (Editions First, 2016).

[4] Frequency of New-Onset Pathologic Compulsive Gambling or Hypersexuality After Drug Treatment of Idiopathic Parkinson Disease, J. Michael Bostwick et al. Mayo Clinic

[5] Randomized, double-blind, placebo-controlled trial of vitamin D supplementation in Parkinson disease, Suzuki M et al., Am J Clin Nutr. 2013 May

[6] Caffeine for treatment of Parkinson disease: a randomized controlled trial,  Postuma RB, Neurology. 2012 Aug

[7] Cinnamon treatment upregulates neuroprotective proteins Parkin and DJ-1 and protects dopaminergic neurons in a mouse model of Parkinson’s disease, Khasnavis S, Pahan K, J Neuroimmune Pharmacol, 2014 Sep

[8] Intensive rehabilitation treatment in early Parkinson’s disease: a randomized pilot study with a 2-year follow-up, Frazzitta G et al. Neurorehabil Neural Repair, 2015 Feb and  The impact of high intensity physical training on motor and non-motor symptoms in patients with Parkinson’s disease (PIP): a preliminary study, Morberg BM, NeuroRehabilitation. 2014 Jan

[9] A comparison of Irish set dancing and exercises for people with Parkinson’s disease: a phase II feasibility study, Volpe D, BMC Geriatr. 2013 Jun

[10] Tango for treatment of motor and non-motor manifestations in Parkinson’s disease: A randomized control study, Silvia Rios Romenets, Complementary Therapies in Medicine

[11] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[12] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[13] Treatment of Parkinson disease with diet-induced hyperketonemia: a feasibility study, Vanitallie TB et al., Neurology, 2005 Feb

530 commentaires

  • Lili dit :

    Avant toute chose BRAVO et MERCI de mettre à disposition de tous de telles informations aussi précieuses les unes que les autres tant elles apportent d’autres solutions pour se soigner VERITABLEMENT ! Depuis déjà quelques années, la médecine conventionnelle semble de plus en plus décriée pour soigner certains maux même les plus banals tant elle semble de moins en moins répondre aux attentes de TOUS ! Se soigner OUI mais sans détraquer ce qui au préalable était sain. Je pense à cette liste immonde de certains effets secondaires de certains produits pharmaceutiques pour ne pas dire « médicaments ». Un tel terme signifierait un produit destiné à apporter un soin à une maladie. Ce qui semble de moins en moins le cas !! Je ne suis pas contre la médecine conventionnelle malgré la dureté de certains de mes propos mais je pense qu’elle devrait mettre son égo de côté et de cesser de croire qu’à elle seule sur son chemin de bataille, pourra venir à bout de certaines maladies via le seul et unique remède thérapeutique chimique. On nous empoisonne suffisamment pour ne pas s’encombrer de trop de médicaments chimiques voire certains toxiques alors que certains remèdes naturels sont autant efficaces voire plus et ce sans effets secondaires. On le voit avec le fameux Roaccutane qui a détraqué la santé de beaucoup alors que bien des remèdes naturels existaient !! Comment de telles effets secondaires énoncées sur la notice puissent alors être à peine considérés par ceux qui l’ont mis sur le marché. Je ne réfute pas la médecine conventionnelle mais ce que je réfute c’est sa dangerosité dans son absence de conscience de mettre les gens en danger quand on accepte consciemment de mettre la santé et donc la vie des gens en danger. Une lueur d’espoir dans ce discours bien sombre mais malheureusement réelle, réside dans le fait qu’en toute discrétion certains remèdes naturels prennent place dans les pharmacies et ce de plus en plus. Ce qui est affligeant c’est la non-reconnaissance malgré tout de l’efficacité des remèdes naturels, du moins pas suffisamment. Mais de plus en plus de personnes de part je pense aussi, une déception des réponses apportées par la médecine que beaucoup se sont tournées vers des médecines alternatives qui ont quelque part apporter ce que la médecine traditionnelle n’a su faire MAIS J’ENTENDS PAR LA pour certains maux. Je n’en fait aucune généralité, mais pour la Santé de Tous pourquoi elle se cloisonne sans travailler avec d’autres formes de thérapie, chacune va alors compléter l’efficacité de l’autre et créer alors une véritable synergie thérapeutique en faveur du malade. Tout est lié entre le Corps physique, le Corps émotionnel et psychique et l’Ame notre sanctuaire intérieur. On sait les ravages d’un mal-être sur le corps physique et sa faculté malheureuse de faire naître certaines maladies qu’il a alors généré. Vos informations et ce travail magnifique en lien avec le Professeur Joyeux est juste génialissime et d’une préciosité indicible pour nous qui parfois sommes parfois considérées comme de véritables cobayes pour les lobbys pharmaceutiques.
    Merci pour ce beau travail que je ne manquerai pas de suivre ?
    Puisse votre projet être porté par TOUS et pour le bien-être de Tous !!

  • alain dit :

    vos propos vont tout a fait dans le bon sens. Trop souvent les médicaments cachent ou soignent la maladie et détraquent une autre partie du corps. En ce qui concerne le sport pour le parkinson, mon père fait des exercices tous les matins ( j’admire son assiduité) et a pu ralentir le développement de la maladie
    Je suis donc en faveur des traitements naturels et j’attends la suite de vos propos en particulier sur le parkinson, car j’imagin e qu’il ne suffit pas de manger de la cannelle .

  • ingyan dit :

    Je suis reconnaissante envers vous et toutes les personnes qui se penchent sur le fonctionnement ( methabolique, psychique et physique) du patient dans son ensemble pour soigner la maladie et non pas pour faire taire notre corp en faisant disparaitre les symptomes.
    En se qui concerne la medecine naturelle (douce), je suis convaincu de son efficacite et pas seulement pour de la bobologie. Je considere la medecine moderne comme une medecine commerciale qui voie le malade non plus comme un patient mais comme un client.
    Je vous remercie de travailler a nous informer sur ce que les lobbys pharmacetiques ce donnent tant de mal a nous cacher.

  • Bernard64 dit :

    Bonjour Xavier Bazin et Professeur Joyeux,
    Oui, les médecines naturelles et énergétiques ne sont pas prises au sérieux par le corps médical et la Faculté sûrs de détenir la vérité ,aveuglés dans leurs certitudes et esclaves de la  » mafia pharmaceutique « .
    Comme je l’ai indiqué au sujet du  » Merci « , nous sommes à l’image de l’électron Matière-Energie-Esprit et pour bien se soigner, il nous faut nous nourrir de ces 3 éléments que nous trouvons dans les produits naturels et qui sont souvent absents dans les produits de synthèse ou les produits chauffés au dessus de 100°. L’eau de source ( pas celle du robinet ) ou certaines eaux en bouteille ont une fréquence vibratoire correspondant à celle du corps humain; si vous la faites bouillir pour votre café, elle perd sa bonne fréquence et il faut savoir la redinamiser.
    C’est pourquoi le Professeur Joyeux tout comme le Docteur Seignalet sont partisans de la cuisson basse température.
    Les médicaments de synthèse sont souvent obtenus à haute température et ont donc perdu une partie de l’énergie favorable que possédait la molécule naturelle dont ils sont une copie.
    Je me soigne donc avec des produits naturels et je regrette fort que les instances européennes aient rendu leur diffusion difficile.
    Je ne peux que vous encourager dans cette voie et je vous dis un grand MERCI !

  • Richard dit :

    Il y a Cannelle et Cannelle… Attention !

    La cannelle de Chine, principalement utilisée dans les produits industriels contient de la coumarine. Une substance qui peut être dangereuse pour la santé.

    La cannelle de Chine (Cinnamomum Cassia) utilisée dans la fabrication de nombreux biscuits industriels, contient de la coumarine. Consommée en grandes quantités, cette substance peut provoquer une hépatite chez les personnes sensibles. Elle augmenterait aussi le risque de cancer.

    La cannelle de Ceylan, qui contient de 5 à 20 fois moins de coumarine que celle de Chine, ne présente par conséquent aucun danger, selon le BfR.

    Ouvrez l’œil au moment de l’achat. La cannelle en poudre vendue dans les commerces n’est pas toujours de Ceylan.

  • Parmentier dit :

    Bonjour,
    Merci de cette belle initiative.
    J’ai 69 ans pas de problème de Parkinson mais une bronchite chronique qui m’handicape beaucoup Y a-t-il des solutions pour cela qui soient naturelles et ne traitent pas que les symptômes ?
    Merci de votre aide.

  • rozes francoise dit :

    bonjour et merci au professeur joyeux pour tout les trésors qu’il partage avec nous.Je suis fortement d’accord avec lui quand il dit que les remèdes naturels sont une panacée ,je suis diabétique depuis 14 ans sous remède puis sous insuline depuis 5 mois j’aie adopté un régime a base de jus de légumes ,une alimentation anti mal bouffe et des tisanes de plantes naturelles résultas: j’ai diminué mon traitement de 70% , je ne prends plus d’insuline et mon diabete est enfin equilibré avec de taux trés corrects. Je continue!!

  • RAYMOND LABILLOIS dit :

    BONJOUR JE FAIS DU PARKINSON LÉGER A GAUCHE MAIN ET BRAS DEPUIS 5 ANS MAINTENANT ET JE ME CONSIDERE CHANCEUX D’AVOIR UN BON NEUROLOGUE IL M’CONSEILLÉ DE NE RIEN ARRETER DE MON QUOTIDIEN TOUT CE QUE JE FAISAIS AVANT DE PRENDRE UNE PRÉ RETRAITE DONC LE TRAVAIL LES EXERCICES ET LUI ET LA TÉRAPEUTHE M’ONT PRESCRIT DE FAIRE DU TAI CHI ET CA A BEAUCOUP CONTRIBUÉ A AMÉLIORÉ MON ÉTAT PHISIQUE ET MENTAL CA ME FAIS BEAUCOUP DE BIEN ET JE VAIS SUIVRE VOS CONSEILS POUR LA VITAMINE D ET LA CANELLE MERCI CA M’ENCOURAGE A CONTINUÉ EN PASSANT J’AI 68 ANS ET CA DÉGÉNERE MOINS VITE QUAND ON EST PLUS VIEUX

  • Delpit catinot dit :

    Que du bonheur. Merci mille fois pour tous ces conseils. MERCI

  • moens pascal dit :

    Bonsoir et merci pour vos communications. Bien sûr, je vous encourage à continuer ces échanges qui apportent des solutions à beaucoup de monde.
    Personnellement je cultive un jardin en permaculture et je consomme beaucoup de plantes « sauvages » mais je préfère le terme naturelles ! J’ai essayé et constaté pas mal de résultats positifs comme le plantain (piqûres, toux, asthme…) le millepertuis (calmant et régulateur de la dépression) l’origan pour tous mes assaisonnements plante dont on ne peut citer tous les effets tellement ils sont nombreux, la grande consoude (teinture mère) avec laquelle je me suis soulagé d’une tendinite sérieuse qui m’a permis de remarcher normalement, l’ail des ours une merveille en sortie d’hiver, la sève de bouleau reminéralisante, tisanes de frêne, tilleul, menthe poivrée, équinacée purpurea, prêle, reine des prés, aiguilles de pin, feuilles de bouleau, huile de calendula, de millepertuis, d’arnica pour la peau et autre… Je ne peux tout citer, mais je me documente beaucoup, je vous lis beaucoup et surtout je crois aux bienfaits de ces remèdes à mon sens tous préventifs.
    Je suis persuadé que les remèdes que vous nous transmettez pour la maladie de Parkinson sont efficace dans la mesure où celui qui les pratique y croit et surtout par ces pratiques « sort un peu » de cette préoccupation de la maladie car pour moi et sans minimiser la difficulté d’affronter tous les jours un handicap corporel; c’est le positivisme et le combat volontaire qui permet de réduire les souffrances et accéder à la guérison. J’ajoute que l’alimentation raisonnée est une source de soins journalier essentiel.
    Je vous suggère de faire un dossier sur l’hypnose ou l’auto-hypnose qui je le pense est aussi une méthode pour soulager et se soigner.
    Bravo pour vos communications, à vous lire vous éclairez ma vie. Nous avons le devoir de transmettre ces connaissances à nos enfants en les pratiquant et en les conseillant à ceux qui en ont besoin. merci encore et ne vous découragez pas même si pour certains ce sont des remèdes de grand mère !! pascal

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