Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.
Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.
La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.
Prenez la terrible maladie de Parkinson.
Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.
C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.
A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.
Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !
Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !
Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !
La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.
Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.
C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).
Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.
Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !
Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement
la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]
Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement
La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.
Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.
La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).
En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.
Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.
Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.
Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.
C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.
Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe
Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.
L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.
Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.
Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !
C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]
Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.
Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.
Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.
Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.
Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.
Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.
En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».
Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]
C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !
Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?
Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?
Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.
La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson
Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.
Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]
Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.
D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]
La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson
Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.
Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]
Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.
L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :
Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.
Mais alors quel est le meilleurs sport ?
Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.
En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.
Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]
Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.
Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :
Un Tango contre Parkinson
Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !
Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.
Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]
Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]
Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]
Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.
A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !
Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?
Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.
Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.
Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.
Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.
Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?
il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.
Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]
Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?
Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.
Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.
Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.
Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?
Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.
Bonjour
Merci de votre lettre et pourtant Dieu sait si je suis inscrite sur plusieurs sites de médecines naturelles!!! Pour quelles raisons la vôtre m’intéresse plus que les autres? Tout simplement car vous ne faîtes pas de rétention d’information. Vous communiquez votre savoir et donnez directement les « produits » et leur posologie. C’est la raison pour laquelle je vous félicite vivement et vous remercie aussi. Il faut savoir qu’une personne atteinte, comme moi, d’une maladie (de Parkinson) qui désire se soigner par des méthodes naturelles dépense beaucoup, beaucoup d’argent!!! Cette personne consultera plusieurs thérapeutes, bons ou mauvais, mais elle paiera sa consultation (environ de 50 à 60 €) et aussi les traitements allant avec, les abonnements aux revues etc. Tout cela n’est pas remboursé et pèse lourd sur un budget!! Alors je vous remercie de ne pas vous servir de vos connaissances pour divulguer, ou mettre l’eau à la bouche juste ce qu’il faut d’info pour obliger quelque part le malade à en passer par là pour obtenir les renseignements.
OUI je suis pour les médecines naturelles, j’y CROIS et je suis ulcérée de voir les médecins, gouvernement entrer dans le jeu des laboratoires, véritables pourritures de notre société, seulement et uniquement intéressés non pas à soigner les malades mais à gagner de l’argent sur le dos des malades!!! Comme dans toute fable la comédie ne durera pas! les malades n’ayant plus rien à perdre mettent en place leur survie. Mais en attendant la cause même de ces maladies continue et nous sommes en train de fabriquer des générations entières de malades jeunes!!! comment notre service de santé va pouvoir les soigner? les indemniser? leur verser une pension d’invalidité? nous sommes en train de mettre en place des milliers de miséreux !!!
Pour en revenir à la maladie de Parkinson, en analysant ce que je lis, ce que j’ai vécu il y a une piste très sérieuse qui a mon avis est peut-être la piste!!! les antibiotiques détruisant les intestins, les métaux lourds (air – eau) sont suffisants pour créer cette maladie. Les intestins dont la paroie devient poreuse laissent passer dans le sang toute la pollution – les métaux lourds vont s’y engouffrer, vont se loger dans toutes les cachettes du corps humain, vont migrer vers le cerveau et détruire, détruire, détruire, chaque jour. C’est une auto-destruction et personne n’en parle. Les chercheurs ne sont pas écoutés, n’ont pas les moyens, à force de trop de protectionnisme même si vous êtes volontaire pour servir de cobaye ce n’est pas possible!!! la France vieillit mal, très mal! nous avons de grandes, belles personnes et nous les baillonnons chaque jour davantage!! Il faut que les malades réagissent et il faut que leur entourage les aident à se battre car ils ont la force que le malade n’a plus!
Alors merci à vous tous!
J’ai rencontré un nombre incroyable de spécialistes en neurologie, en cabinet comme en hôpital. Comme je vous plains Messieurs, Mesdames, comme vous me semblez pitoyables drapés dans vos blouses blanches et votre manque d’ouverture, de recherche, d’intérêt, d’empathie! Ne comptons pas sur eux pour nous soigner, expérimentons les plantes et autres, mangeons sainement, que risquons nous? La guérison est dans la tête et alors? le but de tous les malades est de guérir !! La médecine d’un air méprisant rit de nous et bien prouvons lui que nous rions d’elle en retrouvant notre santé!!!
je suis traitée depuis 1 an pour un PARKINSON avec 1 comprimé par jour d’AZILECT , mais je peux vous assurer que depuis que je pratique la marche 8 à 10kms par jour et 3 heures de danses de salon tous les dimanche je vais beaucoup mieux… moins de perte d’équilibre et surtout j’ai récupéré pratiquement totalement la mobilité de ma jambe droite…que je trainais…
Alors BOUGEZ…
Je suis tout à fait d’accord pour l’utilisation de remèdes à base de plantes naturelles. Concernant Parkinson, je ne peux rien en dire n’ayant personne dans mon entourage ayant cette maladie. Mais je suis persuadée qu’utiliser les plantes est un bienfait qu’il faut absolument remettre au gout du jour.
il n’y a pas que la nourriture et l’auto-médication qui ne peut que mieux fonctionner sur sa personne. Les produits cosmétiques sont malheureusement de la partie pour nous intoxiquer, peut-être même plus rapidement que cela n’y parait…Avez-vous déjà lu la composition du savon, d’une crème, d’une pommade ou d’un masque? La moitié des composants ne devrait jamais figurer sur nos produits de « beauté »… Réfléchissons-y tous.
Merci pour ces mots d’espoir sur les maladies qui dominent le monde
Bonjour,
Cela fait dix ans que je me suis totalement, tournée vers les thérapies naturelles. J’ai débuté après un grand raz le bol d’être toujours malade et fatiguée, pour ne pas dire de plus en plus souvent malade… À 45 ans j’avais l’impression d’en avoir 80. Bronchites à répétition, douleurs dans toutes mes articulations… et surtout une fatigue chronique très handicapante. Mon médecin me prescrivait des antibiotiques, des anti-inflammatoires et des arrêts maladie à tours de bras, me laissant encore plus mal à chaque fois. Pourtant depuis très longtemps, instinctivement j’avais une grande méfiance à l’égard des médicaments allopathiques, mais je ne savais pas vers qui me tourner. C’est dans un premier temps grâce à un herboriste vraiment extraordinaire sur Nice que j’ai enfin pu entrevoir le bout du tunnel. Puis j’ai découvert d’autres forme de thérapies telle que l’EFT, le décodage biologique, l’homéopathie,… Et surtout j’ai revu et corrigé mon alimentation. Il y a plus de trente ans déjà j’ai mis un orteil dans le bio, depuis dix ans c’est une immersion totale, je ne mange plus que bio et je m’intéresse à ce qu’est une alimentation équilibrée et à ce qu’apportent certains « alicaments ». Et depuis dix ans aussi, plus un seul médicament allopathique dans mon armoire de pharmacie (pas même une aspirine ou paracétamol)… Et je me porte beaucoup mieux, les rhumes ne font que passer (et bien souvent je les vois passer au loin car je n’en attrape presque plus!).
Bravo donc pour votre projet, je suis convaincue qu’une mauvaise santé est le signe d’un déséquilibre dans notre vie et un appel à un rééquilibrage, que ce soit nutritionnel, émotionnel, ou autre.
Merci d’être là pour nous aider à redécouvrir ce que nous aurions toujours dû savoir.
Ici Gilbertine Durand à propos du Projet Santé Corps Esprit.
Je tenais à vous remercier et de vous tenir informé de ce projet. et je suis convaincu qu’il m’apportera quelque chose.
Il est même possible qu’il change ma vie. Ou, au minimum, change quelque chose dans ma vie.
Ce projet me semble bien avancé… Pour qu’il corresponde au mieux à mes besoins, dans ma vie : il faudrait qu’il soit totalement GRATUIT ou pris en charge par la sécurité sociale.
Avez vous pensé à faire des récherches sur l’énurésie,
c’est une maladie lourde, incurable, dont on comprend mal les causes et le mécanisme.
J’ai 71 ans, opéré il y a 1 an et demi d’un cancer du colon, par contre les suites ont été au-dessus de mes espérances. Ayant entendu parler du graviola, j’ai renoncé à la chimio de confort qui était proposée et aux derniers contrôles tout est absolument négatif. Je fais donc un traitement régulier de 3 semaines tous les 6 mois. Je mes suis aussi débarrassée de mes verrues grâce à une petite fleur jaune, plante sauvage qu’on trouve dans tous les jardins mais dont j’ai oublié le nom dont on retire le suc orange des tiges qu’on applique sur le mal. Voilà un peu quelques expériences personnelles, je fais le moins possible appel aux médicaments chimiques.
Je parlais de mon livre « PARKINSON EN LIBERTE-VIVRE SES REVRES »Il sortira dans le courant 2017-avec CD POUR LES EientôtX.-je ppense également créer un site WEB »PARKINSON EN LIBERTE »consacre totalement au Parkinson .
je vous informerai dans SANTE CORPS ESPRIT de la sortie du livre qui devrait être traduit en Neerlandais,allemand,anglais et Espagnol
A Bientôt Bernou
Bonjour,que de bonnes méthodes à lire et appliquer avec les produits naturels.Ai 80ans3/4! avec un gros problème de prostate et envisage le pire;une opération!!apres plusieurs operations:prothèse du genou droit, de la cheville gauche,à cœur ouvert(valve mitrale),des yeux,de la main!ça suffit!!!Que pouvez-vous me proposer?suis impatient de vous lire..Cordialement A.Girardet
Que de bonnes méthodes à lire et appliquer avec les produits naturels!tous ces témoignages me rassurent…J’ai 80ans3/4!! et ai un gros problème avec ma prostate et helas envisage le pire:operation!!!!Apres plusieurs operations:prothèses du genou droit,de la cheville gauche,du cœur(valve mitral),des yeux,de la main…ça suffit!.que me conseillez-vous ??suis impatient de vous lire!!Cordialement A.Girardet