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Peut-être êtes-vous fatigué, comme moi, d’être confronté à ce triste préjugé.

Les traitements naturels seraient des médecines « douces », bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ». Bref, des « remèdes de bonne femme », comme le disent certains de façon si méprisante.

La réalité est tout autre : c’est au contraire sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.

Prenez la terrible maladie de Parkinson.

Vous avez sans doute en mémoire les images de la dégradation progressive de l’état du pape Jean-Paul II, jusqu’à sa mort en 2005.

C’est le même scénario, implacable, que vivent toutes les victimes de Parkinson. Cela commence par de légers tremblements, des muscles un peu trop rigides, de petits soucis d’équilibre… pour finir des années plus tard en fauteuil roulant.

A ce jour, aucun remède validé n’est capable de stopper cette dégénérescence.

Mais il est possible de la ralentir fortement, et de vivre de longues et belles années… surtout si l’on s’appuie sur les traitements naturels contre Parkinson, validés scientifiquement !

Et vous allez voir : certaines de ces solutions sont des habitudes et des pratiques que tout le monde gagnerait à suivre, non seulement pour éviter de contracter Parkinson, mais aussi pour vivre mieux… et plus heureux !

Le traitement médical de référence contre Parkinson est une substance naturelle !

La L-dopa est le médicament de référence contre Parkinson depuis pas moins de 45 ans.

Mais ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que la L-Dopa est en réalité une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.

C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913. A l’époque, un jeune chimiste suisse, Markus Guggenheim avait même décidé d’expérimenter la L-dopa sur lui-même, pour essayer d’en comprendre les effets. Comme il n’avait pas Parkinson, il n’a rien ressenti… si ce n’est une terrible nausée qui l’obligea à se faire vomir (la nausée est, encore aujourd’hui, un des principaux effets secondaires de la L-Dopa).

Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.

Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde ! Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1] . Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse dont on a découvert au siècle dernier qu’elle était incroyablement dosée en L-dopa !

Il se pourrait même que cette plante soit plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement

la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante ! [2]

Un traitement contre Parkinson efficace oui, mais pas éternellement

La L-dopa est un remède unique, car c’est la seule substance au monde capable d’augmenter dans le cerveau la production de « dopamine », une molécule indispensable au contrôle des mouvements du corps.

Or la principale caractéristique de la maladie de Parkinson est précisément une carence en dopamine, qui cause les tremblements que l’on connaît.

La cause de cette carence est bien connue : elle est liée à la destruction lente et progressive des neurones spécialisés dans la production de dopamine, qui sont concentrés dans une petite zone du cerveau (locus niger).

En revanche, personne ne sait pourquoi ni comment ces neurones sont détruits. Tout ce que l’on sait sur les causes de cette maladie, c’est que les pesticides ont une lourde responsabilité dans son apparition – à tel point que les autorités françaises reconnaissent le statut de « maladie professionnelle » aux agriculteurs qui en sont frappés.

Cela donne une bonne indication pour l’éviter – manger bio. Mais ces maigres connaissances de la maladie ne nous disent rien des moyens pour l’arrêter, une fois qu’elle est déclarée. C’est pourquoi les malades n’ont pas d’autre solution que de combattre les symptômes, en essayant de compenser leur manque de dopamine.

Et c’est en cela que la L-dopa est si précieuse. Au départ, son effet est même tout simplement miraculeux. Vous retrouvez votre équilibre, le contrôle de vos membres et la souplesse de vos muscles.

Malheureusement, au bout de quelques années, elle devient de moins en moins efficace. Pire : vous êtes pris régulièrement de mouvements involontaires (dyskinésies), et de blocages musculaires de plus en plus problématiques.

C’est pour cela qu’une autre génération de médicaments a été développée dans les années 1980-1990, avec de vrais bienfaits… mais aussi de redoutables effets secondaires.

Les médicaments qui transforment en obsédé du jeu et du sexe

Pour contourner l’impossibilité (hors L-dopa) d’augmenter la dopamine dans le cerveau, les scientifiques ont eu l’idée de stimuler directement les récepteurs de la dopamine.

L’effet est indirect : la dopamine n’est pas augmentée, mais les récepteurs se comportent comme s’ils venaient de recevoir une dose de dopamine.

Et cela fonctionne. Pas aussi bien que la L-Dopa, mais suffisamment pour que ces médicaments puissent être utilisés comme un soutien utile. Ils sont généralement donnés au début de la maladie, à la place de la L-dopa – l’objectif étant de retarder au maximum le moment où les patients devront prendre la L-dopa, puisque l’on sait que ses effets finiront par s’estomper.

Le « petit » problème est que ces nouveaux médicaments ne conviennent pas à tout le monde, loin de là. Ils ont même la particularité de transformer de nombreux patients… en obsédés des jeux d’argent et du sexe !

C’est ce qui est arrivé à Didier J., dont la vie a basculé quand il a commencé à prendre l’un de ces médicaments, le Requip (ropinirole) , en 2004. [3]

Ce père de famille rangé est soudainement devenu accroc aux jeux sur Internet. Au départ, il ne misait (et perdait) que quelques centaines d’euros par mois. Puis c’est devenu plus sérieux : il passait ses nuits à jouer sur Internet, et a commencé à perdre des dizaines de milliers d’euros. Lui qui n’a jamais eu de dettes de sa vie s’est mis à emprunter autour de lui pour satisfaire cette furieuse addiction.

Concernant la sexualité, c’est un sujet qui fait volontiers sourire. On imagine qu’il est simplement plus amusant et excitant d’avoir plus de libido.

Comme pour le jeu, c’est vrai à petite dose. Mais pas quand tout se dérègle dans votre vie, et que vous commencez à nuire à votre entourage et à vous détruire vous-même.

Ce fut le cas de Didier, qui fut aussi frappé par une libido permanente et insatiable – ce que les médecins appellent « hypersexualité ». Il sortait presque tous les soirs et ne rentrait pas tant qu’il n’avait pas réussi à séduire une personne, femme ou homme, quel que soit son état d’hygiène, de santé, son âge.

Ce n’est que lorsqu’il a arrêté ces médicaments qu’il s’est libéré de cette emprise. Mais entre-temps, il avait aussi largement ruiné sa vie conjugale construite sur des décennies.

Didier a gagné en 2012 son procès contre GSK, la multinationale qui produisait le Requip. Car ce laboratoire pharmaceutique s’était bien gardé de mentionner ces « effets indésirables » dans la notice de son médicament… alors qu’il les connaissait mieux que personne.

En effet, lors des essais cliniques, deux patients sous Requip étaient allés jusqu’à faire de l’exhibitionnisme en pleine rue ! Mais GSK s’était contenté de préciser que son médicament « augmentait la libido », ce qui est tout de même plus « vendeur ».

Les effets ravageurs de cette gamme de médicaments ont depuis été largement documentés. Le plus prestigieux hôpital américain, la Mayo Clinic, estime qu’ils peuvent frapper jusqu’à 18 % des patients. [4]

C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses. Elles améliorent la qualité de vie des patients sans le moindre effet secondaire, et peuvent même retarder la prise de L-dopa… ce qui ajoute des années de vie en bonne forme !

Vitamines et épices des traitements naturels contre Parkinson mieux que des médicaments ?

Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?

Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.

La vitamine D, un traitement naturel efficace contre Parkinson

Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens étaient généralement carencés en vitamine D. C’était déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.

Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet de ralentir sa progression ! [5]

Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.

D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour) et thé vert. [6]

La cannelle de Ceylan, l’épice porteuse d’espoir contre Parkinson

Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.

Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris , et doit maintenant être testé sur l’homme, sans garantie de résultat pour l’instant. [7]

Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.

L’activité physique, traitement naturel contre Parkinson :

Les nutriments sont précieux mais l’approche la plus efficace pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.

Mais alors quel est le meilleurs sport ?

Les exercices que les médecins recommandent généralement à leurs patients sont utiles : endurance, équilibre ou souplesse. Mais leur efficacité contre Parkinson est loin d’atteindre celle de la simple musculation.

En fait, cela fait une dizaine d’années que l’on commence à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques. Car les efforts aigus de la musculation stimulent fortement le système nerveux central, contrairement aux exercices moins intenses, comme l’endurance.

Deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets spectaculaires – contre Parkinson. Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes. [8]

Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards. Le seul bémol est que la musculation n’est évidemment pas accessible aux patients les plus atteints. Elle demande par ailleurs de la prudence, comme l’accompagnement d’un coach pour éviter les blessures.

Il en est une autre activité, en revanche, qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :

Un Tango contre Parkinson

Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !

Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.

Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels ! [9]

Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard ! [10]

Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson. [11]

Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.

A vous la parole : dites-moi ce que vous en pensez !

Au total, ne trouvez-vous pas merveilleux de savoir qu’il existe tant de solutions naturelles contre Parkinson, même pour une maladie incurable ?

Je vous serais vraiment reconnaissant de partager avec moi votre sentiment. Pas seulement sur Parkinson, mais sur toutes les maladies qui existent.

Merci de me dire, en commentaire en bas de cet article, si vous aussi vous avez trouvé dans les remèdes naturels des ressources inespérées pour mieux vivre.

Ou, si ce n’est pas encore le cas, si vous pensez qu’ils pourraient vous apporter la clé pour aller mieux. Pour vous ou pour vos proches.

Comme vous le savez, la plupart des solutions naturelles ne sont pas prescrites par les médecins, car trop nouvelles.

Mais n’êtes-vous pas persuadé, comme je le suis, qu’elles feront partie du protocole officiel de traitement dans dix, quinze ou vingt ans ?

il en existe encore d’autres solutions naturelles contre Parkinson, que je n’ai pas mentionnées.

Par exemple, l’acupuncture et le Tai Chi ont montré de très bons résultats contre Parkinson. Un régime expérimental, le « régime cétogène », semble aussi prometteur. J’aurais pu mentionner des solutions complémentaires intéressantes comme le glutathion… voir même le simple « don du sang », indispensable si votre organisme est surchargé en fer, une particularité que l’on retrouve chez beaucoup de Parkinsoniens. [12] [13]

Etes-vous d’accord avec moi qu’il ne faut JAMAIS désespérer ?

Je vous remercie infiniment de me faire part de votre conviction.

Car je voudrais être sûr que je suis bien sur la bonne voie, en résonance avec vous, avec ce Projet Santé Corps Esprit.

Il me tarde de découvrir vos avis en bas de cette page.

Mon enthousiasme est-il trop fort ? Un peu naïf ? Ou trouvez-vous au contraire qu’il est fondé… et qu’il est grand temps de le communiquer autour de nous ?

Merci d’avance pour vos précieux conseils et témoignages.

Sources :

[1] The Magic Velvet Bean of Mucuna pruriens, Lucia Raffaella Lampariello et al. J Tradit Complement Med. 2012 Oct

[2] Mucuna pruriens in Parkinson’s disease: a double blind clinical and pharmacological study, R Katzenschlager et al. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2004 Dec

[3] Voir l’excellent livre Effets secondaires : le scandale français de Jean-Christophe Brisard et Antoine Béguin (Editions First, 2016).

[4] Frequency of New-Onset Pathologic Compulsive Gambling or Hypersexuality After Drug Treatment of Idiopathic Parkinson Disease, J. Michael Bostwick et al. Mayo Clinic

[5] Randomized, double-blind, placebo-controlled trial of vitamin D supplementation in Parkinson disease, Suzuki M et al., Am J Clin Nutr. 2013 May

[6] Caffeine for treatment of Parkinson disease: a randomized controlled trial,  Postuma RB, Neurology. 2012 Aug

[7] Cinnamon treatment upregulates neuroprotective proteins Parkin and DJ-1 and protects dopaminergic neurons in a mouse model of Parkinson’s disease, Khasnavis S, Pahan K, J Neuroimmune Pharmacol, 2014 Sep

[8] Intensive rehabilitation treatment in early Parkinson’s disease: a randomized pilot study with a 2-year follow-up, Frazzitta G et al. Neurorehabil Neural Repair, 2015 Feb and  The impact of high intensity physical training on motor and non-motor symptoms in patients with Parkinson’s disease (PIP): a preliminary study, Morberg BM, NeuroRehabilitation. 2014 Jan

[9] A comparison of Irish set dancing and exercises for people with Parkinson’s disease: a phase II feasibility study, Volpe D, BMC Geriatr. 2013 Jun

[10] Tango for treatment of motor and non-motor manifestations in Parkinson’s disease: A randomized control study, Silvia Rios Romenets, Complementary Therapies in Medicine

[11] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[12] Complementary & Alternative Management of Parkinson’s Disease: An Evidence-Based Review of Eastern Influenced Practices, Danny Bega and Cindy Zadikoff, J Mov Disord. 2014 Oct

[13] Treatment of Parkinson disease with diet-induced hyperketonemia: a feasibility study, Vanitallie TB et al., Neurology, 2005 Feb

530 commentaires

  • JACQUES ANDRE COQUIN dit :

    Bonsoir
    Je suis un adepte des méthodes naturelles tant pour l’alimentation que pour les soins alternatifs , en ce moment je suis en train justement d’utiliser la curcumine dosée à 95% pour des problèmes de prostate .

  • Ahnou dit :

    Le monde entier doit être au courant de ces connaissances que vous nous apportez faîtes vous inviter par les chroniqueurs d’émissions sur la santé faites vous de la publicité tout le monde a le droit à la vérité. Merci de votre initiative

  • Claude dit :

    Bonjour. Je suis persuadée que la nature peut nous offrir beaucoup plus que sa beauté et nous guérir le corps et l’esprit beaucoup plus que l’on ne le fait. Le plus dur est de savoir quoi prendre et comment. Merci de nous aider à comprendre cela. Continuez, s’il vous plaît.

  • Duboeuf dit :

    Bonjour, mon frère est atteint de Parkinson, diagnostiqué depuis 2 ans, il va avoir 59 ans. J’ai entendu parler de l’algue bleue verte qui aurait une efficacité certaine sur la reconstruction cellulaire. Qu’ en pensez vous et est ce qu’ un complément en spiruline ( je crois que c’ est son nom ) pourrait s’averer intéressante dans ce cas?
    Merci pour votre réponse
    Cordialement

  • Dankèle ESPES dit :

    Bravo pour votre rubrique « santé corps esprit » ! je suis moi meme adepte des médecines douces et je voudrais témoigner de deux traitements naturels que j’ai effectués. Un cancer du colon m’a été diagnostiqué en 2005. Mais avant de me faire opérer, j’ai fait un jeune de 42 jours d’après la méthode de RudolF BREUSS, à base de jus de légumes bios et de différentes tisanes à boire tout au long de la journée, sans autre aliment solide. Je n’ai jamais été aussi bien que pendant cette période. . Après mon opération en février 2006, il n’y avait aucune métastase et ma tumeur n’ayant pas été nourrie pendant ce jeune n’avait pas grossi. Mais malgré cela, les oncologues ont tout fait pour me persuader de faire de la chimiothérapie, ce que j’ai refusé catégoriquement, préférant faire une cure des produits du Professeur Mirko BELJANSKI (produites que l’on ne trouve qu’en Amérique soit dit en passant car il y a de nombreuses contrefaçons en Europe, attention !!!!), et ce, pendant un an. Depuis, je fais une cure d’entretien 2 fois par an pour éviter toute récidive et tout va bien pour le moment. Malheureusement je souffre d’une autre pathologie : il s’agit d’une BPCO (broncho-pneumopathie-chronique-obstructive, avec emphysème) et cela en grande partie due au tabac que j’ai pourtant arreté depuis 20 ans ! Pour soigner cette lourde pathologie, là encore j’emploie des produits naturels (teintures mères, préparations diverses Weleda et je prends le vaccin homéopathique de Septembre à Avril pour éviter la grippe qui pourrait être fatale à mon age (j’ai presque 82 ans), d’autant plus que le virus a été particulièrement virulent cette année et a causé des milliers de décès parmi les séniors surtout. Voilà les témoignages que je voulais exprimer dans ce courrier pour vanter les médecines douces mais si bienfaisantes ! Et permettez-moi de vous recommander à vous tous les fumeurs, d’essayer de vous désintoxiquer au plus vite afin de ne pas souffrir un jour d’une terrible BPCO. J’en parle en connaissance de cause. Bien amicalement et naturellement votre !

  • RONDRO-HARISOA L ydia dit :

    bonjour,
    je suis de votre côté car moi même je suis convaincue des bienfaits des plantes, frits et légumes et en consomme beaucoup pour ne pas prendre de médicaments pharmaceutiques. J’ai ne parente médecin généraliste qui prescrit des plantes médicinales ou des fruits et légumes pour guérir ses patients à moindre coût.
    Je trouve cela louable et honorable de sa part, de venir en aide à son prochain (coût assez bas des consultations et autant que possible ne pas lui faire acheter des médicaments chers, très chers même)
    Merci d’avancer dans ce sens dans votre projet, bon courage.
    Un mot sur mon pays où je vis, Madagascar qui recèle des ressources naturelles avec tous ses bienfaits qui n’attendent qu’à être exploités.

  • Couturier dit :

    Bonjour
    Naturellement je suis entièrement d’accord avec vous je ne prend aucun médicament que des plantes ou des huiles essentielles si besoin car je ne suis pratiquement jamais malade.
    Je suis praticienne de Zen – Shiatsu est donc je traite corps et esprit en même temps

  • Laure dit :

    Bonjour, cela pourra sûrement aider certaines personnes et je l’espère…
    Il y a un neurologue, Dr Thomas-Lamotte qui fait partie du Cridohm ( centre de recherche indépendant de l’origine des misères humaines) et a constaté que la maladie n’arrivait pas « par hasard » mais toujours suite à de mêmes type d’événements pour chaque maladie…
    Ce neurologue partage donc ses études dans des bouquins, il fait des conférences, et des formations pour les professionnels afin de transmettre ses recherches.
    À savoir que certes, l’alimentation et notre hygiène de vie sont des facteurs pour les maladie… mais c’est bien un ou plusieurs vécus qui sont à l’origine de ces maladies… Le seul remède qui existe est de mettre en lumière et donc prendre conscience que telle ou telle situation a été mal vécue, puis a engendré un problème de santé. Aucun traitement n’est nécessaire! Guérison en quelques semaines! En revanche les psy sont à éviter…

    Pour Parkinson, de mémoire il me semble que c’est en rapport à un éloignement familial… sachant que le déclenchement de la maladie peut être immédiat ou apparaître quelques mois ou années après l’événement mal vécu. Quelqu’un a t-il été perdu de vue/déménagé pour la personne souffrant de cette maladie? Parlez en!

    Si j’ai plus de précisions je reviendrai vous les donner.

  • Mélissa ALMANZA dit :

    Bonjour Xavier,

    Je suis ravie de vous lire. Je reçois les écrits de Santé Nature Innovation, Alternatif Bien-être.. vous êtes des mines d’Or pour moi. Je travaille dans le massage, la complémentation alimentaire (w3, ..) et le sport au travers d’un nouveau projet. Le bien-Manger, bien-Bouger, bien-Être constituent 3 piliers essentiels je pense pour se sentir bien, être en forme et en pleine santé. J ai tendance effectivement à m’orienter vers des habitudes alimentaires cétogènes ( gourmandises à part ^^), des associations alimentaires, mais n ‘ai pas forcément assez de recul sur ses bienfaits plus qu’une autre façon de s alimenter. Il existe tellement de discours différents (diététicien, naturopathe, etc etc) qu’il est difficile pour nous de faire un tri. Y a-t-il une seule vérité ? Ecouter son corps dans tous les cas et prendre le temps pour soi. Je lis, fouine, teste et me fais mes opinions de part mes expériences, je partage mes découvertes. C’est une personne qui m’a partagé votre lettre sur les huiles essentielles et les animaux. Je l’en remercie et vous remercie. Vous semblez engagé et généreux dans votre démarche c’est appréciable. A bientôt Xavier.
    Mélissa

  • lecourt patrick dit :

    Bonjour
    je me suis inscrit hier sur votre site pour recevoir votre newletter,aujourd’hui déjà un article qui me concerne! maladie de Parkinson tout en sachant que pour moi il s’agit du syndrome des jambes sans repos qui apparemment est lié à Parkinson ainsi q’un petit tremblement à la main droite,diagnostiqué par un neurologue ,suivi d’un traitement
    ADARTREL (ropinirole) que je n’ai jamais pris vu les effets indésirables .Je vais m’appliquer à suivre vos conseil,vitamines D , oméga 3,L dopa.je vous teindrais biens sur au courant.si jamais vous aviez plus d’info sur le syndrome des jambes sans repos je suis preneur.Merci.Salutations. (je suis surpris de la gratuité de tous vos conseils ?)

    • STEPHANY dit :

      Bonjour mon ami à la maladie de Parkinson depuis 2 ans il a 60 ans
      Il prend de AZILLET SOPHROLOGIE ET SI N’ÉMET qui ne sont pas du tout efficase.
      Vous parlez de vitamine C….du GLUTATION..CANNELLE DE CEYLAN. Ou trouvez ces remèdes naturelles et savoir les dosages. Je crois beaucoup a cette nouvelle médecine.
      Comment trouver un bon Naturopathe. Nous sommes sur LYON. SVP j ai vraiment besoin de réponses, de votre aide.
      J ai déjà envoyé message ya quelques mois resté sans réponse malheureusement.

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